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Informations, brèves sur Reims



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Janvier 2008

Reims
Reims / Bactérie CHU : dépistage recommandé pour 350 personnes
À Robert-Debré, des mises en garde du public ne sont faites que dans le service de néphrologie, le seul où la présence de la bactérie a été avérée.
Rémi Wafflart

«MADAME Monsieur, en raison de la découverte chez des personnes hospitalisées en néphrologie de patients porteurs d'une bactérie résistante aux antibiotiques appelée ERV (enterococcus faecium résistant à la vancomycine) un dépistage systématique est réalisé chez tous les patients ayant été hospitalisés dans le service en même temps que les patients porteurs de cette souche? S'il s'avérait que vous êtes vous-même porteur de cette bactérie, cela n'aurait aucune conséquence sur votre état de santé, mais vous pourriez, si vous deviez être à nouveau hospitalisé, la transmettre à d'autres patients? Afin d'éliminer cette éventualité, Il paraît important de s'assurer que vous n'êtes pas porteur? »
Ce courrier du CHU Robert-Debré de Reims, ils sont environ 350 à l'avoir reçu : des habitants de Reims et ses grands environs, Marnais, Axonais, Ardennais.
Cette mise en garde intervient à la suite de la détection, en décembre dernier, d'une malade infectée par ladite bactérie (notre édition du 18 janvier). Comme celle-ci a la faculté de se propager facilement, l'hôpital s'est engagé dans une vaste opération pour la contenir. Cela passe notamment par l'identification des porteurs. À ce jour on en est à 17. « Mais il y a aussi des personnes que nous appelons des contacts, c'est-à-dire qui ont pu être en contact avec les porteurs, et qui sont donc susceptibles de porter à leur tour la bactérie », indique le professeur de Champs, chef du service bactériologie/hygiène à l'hôpital. Ils sont donc...
L'Union du 26/01/08
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Reims
Des jardiniers réactifs et responsables
Une assistance attentive et réactive.

La salle du centre des congrès où se tenait l'assemblée générale des jardins associatifs de la communauté d'agglomération de Reims n'était pas assez vaste, dimanche, pour accueillir des adhérents réactifs.
Cette association de jardiniers est la plus importante en nombre, avec 250 adhérents, dont les parcelles sont situées sur 15 secteurs disposant chacun d'un responsable.
Elle s'est dotée de nouveaux statuts le 12 juillet dernier et dispose désormais d'un local à la maison de la vie associative.
Le droit d'entrée est de 8 ? auxquels s'ajoutent 12 centimes par m2 de terrain à disposition.
Le président Didier Klodawski ? également président de la fédération des jardins familiaux de l'agglomération de Reims....
L'Union du 26/01/08
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Tinqueux
Le gymnase Croix-Cordier bientôt rénové

Le budget primitif 2008 a retenu toute l'attention du conseil municipal, lors de la réunion qui s'est tenue mardi soir à l'hôtel de ville. Voté par 28 voix pour et 3 contre, ce budget n'a soulevé aucune remarque particulière de l'assemblée. Ce budget, d'un montant de 7.636.000 ? pour la section de fonctionnement, et de 1.745.000 ? pour les investissements, est équilibré sans recours à l'emprunt et en maintenant les taux d'impôts de 2007.
Parmi les investissements proposés par Jean-Pierre Fortuné, les projets les plus importants concernent la réfection de la rue Croix-Cordier, de l'avenue Paul-Vaillant-Couturier, ainsi que diverses voiries dans le quartier du Champ Paveau. Des crédits sont également inscrits pour la rénovation du gymnase Croix-Cordier que la commune vient d'acheter à Reims Métropole.
Parmi les autres délibérations : l'acceptation de la redevance d'occupation du domaine public par les ouvrages des réseaux publics de transport et de gaz au taux de 100 % ; une demande de subventions au titre de la dotation globale d'équipement pour 2008, pour la réfection de la rue Croix-Cordier, la modernisation de....
L'Union du 26/01/08
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Reims
Révolution annoncée sur le réseau de bus
Des lignes transversales, des rocades, des passages plus fréquents et de nouveaux quartiers desservis, le réseau de bus sera réorganisé dès la mise en route du tram.

Des lignes transversales, des rocades, des passages plus fréquents et de nouveaux quartiers desservis, le réseau de bus sera réorganisé dès la mise en route du tram.

Les bus préparent leur révolution après-tram. Ils seront de toutes les couleurs et porteront des numéros à la place des lettres.
Il devrait y avoir davantage de dessertes et de passages : « Actuellement, les bus parcourent 7,7 millions de kilomètres par an. Le tramway va en parcourir 1 million, nous allons ajouter 430.000 km de bus, ce qui nous fera un total de 8,2 millions de kilomètres par an », annonce Christian Messelyn, président de Mars, successeur des TUR.
Le plan des futures lignes n'est pas finalisé car « nous souhaitons prendre le temps de faire des enquêtes de fréquentation et nous concerter avec les nouvelles équipes municipales de l'agglomération ». Un premier schéma sera proposé à Reims Métropole « courant 2009 » pour une mise en service au moment de la mise en route du tram en 2010.

Changement de tracé

Ceux qui n'habitent pas sur la ligne du tram ne devraient pas y perdre. « Il n'est pas question d'obliger les habitants de La Neuvillette ou de Bezannes à rejoindre une station tram pour se rendre au centre-ville. »
Ils auront toujours leur bus mais sur un tracé parfois moins direct. Ceux qui prennent aujourd'hui le « A » à la Neuvillette auront une option. Ils pourront soit changer et monter dans le tram place des Belges soit rester dans leur bus jusqu'au centre-ville. Sauf qu'ils n'emprunteront plus l'avenue de Laon. Ils...
L'Union du 25/01/08
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Reims
Pourquoi le préfet tarde à lancer le tramway ?

Tant que le préfet n'aura pas mis sa signature au bas de la déclaration d'utilité publique, les travaux du tramway ne pourront pas commencer. S'il ne l'a pas encore fait, c'est que la procédure impose encore une démarche.
À la suite des conclusions de la commission d'enquête, la société Mars chargée de concevoir la ligne, a dû opérer quelques modifications pour mériter son avis favorable.
Cette version corrigée a été entérinée par le conseil communautaire mais comme elle apporte des modifications sur les plans d'urbanisme de Reims, Bétheny et Bezannes, les conseils municipaux de ces trois communes doivent être à nouveau consultés.

S'ils étaient en désaccord, le préfet pourrait alors, au nom de l'utilité publique, entériner lui-même le changement.
Cette « formalité » est prévue dans le code de l'urbanisme mais comme elle est particulièrement formelle (les élus se sont déjà prononcés en faveur du tram au sein de l'agglomération)
24/01/2008
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Reims
Les propriétaires en colère rencontrent le maire

Les propriétaires concernés par la zone réservée du plan d'urbanisme (notre édition de lundi) ont rencontré le maire pour exprimer leur mécontentement.
La réunion qui s'est tenue en mairie lundi soir a été « très mouvementée ».
Les 13 riverains de l'hôtel de ville sont venus avec pour objectif de faire annuler ce classement qui les empêche d'obtenir tout permis de construire, qui les voue à une préemption en cas de vente, voire même à une expropriation pour cause d'utilité publique.
Comme il l'avait déclaré dans nos colonnes, Jean-Pierre Lenglet leur a assuré qu'il ne comptait pas exproprier et que tout s'était fait dans la légalité.
Des arguments trop légers pour des personnes qui veulent récupérer tous leurs droits sur leur bien.
« Le maire s'est tout de même engagé, s'il était élu, à revoir le plan d'urbanisme mais sans donner de détail ». Plusieurs personnes âgées présentes dans la salle ont demandé un engagement écrit qui leur a été refusé : « Je n'ai qu'une parole », a lancé le maire.
« Je n'annulerai pas tout »
L'évocation du cas du médecin épargné, voire favorisé, par le classement n'a pas contribué à calmer l'ambiance : « Le maire avait vraiment l'air mal à l'aise ».
N'importe quel maire en pleine campagne électorale le serait à moins.
S'il est réélu, il entend bien calmer le jeu, mais ne fait pas de promesse : « J'ai l'intention discuter à nouveau avec les propriétaires après l'élection mais je ne peux pas m'engager à faire voter une modification du plan
24/01/2008
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Reims
MUNICIPALES 2008 / Écologie et culture au centre des propositions de Tristan Muzard
Tristan Muzard a tenu sa première conférence de presse, hier, devant la médiathèque Falala, au pied de la cathédrale.

Comme il n'y a rien de mieux que l'air frais ? ce n'est pas peu dire -, c'est sur le parvis de la cathédrale que le tout jeune président du Parti Ecolosocial, Tristan Muzard, a tenu sa conférence de presse. Un véritable baptême pour cet électricien âgé de 19 ans qui confirmait sa volonté de se présenter aux municipales, dans nos colonnes le 12 janvier dernier. Sans notes, ni discours, c'est de manière un peu confuse que le junior de l'étape a tenu sa première conférence. Le jeune homme a indiqué que son parti ? créé en octobre 2007 ? avait déjà élaboré un budget prévisionnel pour la ville (bientôt disponible sur leur site) ainsi que 500 propositions. Mais hier, seulement une dizaine a été énoncée. Quelques idées « plutôt gauche social » qui n'ont pas fait l'objet de plus de développement.
« Des événements de rue tous les mois » Parmi elles : la réalisation de « HLM propres », le développement d'antennes mobiles de mairie, la mise en place de Vélib'et l'abandon du tramway. Ce dernier « ne sert à rien s'il n'y a pas de parking à l'extérieur de la ville, justifie Tristan Muzard. A la place, il faut faire un métro extérieur ». Tout cela avec l'objectif « d'éradiquer absolument les voitures du centre ville ».
Mais surtout, le nouveau venu dans l'arène politique préconise « beaucoup plus de culture, avec des événements de rue tous les mois ». « Il s'agira d'un gros budget de la mairie », précise-t-il.
Même s'il assure être prêt à entrer dans la course pour la mairie, Tristan.....
24/01/2008
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Reims
Les bons plans pour se garer gratis
Ça ne s'invente pas : l'une des rares rues gratuites en plein centre, la rue Vautier Le Noir, abrite les locaux des services de la voirie?

Pour ne pas avoir à glisser sa petite pièce dans l'horodateur, mieux vaut se lever tôt. Dans l'hypercentre, délimité par la « rocade intérieure » (1), les places gratuites savent se faire discrètes. A la police du stationnement, les agents affirment même sans rire qu'ils ignorent où elles se cachent?

Parking gratuit rue Clovis

Nichés rue Vautier Le Noir (rue en plein centre mystérieusement gratuite), les services de la voirie recensent pourtant 2.239 places gratuites. Après un quadrillage méthodique du centre, voici les plus recherchées et les plus secrètes.
Si votre porte-monnaie crie famine, pas la peine de vous aventurer dans toute la zone qui s'étend de l'Hôtel de ville à la cathédrale d'une part, de la gare à la rue Hincmar d'autre part. Vous aurez plus de chances en explorant les sens uniques qui relient cette dernière à la rue de Venise (à quelques exceptions près), avec notamment deux astuces : la petite rue Jean-d'Orbais, qui serpente de la rue Clovis à la rue Boulard, et surtout le parking gratuit à l'angle des rues Clovis et Hincmar.
Les riverains eux-mêmes se disent surpris de la gratuité de ce parking (une centaine de places, prises d'assaut avant 9 heures?). « Il a rouvert il y a moins d'un an après des travaux de revêtement. On pensait qu'ils allaient le rendre payant, mais non. Cela dit, à part le week-end, il faut vraiment être verni pour trouver une place ! »

Boulevard Lundy et Boulingrin

En remontant vers la place Aristide-Briand, deux axes ont conservé leur gratuité : la majeure partie de la rue Ponsardin (ainsi que les rues des Murs, Saint-Pierre-les-Dames et Louis-Berton) et la rue Voltaire à partir de la rue Saint-Symphorien (ainsi que les rues Diderot et des trois Raisinets).
Loin des rares places des ruelles Saint-Yon ou Montoison, le gros du stationnement gratuit se situe sur le boulevard de la Paix et le boulevard Lundy, sans oublier sa parallèle, la rue Andrieux (et les quelques rues qui la croisent).
Miracle enfin en arrivant au Boulingrin et ses centaines d'emplacements (2). « Miracle surtout si vous en trouvez une ! », plaisante un Rémois qui travaille à deux pas. « C'est plein dès 8 heures - 8 h 30 et il ne se libère que quelques places le midi. En revanche c'est vide le soir ! »
Finissons ce tour d'horizon avec les 15 parcs de surface gérés par la ville (les parcs fermés (3)), qui proposent 1.148 places gratuites? la première demi-heure. Si vous aussi peu de temps que d'argent, c'est parfait.

Guillaume Lévy

(1) Zone délimitée par les rues de Venise, du lieutenant Herduin et Gerbert, les boulevards de la Paix, Lundy, Joffre, Roederer, Noirot et Paul-Doumer.
(2) Stationnement interdit le jour du marché, le samedi de 5 à 15 heures.
(3) Ils se répartissent dans tout l'hypercentre, à raison de deux, place du Forum, place Jamot et boulevard Roederer ; d'un seul rue de Vesle et rue du lieutenant Herduin, boulevard du général Leclerc et boulevard Foch, place Royale et place Saint-Maurice, à l'angle des rues Chanzy et Liebergier, pont De Gaulle et entre les rues Chabaud et Clovis.
l'Union du 22/01/2008
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Reims
MUNICIPALES 2008 / Des travaux et un projet électoral d'hôtel 4 étoiles Place Royale
Alors que de nouveaux travaux sont entrepris pour mettre des plots plus solides Place royale, Renaud Dutreil, candidat UMP à l?élection municipale, verrait bien un hôtel 4 étoiles à la place de la sous-préfecture.
Une fois encore, encore une fois, une partie de la Place Royale est en travaux. Et ce n'est peut-être pas terminé. Un candidat aux municipales y verrait bien un hôtel 4 étoiles à la place de la sous-préfecture.

CRÉÉE en 1748, officiellement achevée en 1952 avec la construction du dernier bâtiment qui la fermait, la Place Royale fait toujours l'objet d'interventions nombreuses depuis la réfection de son sol et de ses abords en 2001. Imposé, tout comme le revêtement de sol, par l'architecte des Bâtiments de France, le mobilier urbain (bornes, plots, chaînes) y est régulièrement renversé, cassé. « J'ai demandé aux services de la voirie, cela coûte à la ville donc aux contribuables, une somme de 10.000 à 20.000 euros par an », confirme Florence Mobuchon, adjointe. Faites le calcul depuis 2001? Et encore on ne vous parle pas de la sécurité avec des passages pour piétons presque invisibles pour qu'ils ne jurent pas sur cette place classée en 1952. Bref, du beau gâchis dont l'élue n'a pas à assumer la responsabilité puisque « le projet a été réalisé par son prédécesseur Frédéric Payen. » Reste qu'il faut bien tenter d'entretenir et d'améliorer le site pour le plaisir des touristes et la sécurité de tous. Une mission difficile à mener compte tenu du comportement souvent imprudent des automobilistes.
De nouveaux plots

C'est décidé. Les travaux ont commencé du côté des commerces sous la forme de profondes tranchées. La ville va procéder au remplacement des plots. Une information a été faite auprès des Bâtiments de France et de nouveaux plots en inox, comme il y a ailleurs en ville, vont être posés avec des fondations plus importantes. « Ils seront ancrés plus profondément pour qu'ils ne basculent pas. » Tant pis pour les chauffards.
Quant aux chaînes qui régulièrement sont cassées et traînent par terre, pas de solution en vue. Les Bâtiments de France n'ont pas souhaité du temps de Pierre Antoine Gatier qu'elles soient plus épaisses et plus lourdes comme à Nancy. Il faut donc faire avec. Qui a dit que le bon sens était la chose au monde la mieux partagée ...
l'Union du 22/01/2008
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Taissy : Le plan d'urbanisme provoque un scandale
« Les propriétés le long de la mairie et le long de la rue Saint-Léonard sont désormais à la merci de la municipalité », explique l'un des propriétaires.
propriétaires autour de la mairie viennent d'apprendre que leurs maisons ont été classées « zone réservée » par la commune. Ils ont peur d'être expropriés.

TOUT un quartier en émoi autour de la mairie. Les riverains de l'hôtel de ville, ceux qui habitent autour du giratoire et le long de la rue Saint-Léonard jusqu'à l'église sont sur le sentier de la guerre. Ils viennent d'apprendre qu'il y a deux ans leurs propriétés ont été classées «zone réservée» dans le plan local d'urbanisme de la commune. Ce qui veut dire qu'ils n'ont plus le droit de construire dessus, qu'ils ont toutes les chances d'être préemptés en cas de vente et qu'ils peuvent même être expropriés par la commune. Soit mis à la rue de force. « Ça fait 50 ans que je vis à cette adresse. J'ai élevé mes enfants dans cette maison, mon mari est décédé ici, il n'est pas question que je bouge de là », lâche Micheline, bien remontée.
Ce qui est en train de devenir une affaire d'État à Taissy a commencé quand la grand-mère Eveloy est allée voir son notaire. Propriétaire de la parcelle à la droite de la mairie, la généreuse mamie voulait donner un morceau de terrain à son petit-fils.

« Le maire aurait pu nous prévenir »
C'est alors que le notaire lui apprend que ce terrain est sous le coup d'un classement réservé et que son petit-fils ne pourra pas y faire grand-chose. Sinon planter un marabout aux beaux jours.
La nouvelle s'est répandue. Treize propriétaires au total ont réalisé qu'ils étaient concernés. « Je ne m'y attendais pas du tout. J'aurais imaginé que le maire aurait eu au moins l'amabilité de nous prévenir avant de faire une chose pareille », s'indigne Laurence, propriétaire à la gauche de la mairie. Cette dernière dispose d'un champ avec des chevaux, elle ne pourra jamais y construire une maison.
Quand Maryam Dubois a su qu'il était dans le lot, il a fait des recherches : « Je me suis renseigné et j'ai alerté tout le monde. Le maire a eu beau me dire de ne pas m'inquiéter, de construire chez moi ce que je voulais, il reste qu'une menace d'expropriation pèse désormais sur nos maisons ».
Thierry qui habite le village depuis tout petit n'en revient pas : « On pense que le maire a dans l'idée de refaire le centre comme à Tinqueux. Espérons seulement qu'il ne va pas tout démolir ».
Yann a acheté en 2005 : « À l'époque, la mairie avait déjà tenté d'exproprier et j'ai bien failli ne pas avoir la maison mais leur expropriation a été refusée car ils n'avaient pas de projet. Juste après cela, ils ont classé tous les terrains en zone réservée ». Inquiets, tous se demandent ce qui se trame dans les bureaux de la mairie. Vont-ils être mis dehors pour laisser la place à de gros promoteurs qui vont construire de grosses résidences ?......
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L'UNION REIMS du 21/01/2008

Payez vos PV, c'est pour la bonne cause !
Plus de 110.000 procès verbaux sont établis chaque année à Reims et rapportent plus d’un million d’euros. Quant aux horodateurs, ils collectent près de 3millions. Qui touche cet argent ? A quoi sert-il ?
Les pièces des horodateurs vont directement dans le budget de la ville. L’argent des PV file dans les caisses de l’Etat, qui le réattribue aux villes pour les travaux de voirie.

Issu de la rue, il retournera à la rue. L'argent issu des PV établis chaque année à Reims est affecté, après un passage par l'Etat, aux travaux de voirie. A l'exception des quelques millions collectés par les horodateurs.

AGIT-ON pour la bonne cause lorsqu'on (se) paie une prune ? Même si la découverte d'un « papillon » bleu sur son pare-brise ne fait jamais plaisir, on peut le penser. Cela peut même rassurer de savoir qu'un PV de 11 euros rapporte… 15 euros à la ville.
Une manne d'1,7 million

Chaque année plus de 110.000 PV sont signés à Reims, ce qui en fait de loin la cham pionne marnaise (près de deux tiers des amendes du département). En 2007, ce chiffre a même grimpé à 112.870.
L'immense majorité concerne des amendes à 11 euros (défauts de paiement ou durée de stationnement dépassée), avec 103.633 PV établis. Les amendes de 35 euros (pour stationnement illicite) et de 135 (pour s'être garé sur un passage piéton ou une place réservée aux handicapés) complètent la « donne » : 8.929 pour les premiers, 308 pour les seconds.
« Les PV sont enregistrés chez nous, note Hervé Littierre, chef de la police du stationnement (une vingtaine d'agents contractuels dans la ville). Mais les timbres amendes, adressés à l'ordre du Trésor public, sont encaissés par l'Etat. »
« Chaque année, poursuit Florence Mobuchon, en charge de la voirie pour la ville, l'Etat fixe un forfait par amende, et non par type d'amende. Ce montant change tous les ans et dépend de critères comme la taille de la ville, du département et du nombre de PV établis. ».....
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L'UNION REIMS du 21/01/2008

Reims
Reims bat Aulnoye 26-25 (17-13). Arbitres : Mme Diallo et M.Duval. 200 spectateurs. Expulsions : RCH 4 x 2’, Aulnoye 4 x 2’.
RCH : Thiney, Gerum ; Marin 9, Bouzancourt 4, De Baene 4, Gonzague 2, Colas 1, Ly 6, Gabella, Picars, Delaunay.
AULNOYE-AYMERIES : Deletang ; Bracq 8, Coubrant 3, Danguin, Dubreuil, Federer 1, Fleury, Hocquet, Leroy 9, Quinzin 1, Rohrmann 3.
Après quatre minutes d’observation, les Rémoises prenaient le match en mains. Elles attaquaient avec détermination, virevoltaient de droite à gauche, étouffaient leurs rivales....

Merci Marie...
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L'UNION REIMS du 21/01/2008

Reims
Reims - Sernam : un méga projet place de la République.
Réseau Ferré de France et la SNCF ont revendu le terrain de 68 000 m² du Sernam à la financière Norev, qui a des projets pour métamorphoser les abords de la place de la République. Voici ce que le promoteur envisage de mettre sur ces 7 hectares : 40 000 m² de bureaux, autant de logements, 12 000 m² de commerces soit 92 000 m² de construction. Le boulevard Jules -César devrait être supprimé. Un parking d'une capacité de 1 700 places est prévu conformément aux ratios d'usage. Lire l'article...
L'UNION REIMS du 17/01/2008 (en page 2)

Reims - Le parcours du combattant d'une famille pour se loger : les explications de l'Effort Rémois.
L'Effort Rémois gère 21 150 logements dans toute la Marne. Le Foyer rémois gère près de 15 350 logements, 1 600 sont libérés chaque année, pour 5 000 demandes. Reims Habitat gère 10 000 logements à Reims, 1 110 foyers logés en 2007 pour 4 370 demandes. Lire l'article...
L'UNION REIMS du 17/01/2008 (en page 3)

Châlons - Castel : 7 employés refusent leur transfert à Reims.
Cinq aides cuisinières, une secrétaire et une femme de ménage employées au Castel ont reçu en novembre 2007 une lettre de leur directeur, Christophe Bombaron, leur notifiant une mofification de leur lieu de travail, à savoir un transfert de Châlons à La Neuvillette à partir du 3 janvier 2008. Devant les contraintes découlant de ce transfert en matière de temps et d'argent, aucune compensation financière n'étant proposée à part 100 ? par mois les trois premiers mois d'activité à La Neuvillette, elles ont refusé en bloc. Christophe Bombaron est à la tête de six établissements à Reims pour quelque 80 000 couverts et une centaine de personnes. Il a également investi dans une cuisine centrale, toujours sur Reims, pour rationnaliser ses approvisionnements et sa production. Sa volonté de transfert de salariés entre sans doute dans cette logique. Il n'a pas souhaité s'exprimer sur la question.
L'UNION CHALONS-EN-CHAMPAGNE du 17/01/2008 (en page 2)

Carte judiciaire : les chefs de cour contredisent Rachida Dati. Ni le premier président, ni le procureur général de la cour de Reims n'ont proposé la fermeture du tribunal d'instance d'Epernay pas plus que le transfert à Reims des trois cabinets d'instruction du tribunal de grande instance (TGI) de Charleville-Mézières. Le ministre de la Justice Rachida Dati a pourtant toujours affirmé que les suppressions de juridictions trouvaient leur origine dans les propositions faites par les chefs de cour. Lire l'article...
L'UNION MARNE du 16/01/2008 (en page B)

Reims : les villages loin de Reims attirent de plus en plus.
A quelques exceptions, les résultats du recensement 2007 dans l'arrondissement de Reims confirment la tendance enregistrée l'an passé. Les petits villages attirent de plus en plus les urbains. La commune de Bétheny a ainsi gagné 6,48 % habitants depuis 1999. Celles de Cernay-lès-Reims +9,35 %, d'Hermonville +4,74% et de Verzy +1,04%. Lire l'article...
L'UNION REIMS du 16/01/2008 (en page 3)

Cap pour un nouvel horizon bleu.
Présidée désormais par Didier Janot, Horizon Bleu à Reims (CA 2007 autour de 4,3 M? réalisé à 80 % à Paris et en région parisienne), l'une des rares agences indépendantes de ce gabarit (une trentaine de salariés) en Champagne-Ardenne, s'est lancée depuis plusieurs mois dans un élargissement de son offre sans précédent. Une diversification qui lui permet d'être présente sur tous les secteurs d'activité et d'envisager une extension géographique. Pour l'instant, elle prépare sa nouvelle identité visuelle et son déménagement en juin 2008 pour plus de 1 000 m² dans la zone Farman à Reims.
PETITES AFFICHES MATOT BRAINE n° 7220 du 14/01/2008 (en page 6)

Les parents sont de plus en plus seuls.
Le cliché de la famille nombreuse, famille heureuse, commence sérieusement à jaunir. Les derniers résultats de l'enquête annuelle de recensement de l'Insee confirment la diminution de la taille des ménages et la poussée des familles monoparentales. Pour la Champagne-Ardenne, moins de population, plus de ménages. Entre 1999 et 2006, le nombre de ménages a en effet augmenté de 29000 alors que la population baissait de 0,7% soit 11000 personnes. Lire l'article...
L'UNION du 16/01/2008 (en page 7)

Reims-Habitat : 200 nouveaux logements en 2008.
Reims-Habitat assure le renouvellement en produisant 200 logements par an. Sur le patrimoine existant, un programme ambitieux : "Nos planches à dessin regorgent de projets !". Autre point essentiel, la démarche "Qualibail". Cette certification inclut les entreprises signant la charte. La politique foncière de Reims-Habitat veut être marquée de l'empreinte du respect de l'environnement. Un exemple : la construction à Tours-sur-Marne de logements "Eco Quartier Environnement". Lire l'article...
L'UNION REIMS du 16/01/2008 (en page B)

Reims : du lobbying anti-tramway.
Tandis que du côté de Reims métropole et de Jean-Louis Schneiter, on attend et on s'active pour que le préfet Philippe Deslandes signe la déclaration d'utilité publique (DUP) pour le tram, coup d'envoi officiel des travaux, les anti-tramway ne restent pas inactifs. Lire l'article...
L'UNION REIMS du 16/01/2008 (en page 2)

Zac de Bezannes : ça se précise.
Lors de la cérémonie des v?ux, le maire de Bezannes, Jean-Pierre Belfie, a annoncé qu?un compromis de vente avait été signé avec la compagnie financière Frey qui va installer le siège social de sa holding sur la Zac de Bezannes. Lire l'article...
L'UNION REIMS du 18/01/2008 (en page B)