Reims : Toute l'information rémoise et champenoise

 


mercredi 30 avril 2008

Les écoles maternelles, élémentaires, primaires, publiques de Reims

Les écoles Maternelles, primaires, élémentaires de Reims.

Enseignement Public

Ecoles maternelles   Ecoles élémentaires et primaires       

Ecoles maternelles haut de la page

Ecole maternelle JAMIN
6 RUE MONTESQUIEU
51100 REIMS
Tél. : 03-26-07-27-65

Ecole maternelle PRIEUR DE LA MARNE
1 RUE XAVIER DIZI
51100 REIMS
Tél. : 03-26-07-43-22

Ecole maternelle PAUL BERT
2 RUE DE SIDI BEL ABBES
51100 REIMS
Tél. : 03-26-07-64-52

Ecole maternelle DAUPHINOT
2 RUE D ARCHIAC
51100 REIMS
Tél. : 03-26-07-21-69

Ecole maternelle CARTERET
28 BRD CARTERET
51100 REIMS
Tél. : 03-26-07-09-86

Ecole maternelle GERBAULT
32 RUE HENRI BARBUSSE
51100 REIMS
Tél. : 03-26-07-16-22

Ecole maternelle GENERAL CARRE
6 RUE DU GENERAL CARRE
51100 REIMS
Tél. : 03-26-07-17-15

Ecole maternelle DANUBE
3 RUE DU DANUBE
51100 REIMS
Tél. : 03-26-07-73-70

Ecole maternelle POMMERY
77 RUE DE SILLERY
51100 REIMS
Tél. : 03-26-85-25-76

Ecole maternelle YSER
16 AVE DE L YSER
51100 REIMS
Tél. : 03-26-85-25-66

Ecole maternelle ADRIATIQUE
13 B RUE DE L' ADRIATIQUE
51100 REIMS
Tél. : 03-26-02-68-92

Ecole maternelle LA NEUVILLETTE
2 - 4 RUE DES ECOLES
51100 REIMS
Tél. : 03-26-09-67-55

Ecole maternelle TROIS FONTAINES
253 RUE P VAILLANT COUTURIER
51100 REIMS
Tél. : 03-26-09-21-94

Ecole maternelle JARDELLE
94 T RUE SAINT THIERRY
51100 REIMS
Tél. : 03-26-09-05-37

Ecole maternelle ZOLA
99 RUE EMILE ZOLA
51100 REIMS
Tél. : 03-26-47-46-91

Ecole maternelle CHARLES ARNOULD
3 RUE DE THIL
51100 REIMS
Tél. : 03-26-87-16-55

Ecole maternelle ANQUETIL
21 RUE ANQUETIL
51100 REIMS
Tél. :03-26-40-16-79

Ecole maternelle CLAIRMARAIS
119 RUE DU MONT D ARENE
51100 REIMS
Tél. :03-26-88-69-45

Ecole maternelle RUISSELET
4 RUE DU PISTOLET
51100 REIMS
Tél. :03-26-82-61-67

Ecole maternelle TOURNEBONNEAU
4 RUE TOURNEBONNEAU
51100 REIMS
Tél. :03-26-85-54-00

Ecole maternelle CLOVIS CHEZEL
34 RUE LEDRU ROLLIN
51100 REIMS
Tél. :03-26-06-30-79

Ecole maternelle BARTHOU
9 BLD LOUIS BARTHOU
51100 REIMS
Tél. :03-26-06-11-01

Ecole maternelle DOCTEUR ROUX
29 CHE DES CHARBONNIERS
51100 REIMS
Tél. :03-26-86-12-46

Ecole maternelle JULES FERRY
22 RUE ALBERT THOMAS
51100 REIMS
Tél. :03-26-85-39-32

Ecole maternelle COOK - VASCO DE GAMA
10 BLD VASCO DE GAMA
51100 REIMS
Tél. :03-26-86-12-44

Ecole maternelle MOUGNE - TIXIER
7 RUE PIERRE MOUGNE
51100 REIMS
Tél. :03-26-86-23-20

Ecole maternelle TURENNE
20 RUE TURENNE
51100 REIMS
Tél. :03-26-49-97-14

Ecole maternelle LA PEROUSE
87 RUE LA PEROUSE
51100 REIMS
Tél. :03-26-06-43-72

Ecole maternelle MAZARIN
43 RUE ANDRE CHENIER
51100 REIMS
Tél. :03-26-36-17-87

Ecole maternelle RICHELIEU
55 RUE RICHELIEU
51100 REIMS
Tél. : 03-26-36-67-92

Ecole maternelle SULLY
1 et 7 RUE ARTHUR HONEGGER
51100 REIMS
Tél. :03-26-36-62-41

Ecole maternelle MARTIN PELLER
14 B RUE PASSE DEMOISELLES
51100 REIMS
Tél. :03-26-08-55-29

Ecole maternelle SCULPTEURS JACQUES
15 RUE SCULPTEURS JACQUES
51100 REIMS
Tél. :03-26-04-12-69

Ecole maternelle RAVEL-FRANCHET
3 BLD FRANCHET D ESPEREY
51100 REIMS
Tél. :03.26.06.12.98

Ecole maternelle DOCTEUR BILLARD - F. LEGROS
6 RUE DOCTEUR BILLARD
51100 REIMS
Tél. :03-26-84-24-57

Ecole maternelle AVRANCHES
1 RUE D AVRANCHES
51100 REIMS
Tél. :03-26-04-28-92

Ecole maternelle DE L' HIPPODROME
3 RUE DE RILLY LA MONTAGNE
51100 REIMS
Tél. :03-26-08-48-43

Ecole maternelle PROVENCAUX - SCHUMANN
5 ALL DES PROVENCAUX
51100 REIMS
Tél. :03-26-86-27-74

Ecole maternelle MAISON BLANCHE
2 AVE DU 18 JUIN 1940
51100 REIMS
Tél. :03-26-06-11-62

Ecole maternelle AUVERGNATS
RUE DES AUVERGNATS
51100 REIMS
Tél. : 03-26-06-58-30

Ecole maternelle JOLIOT CURIE
2 RUE LAVOISIER
51100 REIMS
Tél. :03-26-06-53-14

Ecole maternelle GALILEE NEWTON
80 RUE NEWTON
51100 REIMS
Tél. : 03-26-86-30-88

Ecole maternelle BLANCHE CAVARROT
4 ALL BLANCHE CAVARROT
51100 REIMS
Tél. : 03-26-36-54-10

Ecole maternelle JEAN D AULAN
7 RUE JEAN D AULAN
51100 REIMS
Tél. :03-26-36-14-53

Ecole maternelle CHARLES PEGUY
3 RUE CHARLES PEGUY
51100 REIMS
Tél. :03-26-09-08-65

Ecole maternelle GALLIENI
6 RUE MARECHAL GALLIENI
51100 REIMS
Tél. :03-26-09-67-60

Ecole maternelle CHARPENTIER
16 RUE LEOPOLD CHARPENTIER
51100 REIMS
Tél. :03.26.09.38.80

Ecole maternelle JEAN MACE - ROSSET
9 BLD DES BELGES
51100 REIMS
Tél. : 03-26-09-01-70

Ecole maternelle S.N.C.F.
2 RUE DU POT DE VIN
51100 REIMS
Tél. :03-26-09-36-08

Ecole maternelle DESBUREAUX
29 RUE DESBUREAUX
51100 REIMS
Tél. :03-26-09-25-78

Ecole maternelle CHARBONNEAUX
8 RUE GEORGES CHARBONNEAUX
51100 REIMS
Tél. : 03-26-09-03-28

Ecole maternelle EDITH POUPLY
23 B RUE BUIRETTE
51100 REIMS
Tél. :03-26-47-42-65

Ecole maternelle JARD
15 RUE DU JARD
51100 REIMS
Tél. : 03-26-47-77-76

Ecole maternelle VOLTAIRE
15 RUE ST SYMPHORIEN
51100 REIMS
Tél. :03-26-47-46-42

Ecoles élémentaires et primaires

haut de la page

Ecole élémentaire JAMIN
1 RUE DES ECOLES
51100 REIMS
Tél. : 03-26-07-09-52

Ecole élémentaire PRIEUR DE LA MARNE
42-44 RUE PRIEUR DE LA MARNE
51100 REIMS
Tél. : 03-26-07-43-21

Ecole élémentaire PAUL BERT
100 RTE DE WITRY
51100 REIMS
Tél. : 03-26-07-09-65

Ecole élémentaire DAUPHINOT-COURTES MARTIN
RUE DES COURTES MARTIN
51100 REIMS
Tél. : 03-26-07-15-39

Ecole élémentaire CARTERET
30 BLD CARTERET
51100 REIMS
Tél. : 03-26-07-09-49

Ecole élémentaire GERBAULT
7 RUE GERBAULT
51100 REIMS
Tél. : 03.26.07.09.61

Ecole élémentaire GENERAL CARRE
6 RUE DU GENERAL CARRE
51100 REIMS
Tél. : 03-26-07-11-94

Ecole élémentaire DANUBE
3 RUE DU DANUBE
51100 REIMS
Tél. : 03-26-07-73-72

Ecole élémentaire POMMERY
176 BLD POMMERY
51100 REIMS
Tél. : 03-26-85-24-54

Ecole élémentaire ADRIATIQUE
13 RUE DE L ADRIATIQUE
51100 REIMS
Tél. : 03-26-85-14-94

Ecole élémentaire ENFANTS DU VOYAGE
1, BIS RUE DE LA MAIRIE
51100 REIMS
Tél. : 03.26.36.40.58

Ecole élémentaire LA NEUVILLETTE
2 RUE GASTON ERNST NEUV
51100 REIMS
Tél. : 03-26-09-37-93

Ecole élémentaire TROIS FONTAINES
330 RUE P VAILLANT COUTURIER
51100 REIMS
Tél. : 03-26-09-15-69

Ecole élémentaire ZOLA
101 RUE EMILE ZOLA
51100 REIMS
Tél. : 03-26-47-74-69

Ecole élémentaire ANQUETIL
17 RUE ANQUETIL
51100 REIMS
Tél. : 03-26-47-96-29

Ecole élémentaire CHARLES ARNOULD
125 BLD CHARLES ARNOULD
51100 REIMS
Tél. : 03-26-87-18-31

Ecole élémentaire CLAIRMARAIS
111 RUE DU MONT D ARENE
51100 REIMS
Tél. : 03-26-47-43-04

mardi 29 avril 2008

Ecoles maternelles et primaires

Reims : Maternelles, primaires, lycées, collèges, facultés, etc..

Enseignement Privé

Maternelles et primaires   Collège    Lycées

Maternelles et primaires haut de la page

École Maternelle et Primaire St-André-Rogelet
33, rue Raymond-Guyot, 51100 Reims
Tél. 03 26 77 59 10
Le site St André Rogelet

École Privée Catholique Jeanne-d'Arc
94, avenue de Laon, 51100 Reims
Tél. 03 26 47 50 25

École Privée Notre-Dame
86, rue Chanzy, BP 2004, 51070 Reims Cedex
Tél. 03 26 47 61 85
Le site de Notre Dame

École Privée Sacré-Coeur
86, rue de Courlancy, 51100 Reims
Tél. 03 26 61 64 00
Le site du Sacré Coeur

École Privée Saint-Joseph
177, rue des Capucins, 51095 Reims Cedex
Tél. 03 26 85 99 84
Le site de St Joseph

École Privée Saint-Michel
16, rue de l'Union Foncière, 51100 Reims
Tél. 03 26 77 62 89
Le site de St Michel

École Thomas-Gousset
45, rue Marie-Clémence Fouriaux, 51100 Reims
Tél. 03 26 40 25 92

École Maternelle Privée Catholique Saint-Pierre
6, rue Brûlée, 51100 Reims
Tél. 03 26 05 43 00

École Privée de la Providence
1, place Nicolas-Bergier, 51100 Reims
Tél. 03 26 07 22 17
le site de l'Ecole de la Providence

École Privée Catholique Sainte-Madeleine
9, rue Henry-Delacroix, 51100 Reims
Tél. 03 26 47 87 29

École Privée InterParoissiale Nicolas-Roland
22, rue d'Oseille, 51100 Reims
Tél. 03 26 85 12 03

École Privée Saint-Louis
110, rue de la Maison-Blanche, 51100 Reims
Tél. 03 26 05 80 27

Jardin d'Enfant et Ecole
5 B, rue Diderot, 51100 Reims
Tél. 03 26 97 78 09

La Maîtrise
86, rue Chanzy, 51100 Reims
Tél. 03 26 05 43 00
Le site de la Maitrise

Collèges haut de la page

Collège, Maternelle et Primaire St-André-Rogelet
33, rue Raymond-Guyot, 51100 Reims
Tél. 03 26 77 59 10
Le site St André Rogelet

Collège Privé Catholique Jeanne-d'Arc
94, avenue de Laon, 51100 Reims
Tél. 03 26 47 50 25

Collège Privé Notre-Dame
86, rue Chanzy, BP 2004, 51070 Reims Cedex
Tél. 03 26 47 61 85
Le site de Notre Dame

Collège Privé Sacré-Coeur
86, rue de Courlancy, 51100 Reims
Tél. 03 26 61 64 00
Le site du Sacré Coeur

Collège Privé Saint-Joseph
177, rue des Capucins, 51095 Reims Cedex
Tél. 03 26 85 99 84
Le site de St Joseph

Collège Privé Saint-Michel
16, rue de l'Union Foncière, 51100 Reims
Tél. 03 26 77 62 89
Le site de St Michel

La Maîtrise
86, rue Chanzy, 51100 Reims
Tél. 03 26 05 43 00
Le site de la Maitrise

Lycées haut de la page

Lycée Privée Sacré-Coeur
86, rue de Courlancy, 51100 Reims
Tél. 03 26 61 64 00
Le site du Sacré Coeur

Lycée Privé Jean XXIII
18, rue Andrieux, BP 2753, 51064 Reims Cedex
Tél. 03 26 87 80 30
Le site de Jean XXII

Collège Privée Saint-Joseph
177, rue des Capucins, 51095 Reims Cedex
Tél. 03 26 85 99 84
Le site de St Joseph

Collège Privée Saint-Michel
16, rue de l'Union Foncière, 51100 Reims
Tél. 03 26 77 62 89
Le site de St Michel

Cours Privé Jean-Jacques-Rousseau
2, rue Piper, 51100 Reims
Tél. 03 26 40 04 01

lundi 28 avril 2008

Grandes écoles à Reims

Les grandes écoles privées à Reims..

Enseignement Privé

Grandes écoles   Lycées Techniques    Lycées Professionnels   Lycées agricoles

Grandes écoles haut de la page

ESAD
Ecole Supérieure d'Art et de Design
12, rue Libergier 51100 Reims
Tél. 03 26 84 69 90
Le site de l'Esad

Reims Management School
ESC / CESEM / TEMA : SUP TG
59 rue Pierre Taittinger
BP 302 - 51061 Reims Cedex.
tél. : 03 26 77 47 75
Le site

Institut Européen de Management Social, groupe CESI
Pôle Henri Faman
9 rue Gabriel Voisin
BP 344, 51688 Reims Cedex 2
Tél. 03 26 79 35 70

SUPINFO Reims
Métiers de l’informatique et du numérique
Nouveau nom de l’ESI (Ecole Supérieure d'Informatique de Paris).
Tél : 0 810 813 113
Mail : reims@supinfo.com
Site

Institut Régional du Travail Social IRTS Champagne Ardenne
8, rue Joliot-Curie, 51100 Reims
Tél. 03 26 06 22 88

MAESTRIS Santé
46, rue de la Justice, 51100 Reims
Tél. 03 26 86 64 64

École Internationale Tunon
35, rue de Talleyrand, 51100 Reims
Tél. 03 26 88 17 44

Institut Catholique de Formation Pédagogique Jacques Sevin
2, rue Edouard Branly
51500 Taissy
Tél. 03 26 85 14 10

Lycées Techniques haut de la page

L.P. Privé Jeanne d'Arc
94, avenue de Laon, 51100 Reims
Tél. 03 26 47 50 25

Lycée Privé Saint-Jean-Baptiste de La Salle
20, rue de Contrai, BP 474, 51066 Reims Cedex
Tél. 03 26 77 17 00

Lycée Privé Saint-Michel

39, rue Martin-Peller, 51100 Reims
Tél. 03 26 77 62 82

École d'Esthétique et Coiffure Capucine
28 bis, rue de Courcelles, 51100 Reims
Tél. 03 26 88 66 65

Ecoles Professionnelles haut de la page

Cormontreuil
Reims Santé Académie

40, rue du Docteur Roux, 51350 Cormontreuil
Tél. 03 26 82 65 05

Lycée Privé Saint-Jean-Baptiste de La Salle
20, rue de Contrai, BP 474, 51066 Reims Cedex
Tél. 03 26 77 17 00

Lycée Privé Saint-Michel
39, rue Martin-Peller, 51100 Reims
Tél. 03 26 77 62 82

École d'Esthétique et Coiffure Capucine
28 bis, rue de Courcelles, 51100 Reims
Tél. 03 26 88 66 65

MAESTRIS
46, rue de la Justice, 51100 Reims
Tél. 03 26 86 64 64

Reims-Betheny
CEP Sup

13 rue Docks Remois, 51450 Reims-Betheny
Tél. 03 26 87 88 32

Thillois
Lycée d'Enseignement Agricole de Reims-Thillois

4, rue des Ecoles, 51370 Thillois
Tél. 03 26 08 04 10

Lycées agricoles haut de la page

Thillois
Lycée d'Enseignement Agricole de Reims-Thillois

4, rue des Ecoles, 51370 Thillois
Tél. 03 26 08 04 10

Vertus Maison Familiale Rurale
Les Saussaies, 51130 Vertus
Tél. 03 26 52 22 20

vendredi 25 avril 2008

Emploi Reims

Offre d'emplois Reims et la région

ANPE Reims ANPE Marne Assédic Intérim
Missions locales Appel Médical Lieu de Ressources des Cadres Offres emplois


Reims
500 jobs à prendre sur la ligne du tramway
Alstom et Bouygues espèrent recruter essentiellement à Reims.
C'est le moment de postuler pour ceux qui veulent construire la ligne de tram. Qualifié ou pas, il suffit d'avoir envie de travailler. Bouygues, Alstom et Mars s'occupent de tout.
Que ceux qui ont envie de travailler se lèvent ! La question n'est pas de savoir combien d'emplois le tramway va apporter à Reims mais plutôt combien d'employé(e) s la ville va-t-elle apporter au tramway. Tout cela pour dire que les constructeurs de la ligne espèrent que les Rémois seront nombreux à répondre à leurs offres d'emploi mais que ce n'est pas gagné.
« Nous allons recruter environ 500 personnes principalement dans les métiers des travaux publics, de l'électromécanique et aussi des services dans une moindre mesure. Je m'attends à en trouver 100 à Reims. Pas plus », estime Jean-Pierre Guérin, directeur à la Screg mais surtout président régional de la fédération des travaux publics.
Malgré des partenariats avec l'ANPE, la Mission locale et même des opérations de recrutement dans les quartiers : « On a du mal à trouver des gars qui ont envie de bosser ». L'effort en vaudrait pourtant la chandelle. Pour un ouvrier qualifié, ce sera l'opportunité d'intégrer une boîte comme Bouygues, de monter en grade et en salaire et « c'est l'assurance pour celui qui bosse bien de faire carrière ». Mêmes avantages pour les jeunes avec en plus la chance d'apprendre un métier. Diplômé ou pas, ils peuvent se manifester : « Nous allons embaucher à tous les niveaux de qualification et ceux qui n'ont pas les compétences en arrivant seront formés », souligne Alain Desvaux directeur de production issu de Bouygues.
Salaires de 1.500 à 3.500 euros
Le tramway doit mettre en valeur la ville, les recruteurs espèrent que ceux qui contribueront à le faire naître en tireront une certaine fierté. En plus des autres avantages : « Chez nous, un débutant qualifié gagne environ 1.500 euros net en plus des primes de déplacement et du casse-croûte. Lamoitié de nos cadres ne sortent pas des écoles mais proviennent de la base. Un cadre avec 10 ans d'ancienneté gagne entre 3.000 et 3.500 euros net. Il y a donc moyen de faire une belle carrière ». A condition d'avoir le courage de bosser dehors toute l'année et de faire de longues journées en été.
Pas de tout repos les travaux publics mais « du boulot assuré et des perspectives d'avenir ». Après Bouygues et le génie civil, c'est Alstom qui recrutera « entre 50 et 60 personnes dans un an. Il nous faudra des cableurs, des électriciens, des maçons, des manœuvres….», énumère Dominique Voydeville, directeur de projet.
« Quand le tramway sera terminé, nous aurons encore besoin de main-d'œuvre chargée de la maintenance pour les 30 ans à venir ».
Pour intégrer la grande aventure du tram, on peut déposer un CV sur www.mars-reims.fr, téléphoner au 03.26.69.34.70 ou écrire à Mars, 8 rue Hincmar. Les candidats pourront aussi aller directement voir les chefs de chantier.
Catherine Frey
L'Union du 19 avril 2008

Reims
  Comment devenir ambassadeur
C'est le moment de postuler pour devenir ambassadeur du tram. Le CDD de deux ans et demi est ouvert aux demandeurs d'emploi de tous les âges. La règle du recrutement sera la mixité.
La mission tramway recommande un niveau bac + 2 mais comme l'état d'esprit sera un critère primordial d'embauche, ceux qui n'auraient pas le diplôme peuvent tenter leur chance.
Le travail des 15 ambassadeurs (lire par ailleurs) consistera essentiellement à savoir écouter les gens et à les informer.
Il est recommandé d'être diplomate, calme, souple, disponible, autonome, de savoir utiliser un ordinateur, d'avoir un esprit de synthèse et de rédiger correctement. Il est aussi indispensable d'adhérer totalement au projet du tramway.
Payé 1.520 euros brut, le job impose de travailler le samedi et avec une amplitude horaire de 7 h à 20 heures par roulement.
Les candidatures doivent être adressées à l'ANPE, agence locale de Reims Vernouillet, équipe3, 53 rue Vernouillet à Reims. Tél. 03.26.35.33.30.
L'Union du 19 avril 2008

ANPE Reims et dans la Marne

ANPE agence locale Reims 1 (Jacquart)
80 rue du Docteur Lemoine
BP 210
51057 Reims cedex
Téléphone : 03 26 89 52 60
Fax : 03 26 47 81 15
Courriel : ale.reims4@anpe.fr
Horaires d’ouverture :
Du lundi au mercredi de 8h45 à 16h30
Le Jeudi de 8h45 à 13h15
Le vendredi de 8h45 à 16h00
Permanence téléphonique :
Le lundi, mardi, mercredi et vendredi de 8h45 à 17h00
Le jeudi de 8h45 à 13h15

Reims St Remi
Adresse
51 Allée Fléchambault
BP 420
51064 Reims Cedex
Téléphone : 03 26 84 68 80
Fax : 03 26 49 03 28
Courriel : ale.reims2@anpe.fr
Horaires d’ouverture :
Du lundi au mercredi de 8h45 à 16h30
Le Jeudi de 8h45 à 13h15
Le vendredi de 8h45 à 16h00
Permanence téléphonique :
Le lundi, mardi, mercredi et vendredi de 8h45 à 17h00
Le jeudi de 8h45 à 13h15

ANPE agence locale Reims 3 (Hincmar)
33 bis rue Hincmar
BP 198
51057 Reims cedex
Téléphone : 03 26 89 52 70
Fax : 03 26 40 15 16
Courriel : ale.reims3@anpe.fr
Horaires d’ouverture :
Du lundi au mercredi de 8h45 à 16h30
Le Jeudi de 8h45 à 13h15
Le vendredi de 8h45 à 16h00
Permanence téléphonique :
Le lundi, mardi, mercredi et vendredi de 8h45 à 17h00
Le jeudi de 8h45 à 13h15

Agence de Reims Vernouillet
53 rue Vernouillet
BP 28
51051 Reims cedex
Téléphone : 03 26 35 33 30
Fax : 03 26 35 33 32
Courriel : ale.reims1@anpe.fr
Horaires d’ouverture :
Du lundi au mercredi de 8h45 à 16h30
Le Jeudi de 8h45 à 13h15
Le vendredi de 8h45 à 16h00
Permanence téléphonique :
Le lundi, mardi, mercredi et vendredi de 8h45 à 17h00
Le jeudi de 8h45 à 13h15

Lieu de Ressource Cadres
40 ter rue des Capucins
BP 475
51066 Reims cedex
Téléphone : 03 26 05 76 50
Fax : 03 26 05 08 93
Courriel : esp.cadres-reims@anpe.fr
Horaires d’ouverture :
Du lundi au mercredi de 8h45 à 16h30
Le Jeudi de 8h45 à 13h15
Le vendredi de 8h45 à 16h00
Permanence téléphonique :
Le lundi, mardi, mercredi et vendredi de 8h45 à 17h00
Le jeudi de 8h45 à 13h15

ANPE Marne
VITRY LE FRANCOIS
18 rue du Marabais
BP 416
51308 Vitry-le- François cedex
Téléphone : 03 26 74 63 80
Fax : 03 26 74 52 23
Courriel : ale.vitry-francois@anpe.fr
Horaires d’ouverture :
Du lundi au mercredi de 8h15 à 12h15 et de 13h15 à 17h00
Le jeudi de 8h15 à 12h15
Le vendredi de 8h15 à 12h15 et de 13h15 à 17h00

CHALONS EN CHAMPAGNE
81 rue de la Marne
51022 Châlons en Champagne cedex
Téléphone : 03 26 68 25 41
Fax : 03 26 21 67 92
Courriel :ale.chalons-champ@anpe.fr
Horaires d’ouverture :
Du lundi au mercredi et de 8h15 à 12h15 et de 13h15 à 17h00
Le jeudi de 8h15 à 12h15
Le vendredi de 8h15 à 12h15 et de 13h15 à 17h00

EPERNAY
30 rue de Sézanne
BP 502
51331 Epernay cedex

Téléphone : 03 26 51 01 33
Fax : 03 26 54 41 98
Courriel : ale.epernay@anpe.fr

Horaires d’ouverture :
Du lundi au mercredi de 8h15 à 12h15 et de 13h00 à 16h45
Le jeudi de 8h15 à 12h15
Le vendredi de 8h15 à 12h15 et de 13h00 à 16h45

SEZANNE
6 rue de Broyes
BP 104
51120 Sézanne
Téléphone : 03 26 80 59 10
Fax : 03 26 80 52 14
Courriel : pr.51475@anpe.fr
Horaires d’ouverture :
Du lundi au mercredi de 8h00 à 12h00 et de 13h30 à 17h00
Le Jeudi de 8h00 à 12h00
Le vendredi de 8h00 à 12h00 et de 13h30 à 17h00

ASSEDIC
Assedic Champagne Ardenne
6 r St Brice
tel : 0 890 642 642

MISSIONS LOCALES

Mission Locale pour l'Insertion des Jeunes
6 pl Quatre Fils Aymon
tel : 03 26 68 54 02

Mission Locale
Espace Mendès France 18 r Marabais
Tel :03 26 72 10 79
Fax :03 26 72 19 45

Mission Locale pour la Jeunesse
34 r Trianon
tel : 03 26 40 30 34

Appel Médical
39 rue Chanzy
tel : 03 26 88 46 42

INTERIM

Vediorbis Direction Régionale
6 r Rockefeller
Tel :03 26 77 57 00
Fax :03 26 77 57 01

Adecco
59 r Talleyrand
tel : 03 26 87 98 70

Adia
49 r de Talleyrand
tel : 03 26 77 60 42

Crit Intérim
16 r Chevigné
Tel :03 26 88 51 14
Fax :03 26 47 62 02

Creyf's Intérim
40 r Chanzy
Tel :03 26 40 47 14
Fax :03 26 84 95 27

Manpower
62 esplanade Fléchambault
Tel :03 26 79 36 00
Fax :03 26 79 36 01

lundi 21 avril 2008

Yann Arthus Bertrand

Exposition de Yann Arthus Bertrand à Reims


Du 1er mai au 5 novembre 2008
Parc de Champagne
10 avenue du Général Gouraud


Programme de l'exposition de Reims (L'exposition et l'entrée du parc sont gratuites)
Site officiel de Yann Arthus Bertrand

Yann Arthus Bertrand
On a tous en tête ces magnifiques photos vue du ciel, des prises de vues du monde entier, souvent un cri lancé pour la protection de la planète, pour le développement durable, il a également consacré une grand partie de sa vie aux animaux.
Né à paris le 13 mars 1946, fils de joailliers, il est très vite attiré par la nature et les animaux.
bien avant de devenir photographe, il s'essaiera à la carrière de réalisateur et acteur, jouera aux côtés de Michèle Morgan ( Dis moi qui tuer 1965) et dans OSS 117 prend des vacances (1970).
Mais Yann Arthus Bertrand, est comme les marins, les grand voyageurs, l'appel du large le happe, son "large " à lui c'est la nature, les animaux.
On le retrouve en 1967 dirigeant une réserve naturelle dans le sud de la France, puis en 1976 accompagné de son épouse il part vivre au Kenya dans le parc national Massaï Mara, Il se découvre une passion pour la photographie, etudie le comportement des lions. la photographie l'entraîne dans les airs où d'une montgolfière il prend ses premières photos aériennes, ces photos vues du ciel, seront l'objet de nombreux livres, d'exposition et feront le tour du monde.

1983, il publie Lions, devient pour Paris-Match et Géo, journaliste-reporter-photographe, sa spécialité : aventure, sports, nature, animaux, et la photo aérienne.
Il couvrira 10 Paris-Dakar, 14 janvier 1986 il laisse sa place à Daniel Balavoine, l'hélicoptère s'écrase quelques minutes plus tard ne laissant aucun survivants.
Il est aussi l'auteur du livre tous les ans : du tournoi de Roland Garros..

en 1991 il crée l'agence Altitude, banque de photos aériennes, 500 000 vues aériennes, 1994, avec le parrainage de l'UNESCO, il entame un inventaire des plus beaux paysages du monde, pour tenter de les protéger, le livre tiré de ce travail se vendra à 3 millions d'exemplaires en 24 langues

2005 création par Yann Arthus Bertrand de l'association écologique : GoodPlanet avec la mise en place d'Action Carbone.

Des posters sont distribués chaque année gratuitement dans toutes les écoles de France, avec un thème différent tous les ans.
2006 développement durable
2007 La biodiversité

2008
Yann Arthus Bertrand expose ses photographies au Parc de Champagne de Reims

2009
Le Grand Palais à Paris devrait accueillir " 6 Milliards d'Autres", en 2009, exposition vidéo comprenant plus de 5000 vidéos.

Quelques Photos

(les images s'agrandissent au passage de la souris)



"La Terre vue du Ciel"

Une exposition inédite de 120 photos grand format de Yann Arthus-Bertrand au Parc de Champagne

Yann Arthus Bertrand à Reims Yann Arthus Bertrand à Reims
(Photo 1 : D.Dumon -- photo 2 : Hebdo du Vendredi Reims)

Du 1er mai au 5 novembre – entrée gratuite
De nouvelles photos exposés en grand format au cœur d’un parc historique et verdoyant : le Parc de Champagne présente à Reims du 1er mai au 5 novembre 2008 une série de 120 clichés grand format et souvent inédits du photographe Yann Arthus-Bertrand, complétée par 21 idées concrètes pour l’environnement. Un méli-mélo de culture, de « verte-attitude », et de prise de conscience environnementale en entrée gratuite.

Exposition durable, en constante évolution, "La Terre vue du Ciel " réunit des photographies (120 x 180 cm) prises d’hélicoptère par Yann Arthus-Bertrand, un film court, ainsi que des textes invitant le public à prendre conscience de l’état de la planète. Chaque cliché est légendé avec titre, coordonnées GPS et légende détaillée en français et anglais, l’ensemble ayant été rédigé par des scientifiques. Enfin, chaque visiteur peut se déplacer sur un planisphère géant, fourni par l’Institut Géographique National, et y localiser les différents pays photographiés.

Le Jeu du DD ou du développement durable

Particularité de l’exposition rémoise, un jeu sur le développement durable à Reims et en Champagne viendra compléter le dispositif pédagogique au mois de juin. Installées sur l’Ancien Collège d’Athlètes du parc, 21 poches imaginées par la Ville de Reims et ses partenaires et mécènes proposeront au public la découverte de quelques actions concrètes pour le développement durable : ceps de vigne biologique, éolienne, abreuvoir solaire, opération de thermographie menée à Reims en janvier 2007…

Culture en Parc de Champagne

Avec "La Terre vue du Ciel", c’est la troisième saison culturelle du Parc de Champagne qui commence. Ce parc de 22 ha, créé au début du XXe siècle et situé dans le quartier des maisons de champagne, est géré depuis 2004 par la Ville de Reims et en entrée libre et gratuite depuis le 1er avril 2008. Depuis 2006, il abrite chaque année une exposition estivale qui articule culture et "verte-attitude". Après les "Epouvantables" en 2006, "l’Art de la Sieste" en 2007 a confirmé le succès de cette "recette" pensée pour l’été.

vendredi 18 avril 2008

Les Conseillers municipaux rémois



Ville de Reims

Madame la Maire de Reims : Mme Adeline Hazan





Les Adjoints                                Les conseillers municipaux délégués
Les conseillers municipaux         Les conseillers municipaux de l'opposition

Les Adjoints haut de la page

M. Eric Quenard
1er adjoint
*Logement
*Politique
de la Ville
M. Serge Pugeault
2ème adjoint
*Développement économique
*Grands projets
*Enseignement supérieur
*Prospective
Mme SarahOuaja-Ok
3ème adjointe
*Culture
Mme Christine Michel
4 ème adjoint
*Sports
M. Stéphane Joly
5ème adjoint
*Solidarité
*Administration générale

Mme Pascale Martin
6 ème adjointe
*Maisons de Quartiers
M. Jean Claude Laval
7 ème adjoint
*Personnel
*Etat civil
M. Jacques Meyer
8 ème adjoint
*Education et recherche
*Innovation
Mme Laurence Delvincourt
9 ème adjointe
*Petite enfance
Mme Virgine Coez
10 ème adjointe
*Lutte contre les discriminations
 
M. Ali Aissaoui
11 ème adjoint
*Démocratie locale
Mme Marie-Noëlle Gabet
12ème adjointe
*Artisanat
*Commerce
M. Raymond Joanesse
13ème adjoint
*Développement durable
*Urbanisme
Mme Christine Kutten
14 ème adjointe
*Egalité entre les femmes et les hommes
M. Jacques Cohen
15ème adjoint
*Tourisme
*Relations européennes et internationales
Mme Mireille Wojnarowski
16ème adjointe
*Santé et prévention
M. Karim Melouki
17ème adjoint
*Voirie et bâtiments municipaux


Les conseillers municipaux délégués haut de la page

M. Hassan Erretat
*Jeunesse
M. Dominique Burel
*Vie étudiante
M. Vincent Thierry
*Insertion
*Economie solidaire
M. Thierry Wippler
*Cultures émergentes et ville numérique
M. Francis Hénon
Respect des normes/acessibilité
Mme Nadia Abid
*Personnes handicapés
M. Hervé Toullec
*Rapport du budget


Les conseillers municipaux haut de la page

Mme Nathalie Malmberg M. Michel Guillaudeau M. Olivier Nostry Mme Jeanne Davis Mme Marie-France Piette
Mme Marie-Thérèse Monot M. Cédric Lattuada Mme Marie-Françoise Millet M. Alain Bisteur Mme Saida Soumaya Berthelot
Mme Joëlle Macquart Mme Jacqueline Dalhem Mme Corinne Berriot Mme Zara Pince M. Nicolas Bardin
Mme Stéphanie Cailliès M. Salaha Byar Mme Claude Verdière M. Serge Escoute Mme Sandrine Lebel
M. Gilbert Baraban


Les conseillers municipaux de l'opposition haut de la page

Mme Catherine Vautrin M. Jean Marie Beaupuy Mme Evelyne Bruschi M. Pascal Labelle Mme Kim Anceaux Duntze
M. Jean Marc Roze Mme Johanna Touzel M. Mohammed Baddou Mme Katia Hostequin M. Benjamin Develey
M. Xavier Albertini M. Franck Noël Mme Jocelyne Lhotel


mardi 15 avril 2008

Collecte vêtements à Reims

Collecte des vêtements à Reims

 Dépôts des vêtements

Les containers ou bacs pour les vêtements à Reims


Paralysés de France

Paralysés de France

Conteneur Vert

Rue de Sillery proche des immeubles en briques rouge, (un peu au dessus de l'angle rue Pépersack et rue de Sillery)
Rue du Ruisselet face à l'école primaire Ruisselet
Rue du Ruisselet face à la Sécurité Sociale (un peu au-dessus du bâtiment administratif du CHR)
Avenue de L'Isère : Quartier Chemin Vert proche de la Maison du Chemin Vert

Dépôt de vêtements et chaussures

Porche 19 rue du Jard Trappe vêtements et chausures, 19 rue du Jard

19 rue du Jard à Reims :
Trappe ouverte dans une fenêtre proche école Maternelle du Jard ou frapper à la porte sous le porche


Container "LE RELAIS"

 Container vêtements Reims  Container vêtements Reims

Conteneur Blanc

A l'angle de la rue de Brazzaville et de la rue du Général Carré à Reims
Parking Carrefour Cernay à Reims

Autres implantations (en place ou à venir)
· Rue Jacques Maritain
· Rue Richelieu - face à la rue Roger Caillois
· Rue Michel Simon / Rue Jacques-Bénigne Bossuet / Rue Jean Mahuet
· Rue Arlette Rémia Caudron
· Rue Dumont d'Urville / Rue la Pérouse / Rue la Bourdonnais
· Avenue Sainte-Clotilde / Place Sainte-Clotilde
· Avenue Général Giraud - prés du boulevard Henry Vasnier
· Boulevard Saint-Marceaux
· Avenue Georges Clémenceau / Rue du Petit Debourg
· Avenue Georges Clémenceau
· Place Nicolas Bergier
· Place Brouette / Boulevard Jamin
· Rue de Bétheny / Rue Jean Urbain
· Boulevard des Belges / Rue Pierre Sémard
· Place Luton / Boulevard Robespierre
· Boulevard Charles Arnould / Rue Louis Le Nain
· Place Charles Lebrun - devant l'espace vert
· Av. Jean Jaurès devant cimetière
· Rue de l'Arquebuse / Rue des Poissonniers
· Devant 18 Dauphinot
· Rue de Couraux / Rue Docteur Camberlein
· Boulevard Pasteur / Rue de Sillery
· Route de Cernay
· Square Chevrier
· Rue Ay (proche Armée du Salut)
· Rue Géruzez / Rue Saint-Thierry
· Rue de Courcelles


Emmaus

Emmaus Reims

Fripe Reims
101, rue Saint Thierry
51100 Reims
tél 03 26 04 80 80

Secours Populaire :

Secours Populaire Reims

1 rue des Augustins
51100 Reims
Ouvert du lundi au vendredi
De 8h30 à 12h30 et de 13h30 à 17h30
Tél. : 03 26 79 12 00
Fax : 03 26 79 12 09

· Le Foyer Protestant - 27, rue Camille Lenoir
· Le Secours Populaire Français - 1, rue des Augustins
· La Croix Rouge Française - 26, rue Houzeau Muiron
· Emmaüs Reims - 7, rue Jean d’Arvor.

Si vous connaissez d'autres emplacements merci de nous les communiquer:

Nous écrire

dimanche 13 avril 2008

Fêtes johanniques à Reims

Fêtes Johanniques 2010 : du 5 au 6 Juin 2010

Samedi 5 juin 2010

15h00 | 16h15 | 17h45 | 22h00 :
La Cie du Lion de Flandre présente « les Elixirs de Cornelius ».
Théâtre, musique, exploits, équilibre, rires et humour.
Place Royale

16h00 :
Vols de rapaces par la Cie Cowprod.
Place de l'Hôtel de Ville

17h00 :
Jeux équestres, voltige, dressage par la Cie Cowprod.
Place de l'Hôtel de Ville

17h15 :
Grand combat de chevaliers en armure par la Cie des Chevaliers de Franche Comté ARMEDIA
Chevet de la Cathédrale

21h00 :
Spectaculaire rendez-vous nocturne « La Nuit du Feu »
dans toutes les rues
Musique, danse et feu se mêleront, pour ne plus faire qu'un, et conduire les spectateurs à l'apothéose...

« La Féérie Nocturne ».

22h00 :
Représentation de combats
Place du Forum
Companies « Les Faydits de Champane » et « Les Barbillons du Val des Sacres »

Fééries nocturnes
Place de l'Hôtel de Ville :

21h45
Grand tournoi de chevalerie du Roi Charles VII par les Cies Cowprod et Arquestro
22h45 :
« Danse du Feu » par la Cie Arche en Sel
23h15 :
Final réunissant les joueurs et danseurs de feu
accompagnés d'un ensemble de 25 musiciens

Dimanche 6 juin 2010

10h10 :
Cérémonie officielle
devant la statue de Jeanne d’Arc

10h25 :
Accueil de Jeanne par Monseigneur Thierry Jordan, Archevêque de Reims.
Parvis de la Cathédrale

10h30 :
Messe solennelle en la Cathédrale

11h45 :
Apéritif proposé à tous.
Cours du Palais du Tau
(en intérieur en cas de pluie). Cies Tornals et Al Cantara

14h00 | 15h15 | 16h30 | 17h45 :
La Cie du Lion de Flandre présente « les Elixirs de Cornelius ».
Théâtre, musique, exploits, équilibre, rires et humour. <
Place Royale

15h00 :
Grand Cortège du Sacre
départ de la Basilique Saint Remi.

16h00 :
Arrivée du Grand Cortège du Sacre.
Parvis de la Cathédrale

16h00 :
Vols de rapaces par la Cie Cowprod.
Place de l'Hôtel de Ville

17h15 :
Grand combat de chevaliers en armure par la Cie des Chevaliers de Franche Comté ARMEDIA
Chevet de la Cathédrale

17h15 :
Grand tournoi de chevalerie en l'honneur et en présence de Jeanne d'Arc par les Cies Cowprod et Arquestro.
Place de l'Hôtel de Ville

vendredi 11 avril 2008

Flâneries Musicales de Reims

Les Flâneries musicales de Reims

Flâneries musicales de Reims 2010

Du 17 juin au 21 juillet 2010
Flâneries Musicales d’été de Reims 2010

programme (communiqué sous réserve de modifications)

mar 08 juin 14h00 / Cirque
Avant-Première
Action artistique classique
"Panorama de l'histoire de la guitare classique"
récital de David DEMANGE, guitare
À l’initiative des Flâneries Musicales, David Demange a réalisé de nombreuses interventions ces derniers mois dans les établissements scolaires et maisons de quartier de Reims pour sensibiliser les publics à l’univers de la guitare classique.
Pour clôturer ce cycle de rencontres, il propose un récital autour de l’histoire de la guitare classique. L’occasion de faire un voyage qui nous amènera de l’Espagne de Charles Quint au XVIème siècle où régnait la vihuela da mano jusqu’aux langages contemporains de la guitare au XXème siècle, en passant par le répertoire classico- romantique très prisé dans les salons parisiens du début du XIXème siècle. Une partie des oeuvres sera interprétée sur des copies de guitares d’époque.
Action artistique jazz
"Enfants de la musique"
BULU FULASSI
Daniel Erdmann, saxophone
Francis Le Bras, piano
André Ze Jam Afane, contes
Bulu-Fulassi, c’est une histoire racontée à trois voix :
les claviers de Francis Le Bras, le saxophone de Daniel Erdmann et la voix de André Ze Jam Afane.
Ce trio de hauts parleurs articule ses pleins et ses déliés, conjuguant densité et fragilité.
Chaque individualité donne le meilleur d’ellemême : intensité du saxophone, ténacité des claviers, persévérance du poème...
Avec bonheur, ces trois musiciens se sont trouvés et prennent un réel plaisir à confronter leurs univers.
Entrée libre

sam 15 mai 14h30 / Césaré
Rencontre autour du logiciel « Usine » développé par Olivier SENS
Hervé Birolini et Olivier Sens proposeront une rencontre le samedi 15 mai afin de présenter le logiciel Usine, un programme universel de synthèse et de traitement sonore temps réel. Olivier Sens a reçu le Qwartz Max Mathews du logiciel le plus innovant de l'année lors de la cérémonie des Qwartz Awards, à Paris début avril 2010.
Entrée libre

jeu 17 juin 19h30 / Grand Théâtre
CONCERT D’OUVERTURE Jazz
Scène européenne jazz
BOJAN z - TETRABAND
Bojan Zulfikarpasic, piano et Fender Rhodes
Gianluca Petrella, trombone
Ruth Goller, basse électrique
Sebastian Rochford, batterie
Priapisme
Bojan Zulfikarpasic est un nom incontournable du jazz en France. Entouré d’un maître du phrasé au trombone, d’un batteur hypervitaminé et d’une bassiste lumineuse, il décline avec le Tetraband sa volonté de se jouer des frontières : funk, groove, punk, musiques populaires et savantes, au choix. Une musique forte par nature dont les fulgurances rythmiques ne doivent pas faire oublier les trésors mélodiques...
Ce nouveau projet est l’occasion de clarifier les intentions d’un leader plus que jamais en position de recherche. « Jazz, pas jazz, je ne sais pas. Il y a beaucoup d’improvisations, notre approche est résolument ouverte à l’imprévu. »
Entrée libre

ven 18 juin 19h30 / Basilique Saint-Remi
CONCERT D’OUVERTURE CLASSIQUE
Julie FUCHS, soprano
Gemma COMA ALABERT, mezzo
Robert GETCHELL, ténor
Christian HELMER, baryton-basse
LA GRANDE ÉCURIE ET LA CHAMBRE DU ROY
CHOEUR NICOLAS DE GRIGNY
Jean-Claude MALGOIRE, direction
Jean-Marie PUISSANT, chef de choeur
W.A. Mozart : Requiem K.626 Conclu par Sigismund Neukomm
S. Neukomm : Liberame
Entrée libre

sam 19 juin 16h00 / Temple Protestant
"Schumann Festival"
Francesca DEGO, violon
Francesca LEONARDI, piano
R. Schumann : Sonate n°1 op.105
R. Schumann : Sonate n°1 en la mineur pour violon et piano
C. Franck : Sonate pour violon et piano en La majeur
Entrée libre

mer 19 mai 19h00 / Césaré
Contrebasse et électronique
Hervé BIROLINI / Olivier SENS
Olivier Sens et Hervé Birolini se sont déjà rencontrés à plusieurs reprises. Cette résidence, basée autour du logiciel "Usine", imaginé et développé par Olivier Sens, est l'occasion d'entrecroiser, dans une pièce mixte, leurs pratiques musicales respectives. L’ensemble produit un univers sonore où éléments acoustiques de la contrebasse augmentée de l’ordinateur et l’électronique interagissent, se complètent et se mélangent.
tarif unique 5 euros

sam 19 juin 19h30 / Cirque
“ Chopin Festival !”
Franck AVITABILE, piano
Lise BAUDOIN, piano
Sodi BRAIDE, piano
Igor LEVIT, piano
Michail LIFITS, piano
Marcela ROGGERI, piano
Einav YARDEN, piano
Varduhi YERITSYAN, piano
tarif réduit 6 euros / tarif plein 15 euros

dim 20 juin 11h00 / Chapelle Saint-Joseph
"Haydn Festival et Création XXI"
QUATUOR TERCEA
J. Haydn : Quatuor en Ut majeur op.20 n°2
F. Mendelssohn-Bartholdy : Quatuor à cordes en la mineur op.13
J.-P. Goude : Création
Entrée libre

dim 20 juin 18h00 / Centre des Congrès
"Schumann Festival"
Joaquin ACHUCARRO, piano
R. Schumann : Etudes Symphoniques op.13
M. de Falla : Fantaisie Baetica dédiée à Arthur Rubinstein
I. Albeniz : Evocacion (Iberia) 1er cahier
I. Albeniz : El Puerto (Iberia) 1er cahier
I. Albeniz : El Albaicin (Iberia) 3ème cahier
Entrée libre

mar 22 juin 16h00 / Hôtel de ville - Salle des Fêtes
"Haydn & Schumann Festival"
Kim BARBIER, piano
J. Haydn : Sonate n°59 en Mi bémol majeur Hob XVI.49
R. Schumann : Fantaisie en Ut majeur op.17
C. Debussy : Les collines d´Anacapri, Préludes 1er cahier
C. Debussy : Ce qu´a vu le vent d´Ouest, Préludes 1er cahier
Entrée libre

mar 22 juin 19h30 / Parc Mumm
Scène française jazz
ALBAN DARCHE TRIO + 1
Alban Darche, saxophone ténor
Sébastien Boisseau, contrebasse
Alexis Thérain, guitare
Emmanuel Birault, batterie Pied
Depuis près de dix ans, Alban Darche compose des pièces musicales surprenantes et décalées où les styles et les époques se télescopent. Des années de recherche et d’exploration stylistique, au cours desquelles le compositeur a réussi le pari de proposer une musique vraiment attachante en jonglant avec les répertoires et les ensembles polymorphes. Sans aucun doute, son projet contrebasse-batterie-ténor auquel il adjoint pour ce concert un guitariste, constitue un aboutissement de ce travail d’alchimiste.
Entrée libre

mer 23 juin 16h00 / Basilique Saint-Remi
Romain LELEU, trompette
Thierry ESCAICH, orgue
J.S. Bach : Concerto en Ré majeur pour trompette et Orgue BWV 972 d'après Vivaldi
J.S. Bach : Passacaille et Fugue en ut mineur pour orgue BWV 582
V. Brandt : Pièce de Concert n°2 pour trompette et Orgue op.12
T. Escaich : Improvisation
J.M. Damase : Prières sans Paroles pour trompette et orgue
T. Escaich : Tanz-Fantaisie pour trompette et orgue
T. Escaich : Improvisation
J.B. Arban : Fantaisie Brillante pour trompette et orgue
En partenariat avec l’Association des Amis des Orgues de la Basilique Saint-Remi et dans le cadre du 10ème anniversaire des orgues
Entrée libre

mer 23 juin 19h30 / Cirque
"Chopin & Liszt Festival"
Brigitte ENGERER, piano
F. Chopin : Nocturne op. 9 n°1 & 2
F. Chopin : Nocturne op. 15 n°1 & 2
F. Chopin : Nocturne ut dièse mineur op. posth
F. Chopin : Nocturne op. 27 n°2
F. Chopin : Nocturne op. 48 n°1
C. Schumann : Chuchotements arr. Liszt
R. Schumann : Liebeslied arr. Liszt
F. Liszt : Rêve d’amour
F. Liszt : Consolation
F. Liszt : Bénédiction de Dieu dans la solitude (extrait des Harmonies Poétiques et Religieuses)
F. Liszt : Cantique d’Amour (extrait des Harmonies Poétiques et Religieuses)
tarif réduit 6 euros / tarif plein 15 euros

jeu 24 juin 21h00 / Multiplexe Gaumont - Parc Millésime - Thillois
Création Scène française jazz et vidéo Pour tout bagage
Airelle Besson, trompette & bugle
Eric Daniel, guitare
Alain Grange, violoncelle
Patrick Goraguer, batterie & percussions
Alain Julien, vidéo
Tony Verbicaro, vidéo
Eric Daniel n'est pas seulement un musicien, c'est un artiste au sens large. Il cultive depuis toujours une sensibilité rare mise en lumière par son talent d'improvisateur mais aussi - on le sait moins - par une véritable passion pour l'image. Le guitariste est en effet un talentueux compositeur de bandes originales pour des documentaires et des longs métrages. Accompagné par quelques uns des beaux talents de la scène française, il nous invite à parler de voyage(s) avec une rencontre entre sa musique et les images d'Alain Julien et Tony Verbicaro.
Entrée libre

ven 25 juin 16h00 / Palais du Tau - Salle du Festin
Einav yARDEN, piano
L. v. Beethoven : Sonate pour piano n° 10 en Sol majeur op.14 n°2
I. Stravinski : Sonate (1942)
J. Haydn : Sonate pour piano en Ré majeur Hob. XVI/24
S. Prokofiev : Sonate n°2 en ré mineur op.14
tarif réduit 6 euros / tarif plein 10 euros

ven 25 juin 19h30 / Cirque
“Concert Surprise ”
Autour de L’ENSEMBLE ORCHESTRAL DE PARIS
tarif réduit 6 euros / tarif plein 15 euros

ven 25 juin 21h00 / L'Atelier
Scène française jazz
JÉRôME RATEAU QUARTET
Jérôme Rateau, piano
Emmanuel Codjia, guitare
Stéphane Kerecki, contrebasse
Nicolas Mathuriau, batterie
Du talent à la pelle
Jérôme Rateau fait partie de la jeune génération de musiciens formés par le CNSM de Paris sous la direction de François Jeanneau, Riccardo Del Fra ou Daniel Humair. Ce lieu est aussi l’occasion de rencontres : pour Jérôme Rateau, c’est celle avec le guitariste Manu Codjia. Ils partagent les mêmes inspirateurs de Stan Getz à Pat Metheny en passant par Keith Jarrett.
Ils décident de créer ce quartet autour de compositions personnelles. L’interaction et la complicité des membres du groupe enrichissent un jeu collectif marqué par la constance d’un swing naturel, la fraîcheur et le phrasé limpide des solistes.
tarif réduit 6 euros / tarif plein 15 euros

sam 26 juin 16h00 / L'Atelier
"Aux frontières des musiques savantes et traditionnelles"
Gaëlle SOLAL, guitare
Florent HÉAU, clarinette
Bruno DESMOUILLIÈRES, percussions
B. Kovacs : Hommage à Manuel de Falla
M. de Falla : Danza del molinero
M. de Falla : Nana
A. Piazzolla : “Histoire du Tango”
A. Schreiner : Immer Kleiner
E. Lecuona : Al fin te vi
Anonyme : Nu maï plinge, sirba Izvaora, hora de Bessarabie
Anonyme : Hommage à Khatchaturian, horo bulgare
E. Satie : Gnossienne n° 3
A. C. Jobim : A Felicidade Schwandt : Dream, a little dream of me
Pixinguinha : Um a zero
W. Azevedo : Brasileirinho
tarif réduit 6 euros / tarif plein 10 euros

sam 26 juin 19h30 / Cirque
Paul BADURA-SKODA, piano
L. v. Beethoven : Sonate en Ré majeur, “Pastorale” op.28
L. v. Beethoven : Sonate en La bémol majeur op.110
F. Chopin : Nocturne en Ré bémol majeur op.27/1
F. Chopin : Nocturne en do dièse mineur op.27/2
F. Chopin : Barcarolle op.60
F. Chopin : 4 Mazurkas op.30
F. Chopin : Ballade n°3 en La bémol majeur op.47
Entrée Libre

dim 27 juin 11h00 / Cercle Colbert - Jardins
"Chopin & Liszt Festival"
François WEIGEL, piano
F. Chopin : Nocturne en ut dièse mineur n°20
F. Chopin : Valse en ut dièse mineur op.64 n°2
F. Chopin : Nocturne en ut mineur op.48 n°1
F. Chopin : Grande Valse op.42 en La bémol majeur
F. Liszt : Danse Macabre (transcription par F. Weigel pour piano solo)
F. Liszt : Fantaisie sur des Thèmes Hongrois
F. Liszt : Mephisto-Valse
Entrée Libre

dim 27 juin 16h00 / Césaré
Scène européenne jazz
ROy POULSEN CHEVILLON
Guillaume Roy, alto
Hasse Poulsen, guitare
Bruno Chevillon, contrebasse
Au bout d’une corde Musiciens en perpétuelle recherche, Guillaume Roy et Hasse Poulsen n’ont de cesse d’explorer la relation de l’écrit à l’improvisé, et Bruno Chevillon se plaît à transgresser son image de « gardien du tempo ».
Ils forment en 2002 ce trio qui se positionne loin de l’orthodoxie classique des trios à cordes avec violoncelle. Ils s’investissent avec jouissance dans les expérimentations les plus sauvages, à travers l’utilisation virtuose et passionnée de divers ustensiles inattendus. Avec finesse et violence, ils parcourent les grands espaces et s’insinuent dans les interstices les plus ténus des vibrations en résonance. Au-delà du chaos.
Entrée Libre

dim 27 juin 18h00 / Cirque
"Chopin & Mozart Festival"
ORCHESTRE D’AUVERGNE
Arie VAN BEEK, direction
Laure FAVRE-KAHN, piano
W. A. Mozart : Divertimento KV136
F. Chopin : Concerto pour piano et orchestre n°2 en fa mineur op.21
F. Liszt : Malédiction pour piano et orchestre à cordes
B. Britten : Variations sur un thème de Franck Bridge op.10
tarif réduit 6 euros / tarif plein 15 euros

mar 29 juin 16h00 / Grand Théâtre
"Schubertiades"
Nemanja RADULOVIC, violon
Dominique PLANCADE, piano
F. Schubert : Sonate en Ré majeur pour violon et piano op.137 n°1 D.384
F. Schubert : Sonate en la mineur pour violon et piano op.137 n°2 D.385
F. Schubert : Sonate en sol mineur pour violon et piano op.137 n°3 D.408
F. Schubert : Sonate Arpeggione (Transcription pour alto et piano) D.821
tarif réduit 6 euros / tarif plein 10 euros

mar 29 juin 19h30 / Ancien Collège des Jésuites
Création Jazz Europe / Afrique de l'ouest

Scarabée sacré, Alphabet secret André zE JAM AFANE, voix
Daniel ERDMANN, saxophone
Chérif SOUMANO, kora
Baygon vert
Création au titre énigmatique, ce concert poursuit le cycle de rencontres initiées par le festival entre les musiques d’Europe et de l'Afrique de l'Ouest. Cette fois ci, les trois musiciens qui travailleront à trouver un langage commun seront le saxophoniste allemand Daniel Erdmann, le joueur de kora malien Chérif Soumano et le poète d'origine camerounaise André Ze Jam Afane : « Au bourdonnement du scarabée sacré, dans le firmament des alphabets secrets. Rimes et résonances du cordophone, mimes et mises en transe du saxophone. Le vernaculaire du récitant interroge, le syllabaire récalcitrant s'arroge, le privilège de vous émerveiller à l'aveuglette, de rencontres et ballades à la sauvette ».
Entrée Libre

mer 30 juin 16h00 / Eglise Saint-Remi de Bazancourt
Stéphanie-Marie DEGAND, violon
J.S. Bach : 1ère sonate
J.S. Bach : 1ère partita
J.S. Bach : 2ème partita
Entrée Libre

mer 30 juin 19h30 / Cirque
"Chopin & Mozart Festival"
ORCHESTRE NATIONAL DE PICARDIE
CHOEUR RÉGIONAL DE PICARDIE
Arie VAN BEEK, direction
Bernard SPIzzI, chef de choeur
Mickaël GUEDJ, baryton
Emile NAOUMOFF, piano
F. Chopin : Concerto pour piano n°1 en mi mineur op.11
W. A. Mozart : Ave verum Corpus, en Ré majeur KV.618
W. A. Mozart : Thamos, roi d’Egypte KV.345
tarif réduit 6 euros / tarif plein 15 euros

mer 30 juin 20h30 / Cryptoportique
HARMONIE DU 3ÈME CANTON
Francis TREMLET, direction
Alain DERRIOT, direction
Entrée Libre

mer 30 juin 21h00 / Centre des Congrès
Scène française jazz
LELOIL SEXTET
Raphaël Imbert, saxophones alto & ténor, clarinette basse
Thomas Savy, saxophone baryton, clarinette basse & sib
Christophe Leloil, trompette, bugle, sourdines diverses, compositions & arrangements Carine Bonnefoy, piano
Simon Tailleu, contrebasse
Cédrick Bec, batterie Motul
Christophe Leloil nous offre un chant d’amour à la trompette et son histoire avec des références aux figures légendaires de l’instrument, de Clifford Brown aux meilleurs de ses confrères contemporains. Trompettiste exigeant, il cisèle avec précision ses compositions sans jamais refuser de les voir enrichies par les apports de ses compagnons de route.
Les solistes s’expriment avec une rare maîtrise et une grande richesse d’expression individuelle.
tarif réduit 6 euros / tarif plein 10 euros

jeu 01 juillet 16h00 / Eglise Saint-Benoît
"Schumann Festival"
ENSEMBLE CONTRASTE
Pierre Fouchenneret, violon
Arnaud Thorette, alto
Antoine Pierlot, violoncelle
Johan Farjot, piano
R. Schumann : Quatuor avec piano en Mi bémol majeur op.47
G. Fauré : 1er Quatuor pour piano et cordes en ut mineur op.15
Entrée Libre

jeu 01 juillet 19h30 / Grand Théâtre
Anne GASTINEL, violoncelle
Claire DÉSERT, piano
Igor LEVIT, piano
E. Tanguy : Quattro Intermezzi & Poème
E. Tanguy : Création Mondiale pour violoncelle et piano et Pièce pour violoncelle solo
R. Schumann : « Cinq pièces dans le ton populaire » op.102
tarif réduit 6 euros / tarif plein 15 euros

ven 02 juillet 16h00 / Eglise Saint-Jacques
ARS VOCALIS
Hélène LE ROy, chef de choeur
L'art choral en Norvège : autour des compositeurs d'Europe du Nord
Entrée Libre

ven 02 juillet 18h00 / Médiathèque Croix-Rouge
Action artistique jazz
Mini concert-conférence
Bertrand RENAUDIN
Le critique Michel Verdure disait récemment qu’il existe deux sortes de batteurs « ceux qui abattent les arbres et ceux qui font pousser les fleurs ».
Comment aller vers l’étude de la batterie avec plaisir.
Comment développer l’improvisation.
Comment revisiter ses acquis.
En jouant des thèmes plutôt qu’une succession de plans, le batteur se retrouve libéré de toute contrainte. Mettre à nu le son ainsi que la chaleur du jeu, sans artifices techniques, partager avec l’auditeur.
Le batteur, les tambours, les cymbales afin de faire un, en communion avec le public ...
Entrée Libre

ven 02 juillet 19h30 / Médiathèque Croix-Rouge - Parvis
Scène française jazz
BERTRAND RENAUDIN
Cyril Prévost, saxophone
Thierry Bonneaux, vibraphone
Yves Torchinsky, basse
Bertrand Renaudin, batterie
Saint Emilion Amen
Bertrand Renaudin est un artiste multiple et complet. On connaît bien entendu le batteur qui anime la scène française depuis plusieurs décennies (d’Eddy Louiss à René Thomas), mais moins le peintre et l’écrivain. Pourtant cette diversité nourrit son langage musical. Le projet « Château Rouge » en est une nouvelle fois l’illustration : Bertrand Renaudin nous prouve son talent de compositeur, mettant notamment en évidence l’apport rythmique de l’Afrique dans le jazz contemporain. Richesse des mélodies, des arrangements, des tempos, des atmosphères : une grande réussite !
Entrée Libre

sam 03 juillet 16h00 / Conservatoire
"Bach & Ses Fils"
Marcela ROGGERI, piano
J.-S. Bach : Sicilienne de la sonate n°2 pour flûte et clavecin BWV 1031 (arr. Kempff)
W.F. Bach : Fantaisie en ré mineur Falck 18
W.F. Bach : Fantaisie en ré mineur Falck 23
C.P.E. Bach : Sonate en si mineur Wq. 55/3
C.P.E. Bach : Les Langues tendres Wq. 117 / 30
C.P.E. Bach : Sonate en La majeur Wq. 55/4
J.C.F. Bach : Menuet en Fa majeur
J.C.F. Bach : Adagio en do mineur
J.C.F. Bach : Polonaise en Fa majeur
J.C.F. Bach : Scherzo en Do majeur
J.C. Bach : Sonate n° 2 en do mineur op.17
J.S. Bach : Chorale de la cantate BWV 147 « Jesu bleibet meine freude » BWV
tarif réduit 6 euros / tarif plein 10 euros

sam 03 juillet 19h30 / Cirque
"Voyages & Création XXI"
Marielle NORDMANN, harpe
Anonyme : Voyages
A. Benéteau : Création
tarif réduit 6 euros / tarif plein 15 euros

dim 04 juillet 15h00 - 16h00 - 17h00
PROMENADES MUSICALES
3 concerts de 30 minutes à 15h00, 16h00 et 17h00. Le public flâne de concert en concert au gré de ses envies musicales.
Demeure des Comtes de Champagne
"Chopin - Liszt - Schumann Festival"
Florian BILLOT, piano
F. Chopin : Ballade n°2 op.38
F. Chopin : Fantaisie - Impromptu en do dièse mineur op.66
R. Schumann : Intermezzo Extrait du carnaval de vienne op.26
F. Liszt : Rêve d’amour n°3 en La bémol majeur S.541 n°3
F. Liszt : Rhapsodie Hongroise n°12, en ut dièse mineur
Entrée Libre

Palais du Tau - Cour
LE CONCERT IMPROMPTU
A. Vivaldi : Sonate en sol mineur
W.A. Mozart : Divertissement sur des airs d’opéra
H. Tomasi : Trio champêtre
J.-M. Bossini : La Nef des fous
Entrée Libre

Cryptoportique
Scène française jazz
FRANCIS ET SES PEINTRES
François Ripoche, saxophone ténor
Pierre Durand, guitare
Fred Chiffoleau, contrebasse
Christophe Lavergne, batterie
Les frères Ripolin
Ces quatre musiciens appartiennent à l’univers du jazz. Pourtant, ils ont tous en commun le goût de travailler avec des chanteurs de pop et de rock. Tout naturellement, l’envie est née de confronter la force des mélodies et le son organique du rock à l’improvisation et les polyrythmies du jazz.
L’idée centrale du projet est de s’emparer des musiques populaires pour y glisser un grain de sel, de partir d’éléments familiers pour le public et l’amener vers d’autres formes. La preuve par l’exemple : les trois reprises fantasques de la Paloma, Capri ou Douanier Rousseau délicieusement déconstruites avec beaucoup de subtilité et de talent.
Entrée Libre

mar 06 juillet 16h00 / Eoline - Centre médico-éducatif -
Jardins
Scène française jazz
HOP 3
Sébastien Paindestre, piano
Jean-Claude Oleksiak, contrebasse

Fabien Humbert, batterie & compositions HIP 3
HOP 3 est né à l’initiative de Fabien Humbert. Ce trio réunit autour du batteur le contrebassiste Jean- Claude Oleksiak et le pianiste Sébastien Paindestre. Tous trois développent depuis plusieurs années des carrières riches de rencontres : Serge Adam, Alain Jean-Marie, Sara Lazarus, David El-Malek ou Benjamin Henocq.
Autour de cette formule « reine » de l’histoire du jazz, ils inventent un répertoire très personnel qui puise tout autant dans les canons du genre que dans des sonorités beaucoup plus actuelles.
Entrée Libre

mar 06 juillet 19h30 / Basilique Saint-Remi
ORCHESTRE NATIONAL DE BELGIQUE
Walter WELLER, direction
Nemanja RADULOVIC, violon
Anne GASTINEL, violoncelle
J. Jongen : Impressions d'Ardennes op.44
J. Brahms : Double Concerto pour violon et violoncelle en la mineur op.102
A. Dvorak : Symphonie n°9 en mi mineur "Du Nouveau Monde" op.95
tarif réduit 6 euros / tarif plein 15 euros

mer 07 juillet 19h30 / Golf de Reims Champagne
Scène française jazz
ROCHEMAN TRIO
Manuel Rocheman, piano
Matthias Allamane, contrebasse
Matthieu Chazarenc, batterie
Captain Cavern
Ce projet est celui de la maturité, qui affranchit Manuel Rocheman de toute succession. Son toucher a de l'autorité. Sa musique est d’une grande clarté avec toujours le même souci d’être lisible, terriblement exigeante et sans cesse séduisante, déclinant un répertoire de morceaux originaux et de compositions de Michel Legrand, Bill Evans, Keith Jarrett ou Cole Porter.
Manuel Rocheman avoue se sentir à l'aise dans les standards : « un standard n'est intéressant que dans la mesure où l'on peut le bousculer, raviver ses couleurs. » Il suffit d’écouter comment il renouvelle l’inoxydable So tender pour s’en persuader.
Entrée Libre

mer 07 juillet 21h00 / Champagne de Cazanove - Cuverie
Katarina JOVANOVIC, soprano
François WEIGEL, piano
R. Schumann : Frauenliebe und Leben op.42
C. Debussy : Trois Chansons de Bilitis
R. Hahn : “L’énamourée”; “Trois jours de vendange”;
“Rossignol des lilas”; “L’heure exquise”; “A Chloris”;
“Si mes vers avaient des ailes!”; “Fumée”
H. Wolf : “Italienisches Liederbuch” Sélection du Livre des chansons italiennes
tarif réduit 6 euros / tarif plein 15 euros

jeu 08 juillet 16h00 / Grand Théâtre
« Chopin – Liszt – Schumann Festival »
Vanessa WAGNER, piano
R. Schumann : Les Chants de l’Aube op.119
F. Liszt : Nuages gris S.199
F. Liszt : Shaflos!
F. Liszt : Lugubre Gondole
F. Liszt : En rêve S.207
F. Chopin : Nocturne op.62
F. Chopin : Mazurkas op.67 n°2 et n°4
F. Chopin : Mazurka op.68 n°4
F. Chopin : Valses op.64
F. Chopin : Polonaise Fantaisie op.61
tarif réduit 6 euros / tarif plein 10 euros

jeu 08 juillet 21h00 / Champagne de Castelnau - Caveau
Scène française jazz
STEPHAN OLIVA
Stephan Oliva, piano
Claude Tchamitchian, contrebasse
Jean-Pierre Jullian, batterie
Oscultation
En 1990, Stephan Oliva enregistre son premier disque en trio. Tout le monde s’accorde pour saluer un pianiste à l’univers poétique très personnel. Débute alors une longue et indéfectible amitié entre les trois musiciens qui s’illustre dix-huit ans après par l’enregistrement d’un nouvel album.
En compagnie du contrebassiste Claude Tchamitchian et du batteur Jean-Pierre Jullian, Stephan Oliva évoque entre introspection et piano en clair-obscur la musique classique du début du XXème siècle : Satie, Debussy, Ravel. Les compositions de Stephan Oliva sont de celles qui envoûtent. Il n’y a plus qu’à fermer les yeux et se laisser emporter.
Entrée Libre

ven 09 juillet 16h00 / Conservatoire

yossif IVANOV, violon
Philippe IVANOV, piano
G. Tartini : Sonate pour violon et piano en sol mineur "IlTrillo del diavolo"
J. Brahms : Sonate pour violon et piano n°2 en La majeur op.100
M. Ravel : Sonate pour violon et piano
tarif réduit 6 euros / tarif plein 10 euros

ven 09 juillet 19h30 / Manège
"Chopin Festival"
Olivier CHARLIER, violon
Antoine PIERLOT, violoncelle
Abdel Rahman EL-BACHA, piano
F. Chopin : Sonate pour violoncelle et piano
F. Chopin : Trio pour violon, violoncelle et piano
tarif réduit 6 euros / tarif plein 15 euros

sam 10 juillet 16h00 / Palais du Tau
« Schubertiades »
Ophélie GAILLARD, violoncelle
QUATUOR VOCE
Cécile Roubin, violon
Sarah Dayan, violon
Guillaume Becker, alto
Florian Frère, violoncelle F. Schubert : Quintette à cordes pour 2 violoncelles en Ut majeur op.136, D. 956
F. Schubert : Quatuor à cordes n°12 “Quartettsatz” en ut mineur D. 703
tarif réduit 6 euros / tarif plein 10 euros

sam 10 juillet 19h30 / Cirque

“Baltic Festival ” (1)
BALTIC CHAMBER ORCHESTRA
Emmanuel LEDUCQ-BARôME, direction
Romain LELEU, trompette
Marcela ROGGERI, piano
A. Honegger : Symphonie n°2 pour trompettes & cordes
D. Shostakovich : « Deux pièces » (version cordes) op.11
D. Shostakovich : Concerto pour piano, trompette et cordes op.35
tarif réduit 6 euros / tarif plein 15 euros

dim 11 juillet 11h00 / Hôtel de ville - Salle des Fêtes
Christina MONDES MATEO, harpe
J.-S. Bach : Chaconne (from Sonata IV for unaccompanied Violin) BWV 1017
L. Spohr : Fantasie für Harfe op. 35
W. Posse : Variationen über “Der Karneval von Venedig”
P. Sancan : Thème et Variations
H. Renié : Légende d’après “Les Elfes” de Leconte de Lisle
J. Guridi : Viejo Zortzico
M. de Falla : Danza española nº1 de "La vida breve"
Entrée Libre

dim 11 juillet 16h00 / Château des Grenouilles Vertes
Scène française jazz
EMMANUEL BEX TRIO
Géraldine Laurent, saxophone & clarinette
Emmanuel Bex, orgue Hammond
Simon Goubert, batterie
Bex de scène
Emmanuel Bex est un organiste, pianiste, compositeur au talent de nombreuses fois récompensé (Victoire du Jazz, Django d’Or, Académie du Jazz…) et fut le compagnon de route de Barney Willen, Babick Reinhardt, Philip Catherine, Aldo Romano, s’imposant figure incontournable du jazz français.
Entouré de Simon Goubert et de Géraldine Laurent - une des plus talentueuses solistes françaises - il reste fidèle à ce qui fait son succès depuis longtemps :
« cet organiste là est capable de tout embraser par un groove torride et de tout submerger sous une vague de tendresse ».
Entrée Libre

dim 11 juillet 18h00 / Cirque
“Baltic Festival ” (2)
BALTIC CHAMBER ORCHESTRA
Emmanuel LEDUCQ-BARôME, direction
tarif réduit 6 euros / tarif plein 15 euros

jeu 15 juillet 16h00 / Tennis Club
Scène française jazz
DENIS LELOUP TRIO +1
Denis Leloup, trombone & compositions
François Thuillier, tuba
David Venitucci, accordéon
Sebastian Quezada, cajons, tambours Bata, shaker & tambourin
Y es-tu ?
Ils sont peu de trombonistes de jazz en France. Quand ils sont talentueux comme Denis Leloup, on se les arrache : Martial Solal, Dee Dee Bridgewater, Henri Salvador, l’Orchestre National de Jazz et tant d’autres...
Le tromboniste met la formidable maîtrise de son instrument au service de son écriture subtile. Il vous propose un petit voyage où le trombone, l’accordéon, le tuba et les percussions vous emmèneront en promenade à travers les musiques, au croisement de l’improvisation, de la mélodie et du rythme, se permettant même quelques détours par la valse.
Entrée Libre

jeu 15 juillet 21h00 / Manège

Nemanja RADULOVIC, violon
Marielle NORDMANN, harpe
A. Dvorak / F. Chopin / M. de Falla / C. Saint-Saëns /
J. Massenet / B. Bartok
tarif réduit 6 euros / tarif plein 15 euros

ven 16 juillet 16h00 / Maison Diocésaine
Saint-Sixte
Salle Sorbon
Antoine PIERLOT, violoncelle
B. Britten : Suite pour violoncelle seul n°1 en Sol majeur op.72
B. Britten : Suite pour violoncelle seul n°2 en Ré majeur op.80
B. Britten : Suite pour violoncelle seul n°3 en ut mineur op.87
Entrée Libre

ven 16 juillet 19h30 / Château Les Crayères
Parc
Wilhelmenia FERNANDEz, soprano
Jérome DUCROS, piano
F. Loewe : My Fair Lady, extraits
G. Gershwin : Porgy and Bess, extraits
R. Rodgers : Carousel, extraits
C. Edwards : By the Bend in the River
A. Copland : At The River
A. Copland : Simple Gifts
A Copland : Long Time Ago
L. Bernstein : West Side Story, extraits
Traditional Spirituals : Honor, honor
Traditional Spirituals : Witness
Traditional Spirituals : Ride On, King Jesus
Entrée Libre

sam 17 juil 19h00 / Parc de Champagne CONCERT PIQUE-NIQUE
1ère partie - 19h00
Scène européenne jazz
ELECTRIC BARBARIAN
Luanda Casella, voix
George Pancras, trompette
DJ Lamont, platines
Joost Swart, Fender Rhodes
Floris Vermeulen, basse
Harry Arling, batterie
Hein ?
Qui, mieux que d’électriques et éclectiques « barbares », pouvaient faire revivre l’esprit qui souffla dans l’album Bitches Brew de Miles Davis ? Ce disque fut une véritable révolution et côtoie encore Kind of Blue dans les meilleurs ventes de disques : le jeu du trompettiste y est plus agressif, usant volontiers du registre aigu de son instrument.
Avec Bitches Brew comme point de départ, les Electric Barbarian réinventent le jazz-rock au son de rythmes et boucles jungle ou drum’n’bass, avec les platines de Grazzhoppa et le slam brésilien de Luanda Casella.

2ème partie - 21h00
Scène internationale jazz
EDDIE PALMIERI
"AFRO-CARIBBEAN JAzz ALL-STARS"
Eddie Palmieri, piano
Brian Lynch, trompette
Yosvany Terry, saxophone
Luques Curtis, basse
Jose Claussell, timbales
Vicente “Little Johnny” Rivero, congas
Miami Vices
En 1968, Eddie Palmieri enregistrait un album intitulé « Champagne » : se doutait-il que 40 ans plus tard il serait en concert au Parc du même nom ? Avec Eddie Palmieri, il faut s’attendre à tout : il attaque son piano à pleine main, tenant tout le monde en haleine, mettant en lumière la dimension percussive du piano. Il cultive également le don de mélanger cette musique épicée des bidonvilles à l’improvisation jazz, les rythmes afro-cubains et, pourquoi pas, la musique classique. Pour l’accompagner dans ce grand moment, Eddie Palmieri invite les « Afro-Caribbean Jazz All-Stars ».
Le petit démon qui fait tant de ravages dans la confrérie latino vous met au défi de ne pas danser...
prévente 12 euros /
tarif unique sur place 15 euros

dim 18 juillet 18h00 / Grand Théâtre
“Cycle Chopin ”
Laure FAVRE-KAHN, piano
F. Chopin : Sonate n°2 en si bémol mineur op.35
F. Chopin : Premier Impromptu en La bémol majeur op.29
F. Chopin : Deuxième Impromptu en fa dièse mineur op.36
F. Chopin : Troisième Impromptu en Sol bémol majeur op.51
F. Chopin : Fantaisie – Impromptu en do dièse mineur (version originale) op.66
Entrée Libre

lun 19 juillet 16h00 / Musée Saint Remi
Cloître
Gaëlle SOLAL, guitare
H. Villa-Lobos : Mazurka-chôro
H. Villa-Lobos : Scottish-chôro
H. Villa-Lobos : Choro n°1
B. Powell : Vals sem nome
H. Villa-Lobos : Tristorosa
Garoto : Lamentos do morro
Pixinguinha : Oscarina
T. Jobim : A Felicidad
Entrée Libre

lun 19 juillet 19h30 / Cirque
"Autour de Magali Léger"
ENSEMBLE ROSASOLIS
Magali LÉGER, soprano
Gaëlle SOLAL, guitare
Marcela ROGGERI, piano
G. B. Pergolesi : Cantate “Non ode e chi non vede” op. 2 n°3
G. B. Pergolesi : Cantate “Nel chiuso centro” op. 2 n°4
tarif réduit 6 euros / tarif plein 15 euros

mar 20 juillet 16h00 / Lieu à déterminer
Eliane REYES, piano
R. Schumann : 3 Fantasiestücke op.111
F. Chopin : Barcarolle op.60
Schubert / Liszt : Auf dem wasser zu singen
N. Bacri : "Sonatina Classica" CREATION française
M. Ravel : Jeux d’Eaux
C. Debussy : L’Isle Joyeuse
F. Chopin : Polonaise-Fantaisie en La bémol majeur op.61
tarif réduit 6 euros / tarif plein 10 euros

mar 20 juillet 20h00 / Parc de Champagne
Concert de clôture jazz
Scène française jazz
DAVID PATROIS TRIO+2
Pierre-Olivier Govin, saxophone
Sébastien Llado, trombone
Pierre Durand, guitare
David Patrois, vibraphone & marimba
Luc Isenmann, batterie
Mais cinq
Le vibraphoniste David Patrois propose une formule inhabituelle : une combinaison insolite dont la caractéristique la plus marquante est l’absence de basse qui donne une sensation de clarté et d’espace pour une danse voyageuse. Dans cette formule, le trio s’enrichit du son chaleureux du trombone de Sébastien Llado et de la guitare toute en nuances de Pierre Durand pour un répertoire qui mêle le jazz contemporain aux musiques traditionnelles.
Entrée Libre
PASSEURS D'IMAGES
"Passeurs d'Images" projettera le film Slumdog Millionaire à 22H00 sur le terre-plein central du Parc de Champagne à la suite de ce concert.

mer 21 juillet 19h30 / Basilique Saint-Remi
Concert de clôture classique
“ Haydn Festival ! ”
ENSEMBLE ORCHESTRAL DE PARIS
Frédéric LODÉON, direction
Romain LELEU, trompette
David KADOUCH, piano
J. Haydn : Concerto pour piano en Ré majeur Hob. XVIII.11
J. Haydn : Concerto pour trompette en Mi bémol majeur Hob. VII.1
J. Haydn : Symphonie n°45 en fa dièse mineur
Entrée Libre

Les Flâneries Musicales de Reims
12, bd Général Leclerc
51722 Reims Cedex
Tél 03 26 36 78 00
Fax 03 26 36 78 07
info@flaneriesreims.com


Offre jeune public : les entrées sont gratuites pour les enfants et jeunes de moins de 14 ans.
Pour les 15/24 ans tarif unique 6€
Demandeurs d’emploi tarif unique 6€
La gratuité est effective pour les personnes à mobilité réduite.

Abonnement 5 concerts : réduction de 20% pour l’achat de 5 billets (1 billet par concert)
Abonnement 8 concerts : réduction de 40% pour l’achat de 8 billets (1 billet par concert)
hors Concert Pique-Nique. Les abonnements sont vendus uniquement à bord du véhicule renseignements billetterie.

Le concert pique-nique : 12€ en prévente et 15€ sur place. Entrée gratuite pour les moins de 14 ans et les personnes à mobilité réduite.
Tarif réduit 6€ pour les 15/24 ans et les demandeurs d'emploi.
Réservations en ligne

(Source : flaneriesreims.com)

mardi 8 avril 2008

Informations - brèves sur Reims Avril 2008

Reims champagne actu

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Avril 2008

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Reims

L'appel pressant aux dons sur les ondes de radio Phare
Thierry Berthe, responsable de l'antenne : « Nous avons intensifié l'appel aux généreux donateurs ».
Depuis une quinzaine de jours, les auditeurs de Radio Phare sont alertés des difficultés financières de leur radio préférée. Un appel aux dons est lancé par les animateurs.
Dans le petit local de Radio Phare, Thierry Berthe règle le son sur la table de mixage. À cette heure, l'ordinateur gère l'ambiance musicale.
Créée il y a 25 ans, la radio associative s'est fait une place dans le paysage des radios locales, notamment grâce à sa programmation de pages entières consacrées à l'accordéon, le samedi et le dimanche.
« C'est un ensoleillement à chaque fois que j'écoute cette radio » nous a raconté un fidèle auditeur. « En semaine, on peut entendre toutes sortes de musique : du far west, de la valse, du fin fond de la Chine… des musiques qu'on n'entend pas ailleurs, quoi. » Mais, a ajouté notre lecteur, « ils ont du mal à tenir le coup, ils appellent à faire des dons ».
Générosité
Un appel que confirme le responsable de la station installée depuis deux ans à Cormontreuil, Thierry Berthe. « Depuis une quinzaine de jours, nous avons intensifié notre appel aux dons, » explique-t-il. « Nous faisons régulièrement appel à la générosité de nos auditeurs, » ajoute-t-il, « mais la situation est de pire en pire car depuis quelque temps, la banque nous fait des difficultés ».
Radio Phare est associée dans ses déboires au centre de formation « Le Phare ».
Thierry Berthe explique que les difficultés financières viennent du fait que les deux associations récupèrent les fonds qu'elles ont obtenus par contrat très tard.
La radio par exemple, dépend du Fonds de soutien à l'expression radiophonique. « Il s'agit d'une taxe sur les publicités, elle est prélevée chaque année puis redistribuée aux radios notamment. Mais pour 2007, » indique encore Thierry Berthe, « le fonds ne nous a été versé qu'en novembre 2007. De janvier à novembre, il nous a bien fallu vivre et avancer les fonds ».
Pour le centre de formation, même combat. « Ils font leurs actions, puis donnent la facture, mais ne sont réglés que des mois après. »
Noémie l'écolière
Créée au cœur du quartier des Châtillons - un quartier de marins ! - la radio s'est appelée le Phare car elle émettait du plus haut immeuble de la place.
Quand la MJC devait se transformer en maison de quartier, la radio a voulu garder son indépendance. « Nous fonctionnons sans aucune subvention. »
Les animateurs - une vingtaine de réguliers, une centaine en tout - viennent d'horizons divers. Ils sont vigneron, retraitée, chômeur, étudiants, postier et même… une écolière de 10 ans, Noémie, qui anime une émission sur l'Europe ! Chacun avec son style fait partager ses goûts.
La radio émet 24 heures sur 24 avec une trentaine de d'heures de programmes animés. « Nous allons organiser en juin un thé dansant « de soutien » pour faire entrer des dons. » Espérons que les auditeurs seront généreux pour que Radio Phare ne perde pas sa voix.
Patricia Buffet
Pour tout renseignement complémentaire ou pour faire un don, contacter Radio Phare, 3/5 rue Victor-Hugo à Cormontreuil, tel. 03.26.86.48.16.
L'Union du 30 avril 2008

Reims

450 lycéens dans la rue contre les réformes
La manif a mobilisé toute la matinée d'hier.
« Classes surchargées, postes menacés, options supprimées, hausse des inégalités ». Voici quatre des raisons qui expliquent la mobilisation des lycéens. Ils étaient 450 hier dans la rue.
Malgré l'approche du Bac français et les examens blancs, 450 lycéens rémois ont répondu hier matin à l'appel à la mobilisation de l'UNL (Union nationale lycéenne) de la Marne.
« Augmenter les inégalités entre les lycéens »
Les manifestants, partis à 10 heures de la Maison des syndicats, ont arpenté les rues en rangs serrés durant toute la matinée, armés de banderoles et de mégaphones, et ont été rejoints tout au long du parcours par d'autres petits groupes de lycéens. Au menu de leurs revendications : la politique menée par le gouvernement en matière d'éducation. En particulier les 11.000 suppressions de postes au niveau national prévues en 2008, et les réformes des baccalauréats professionnels, généraux, et des BEP. Des mesures synonymes de « démantèlement du système éducatif » qui vont « accroître les disparités entre les établissements et augmenter les inégalités entre les lycéens » selon Julien Micelli, président de l'UNEF, syndicat étudiant venu prêter main-forte au mouvement lycéen.
Dans un coin du cortège, Emeline et Cindy, lycéennes à Val de Murigny en 1re Bac Pro production graphique. Informées par l'UNL de la manif, elles n'ont pas hésité un instant. « On a tracté dans les lycées - Europe, Chagall, Aragon, Clemenceau, Jean-Jaurès, notamment - pour mobiliser le plus grand nombre. On a aussi tenté un blocage de notre lycée la semaine dernière. On se sent concernées car on a une filière dans notre établissement qui n'existe pas partout et qui pourrait être menacée ; car certains de nos profs ne seront a priori pas remplacés alors qu'on est déjà 32 en 1re année… Il y a trop d'incertitudes, trop de non-dits à propos de ces réformes. »
« 270 postes menacés dans la région
Des réformes qui mobilisent également l'Unsa, comme l'a rappelé Eric Hébrard, secrétaire régional du syndicat enseignant, présent au départ du cortège : « Nous faisons front commun avec les lycéens par rapport à la situation dégradée dans l'Éducation nationale. 270 postes sont menacés dans la région. Les classes sont surchargées, les options supprimées… Les enseignants et personnels ont commencé la mobilisation en mai-juin 2007. Ils en sont déjà à plusieurs journées de grève. Aujourd'hui, les lycéens ont décidé de se prendre en main et de se mobiliser. Ils ont conscience des problèmes, c'est leur avenir qui se joue. On les retrouvera sans doute le 1er mai. Avant d'autres mobilisations les 15 et 24 mai. »
Marion Dardard
L'Union du 30 avril 2008

Reims

Le tram va simplifier le shopping
Une friche transformée en parking près de la place des Belges.
Aux terminus du tramway, l'automobiliste trouvera des parkings gardés pour se garer. Il lui en coûtera environ 4 euros et on lui offrira des tickets de tram gratuits pour lui et ses passagers.
Bientôt fini de tourner des heures pour se garer, de retrouver un PV qui allonge la facture du shopping et de supporter 15 feux rouges avant de sortir de la ville. Dans moins de 3 ans, quand le tramway sera sur ses rails, il sera plus intéressant de laisser sa voiture sur un parking relais que d'aller jusqu'au centre. Le conducteur paiera entre 3 et 4 euros pour la journée et tous les occupants de la voiture (conducteur compris) auront droit à un ticket de tram aller et retour gratuit.
On pourra se garer sur deux principaux parcs relais. Le premier de plus de 200 places sera situé au terminus de Neufchâtel en face du magasin Thiriet. Ouvert à tous 24h/24, il sera gardé par un employé (à recruter) du lundi au samedi. Il y aura quelqu'un de 7 h 30 à 19 h 30 et des caméras de surveillance tourneront en permanence.
Le deuxième se situera à hauteur du CHU, le long de l'avenue du Maréchal-Juin. Un endroit où il y a déjà des voitures mais le centre hospitalier a prévu de se construire son propre parking et libérera donc la place. 165 places seront réservées aux usagers du tram. Même mode de fonctionnement qu'à La Neuvillette.
De la place pour les vélos
Un troisième parking est prévu juste avant d'arriver place des Belges à droite (en venant de la Neuvillette).
Il sera réservé aux abonnés des Tur (maintenant gérés par Transdev). Les abonnés devraient payer environ 30 euros par mois et profiteront de tout le réseau et de tous les parkings relais. En revanche, et sauf changement d'ici la mise en service, ceux qui se trouveront dans une voiture d'abonné ne bénéficieront pas d'un ticket gratuit. Les familles qui remplissent les voitures n'auront donc pas intérêt à s'abonner. Un quatrième parc relais pourrait surgir plus tard au niveau de l'échangeur avec l'A4bis qui contournera Reims. Il faut ajouter aux parcs relais deux parkings de proximité à la place de l'ancienne usine Fossier place Saint-Thomas et près de l'école Jean-Macé, à la place des bâtiments qui ont été détruits.
Un arbre pour six voitures
Tous ces lieux de stationnement seront arborés. Il est prévu de planter un arbre pour six voitures.
Les vélos et les mobs auront leur emplacement, ils seront abrités de la pluie mais venir à vélo ne donnera pas droit à un ticket pour tous les occupants de la selle. En revanche, les cyclistes ne devraient avoir à payer que la place de tramway. Le sort des motos n'est pas encore tranché. Ni celui des trottinettes.
C.F.
L'Union du 29 avril 2008

Reims

  Sacres du folklore : un fil rouge couleur de paix
Retour à des dates plus classiques pour le festival folklorique rémois cette année : du 13 au 17 juin.
Comment se présente la cuvée 2008 des Sacres ? Une de ses chevilles ouvrières de longue date, Josiane Lecrique, répond.
Cette 27e édition présente- t-elle des particularités ?
Quelques petites modifications de dates et de lieu : l'an dernier, nous avions débuté le jour de la fête de la musique, cette fois, nous revenons des dates plus classiques. Le festival durera du 13 au 17 juin. Pour nos spectacles en salle, ce sera, non plus à la Comédie comme d'habitude, ni même au Grand théâtre comme l'an dernier, mais au centre des congrès. Le schéma de base - trois jours de plein air, trois jours de spectacles en salle - sera respecté, ou presque ; car en réalité, il n'y aura que deux jours en salle, pour des raisons de coût.
Ce festival est-il placé sous un thème particulier ?
Le fil rouge sera la paix. Ce thème sera plus particulièrement présent au spectacle du samedi, place de l'hôtel de ville, et le mardi pour la clôture.
Vous dépassez donc le stade du simple divertissement ?
Exactement, et ceci dans un cadre très officiel que l'on appelle le Cioff (conseil international des organisations de festivals de folklore et d'art traditionnel), dont nous sommes adhérents.
Les organisateurs de festivals qui y adhèrent affirment un attachement à des valeurs d'ouverture aux autres, de tolérance, de paix…
Quels sont les pays représentés ?
Serbie, Argentine, Vénézuéla, Kazakhstan, Lettonie, Tatarstan, Zimbabwe, et Île de Guam. Nous invitons aussi un groupe français ; cette fois, ce seront des Alsaciens, mais qui devraient surprendre, car ils sont un peu éloignés des images de fête de la bière habituelles.
Antoine Pardessus
Informations : 03.26.03.16.31., Réservations : 06.81.11.29.44. ; office du tourisme : 08.92.701.351. Tarifs : 14 euros (20 euros clôture).
l'Union du 29 avril 2008

Reims

Marne Un enfant, un dessin, un livre : 2.096 participants
« Lire et faire lire dans la Marne » a réuni les plus beaux dessins.
« Nos bénévoles sont allés dans les écoles primaires et maternelles participant à l'opération et ont lu des récits ayant trait à la planète » expliquent les deux vice-présidentes de « Lire et faire lire dans la Marne », Danielle Roux et Marie-Noëlle Azema.
L'opération « Un enfant, un dessin, un livre » lancée depuis novembre dernier, a eu un énorme retentissement : 2.096 élèves, une cinquantaine d'écoles, ont participé à ce grand projet.
Les élèves ont illustré les récits entendus par une production artistique individuelle ou collective : dessin, affiche, collage, fresque. « Chaque participant recevra un livre, remis par un coordonnateur local » ajoute Danielle Roux. Les responsables des secteurs du département étaient réunis ce jeudi pour organiser cette distribution de plus de 2.000 ouvrages.
L'association a atteint ses objectifs, comme le précise Claire Métreau, la présidente : « Avoir sensibilisé les écoliers à la protection de la planète, mais surtout avoir permis que certains d'entre eux qui n'ont même pas un seul livre chez eux puissent en avoir un à lire pour les grandes vacances ». Tous s'accordent à dire que le but essentiel est « d'entrer en contact avec l'enfant, l'amener vers le livre pour qu'il puisse y prendre du plaisir et susciter l'envie de continuer ». L'association accueille à bras ouverts ceux et celles, qui, à partir de 50 ans, voudraient « partager le plaisir de la lecture avec les jeunes, par un échange intergénérationnel ».
Lire et faire lire dans la Marne - Ligue de l'Enseignement 19-23, rue Alphonse-Daudet Reims, tél. 03.26.84.36.90.
L'Union du 27 avril 2008

Reims

Y a-t-il un avenir pour les cinémas en centre-ville ?
La revente envisagée de l'immeuble où se trouve l'Opéra ne devrait pas pour autant signifier la fin du cinéma art et essai en centre de Reims.
L'Opéra d'un côté pour l'art et essai, le Gaumont de l'autre pour les films plus populaire… Même si la qualité des salles laisse parfois à désirer, l'offre cinéphile en centre-ville est aujourd'hui variée. Jusqu'à quand… ?
«L'Opéra devrait fermer à court terme et le Gaumont déménager en périphérie… » Cette phrase lâchée par la nouvelle adjointe à la Culture Sarah Ouaja-Ok dans nos colonnes il y a quelques semaines à fait l'effet d'une petite bombe chez les amateurs de cinéma en centre-ville de Reims.
Si la revente de l'Opéra à un promoteur privé est évoquée depuis de nombreuses années, le déplacement du Gaumont beaucoup moins.
De quoi inquiéter les cinéphiles Rémois qui pourraient, dans ce cas de figure extrême, ne plus avoir de cinémas du tout dans le centre.
« C'est un dossier auquel nous sommes attachés depuis longtemps », explique Serge Pugeault, adjoint en charge notamment des grands projets. « Lorsque nous étions dans l'opposition nous nous étions à plusieurs reprises inquiétés de la fermeture annoncée de l'Opéra ». le nouvel adjoint avait même créé une association…
Une bonne nouvelle dans quelques semaines ?
La Ville vient de réunir les différents protagonistes pour essayer de faire avancer le dossier.
« La situation évolue de façon extrêmement positive », assure Serge Pugeault. « Dans quelques semaines on pourrait être en mesure d'annoncer une bonne nouvelle ».
Plusieurs éléments semblent déjà actés mais il reste à voir comment les mettre en pratique.
L'offre cinéma en centre-ville devrait ainsi augmenter. « On a fait réaliser des études et l'on a vu que le nombre de siège par rapport au nombre d'habitant est en dessous de la moyenne nationale », indique Serge Pugeault.
L'art et essai, proposé par l'Opéra sera maintenu en centre-ville et la municipalité entend bien créer des événements autour du cinéma dans Reims afin de dynamiser le septième art.
Reste à savoir quelles mesures seront prises pour y arriver. Serge Pugeault ne veut pas pour l'instant donner plus de détails. « Il y a plusieurs options et l'on ne veut pas tout gâcher en allant trop vite dans les annonces… »
Dans son programme de campagne Adeline Hazan parlait clairement de la création d'un complexe de cinéma à vocation partielle « art et essai » dans le quartier des halles sous la forme de délégation de service public. Sera-ce le cas ?
Serge Pugeault lui évoquait dans nos colonnes en 2007 l'objectif « de la création d'un nouveau complexe de salles attractives et modernes ».
Interrogée en milieu de semaine sur cette question, la maire de Reims nous a aussi parlé d'une des pistes à l'étude avec à moyen terme l'arrivée de l'art et essai proposé à l'Opéra à la place du Gaumont centre-ville qu'il faudrait sans doute rénover.
Quid alors de ce dernier ? Il devrait intégrer un autre site, celui du Boulingrin évoqué pendant sa campagne par Adeline Hazan ? Ailleurs ?
En attendant qu'une ou plusieurs de ces options soient levées, les Rémois ont la garantie, selon la municipalité, d'avoir toujours des cinémas en centre-ville.
Grégoire Amir-Tahmasseb
L'Union du 26 avril 2008

Reims

A l'Opéra et au Gaumont, on continue le travail comme si de rien n'était
Au Gaumont du centre-ville le déplacement ou la fermeture « n'est pas du tout à l'ordre du jour ».
Ils ont souvent des questions sur l'avenir de leurs établissements.
Au Gaumont centre-ville et à l'Opéra on n'en affiche pas moins un optimisme à toute épreuve.
« Il n'y a aucune fermeture à court terme », indique Annette Hesbois, directrice de l'Opéra en réponse aux propos de l'adjointe à la Culture.
« Je travaille la programmation de cet été. Je suis en train de mettre en place les animations avec les écoles pour la saison 2008-2009 ».
La revente des murs par le propriétaire Jean-Fabrice Reynaud pour la fin 2008 à un promoteur et organisme logeur est-elle toujours d'actualité ? La directrice n'en sait plus ou ne veut en dire plus.
« À mon niveau je ne suis pas au courant. Monsieur Reynaud a toujours dit que le jour où il y aurait quelque chose de sérieux il le dira. Moi je fais mont travail.
Personne ne m'a dit stop et ce n'est pas à l'ordre du jour. Je viens même d'engager une petite jeune en CDI ». Dans les locaux de la rue Théodore-Dubois ou ailleurs, l'avenir de l'art et essai en centre-ville de Reims semble en tout cas en bonne voie. L'an passé 132.419 spectateurs avaient fréquenté le cinéma Opéra. Au Gaumont centre-ville, on reste par contre assez discret.
Nous avons cherché à contacter hier en vain le directeur des deux Gaumont Rémois. Du côté du personnel, on n'évoque que des « rumeurs ». « C'est vrai que l'on nous pose régulièrement la question, mais ce n'est pas du tout à l'ordre du jour. Le travail continue comme avant ».
Depuis que Gaumont a installé un multiplexe à Thillois, fin 2002, le bruit d'un départ ou d'un déplacement du cinéma du centre-ville est récurrent.
Il pourrait être encore plus persistant dans les prochains mois ou dans les prochaines années sans pour autant que cela signifie le départ du centre. D'autres projets sont en effet à l'étude à proximité (voir par ailleurs).
G. A.-T.
L'Union du 26 avril 2008

Reims

Ce qu'ils en pensent
Etes-vous attaché aux cinémas du centre
Laëtitia Herbin, 19 ans vendeuse.Laëtitia Herbin : « L'Opéra et le Gaumont, les seuls cinémas restant en ville. Si un jour ils devaient disparaître, il y aurait moins d'attractivité dans le centre. Les gens seraient obligés d'aller au Multiplexe de Thillois et il n'y a pas de ligne de bus qui y va. Espérons que Mme Hazan ne laissera pas faire ça ! »Gaël Renault et Hélène Caullier 25 et 30 ans, salariés.Gaël Renaut et Hélène Caullier : « Oui. Quand on fait une sortie-resto en centre-ville, c'est pratique d'avoir un cinéma à proximité. L'Opéra et le Gaumont font partie des institutions de la place d'Erlon. Une telle disparition serait la mort programmée du centre-ville de Reims. »Ghislaine Bouic : « Durant longtemps j'ai été fidèle à ces cinémas du centre-ville.
Aujourd'hui, je fréquente surtout le Multiplexe de Thillois. Je suis contre la disparition de ces salles du centre. J'espère que la mairie ne pas laisser s'installer indéfiniment des établissements bancaires en ville. »Jean-Pierre Gilmaire : « Je suis pour leur maintien. Il faut penser à ceux qui n'ont pas de moyens de locomotion pour aller à Thillois. Si ces salles disparaissaient, ce serait une partie du patrimoine rémois qui serait effacé. Il devrait y avoir une pression en direction de la mairie pour éviter cela. »Elodie Dupont : « Je ne voudrais pas qu'on les supprime.
N'ayant pas le permis, je ne pourrais pas me rendre à Thillois.
Ces deux cinémas ont de bonnes programmations.
Cela me ferait mal au cœur de voir disparaître l'Opéra, cinéma le plus ancien. »
L'Union du 26 avril 2008

Reims
Le stade Delaune prend enfin forme
Le dernier élément de la charpente du Stade Delaune a été posé hier après-midi.
L’enceinte du stade est désormais complète. Reste à terminer la pose de la toile sur la toiture et les gradins pour une ouverture attendue fin août, début septembre.
Le dernier élément de la charpente du Stade Delaune a été posé hier. L'angle encore à ciel ouvert sera terminé d'ici ce week-end. Reste maintenant tout le travail de finition des gradins.
La pièce est énorme. Près de 15 mètres de haut et plusieurs tonnes suspendues au bout d'une grue. À quelques mètres de là, Olivier Janier Dubry, responsable de la société ZM France observe la scène avec attention. Cette pièce est le dernier élément manquant de la charpente du stade Delaune qui désormais est « complet ». S'il reste encore toute une série de travaux sur la toiture et dans les gradins, le tour complet sur stade est désormais réalisé.
« Nous avons un mois et demi d'avance sur notre planning », se félicite Olivier Janier Dubry. « Cela ne changera rien sur le délai de livraison final mais c'est pour nous une certaine fierté. Tout s'est parfaitement passé ».
L'entreprise ZM avait été choisie après la défaillance d'une première société alors que la moitié du stade était déjà réalisé. « Le défi était de reproduire exactement ce qui avait été fait par l'autre entreprise. Les mêmes formes, les mêmes teintes afin que l'on ne puisse pas soupçonner un instant qu'il y a eu deux étapes et deux équipes différentes dans cette construction ».
La dernière charpente d'angle montée hier, les ouvriers devraient terminer aujourd'hui tous les éléments de raccords et de préparation pour la pose des toiles du toit.
La grue démontée à la mi-mai
« Les éléments des gradins vont être posés dans l'angle dans les prochains jours », explique Bertrand Delozanne, chargé du pilotage du chantier pour l'entreprise. « Pour la mi-mai la toiture en toile devrait être en place ». La dernière grue encore présente sur le chantier, devrait disparaître à cette période également. Imbriquée dans la toiture, son démontage permettra de poser un dernier élément encore manquant à ce niveau.
À la mi-juin, ce sera au tour des deux dernières flèches d'éclairage, hautes de 60 mètres chacune d'être posées. Un exercice qui s'annonce encore une fois spectaculaire.
L'ensemble du chantier respectant les délais, la livraison des tribunes est espérée par la municipalité pour la fin août début septembre.
En attendant, les différents corps de métiers s'affairent sur les deux dernières tribunes. On peut ainsi apercevoir en ce moment un peintre travailler au pinceau et au rouleau sur les gros éléments de charpente. « Si plusieurs couches sont déjà posées en amont en usine, il est nécessaire d'en mettre une dernière sur place notamment aux endroits de jonctions et des soudures entre les tribunes », explique Bertrand Delozanne.
Le coût total des travaux montera finalement à près de 55 millions d'euros, dont un surcoût de 4,5 millions d'euros liés à l'arrêt du chantier après le départ brutal du premier charpentier.
Une fois terminée, la capacité totale du stade Delaune sera de 22.000 places contre un peu plus de 9.000 actuellement avec les deux tribunes ouvertes. Un des défis sera alors de remplir au mieux la structure les soirs de matchs. Quand on sait qu'aujourd'hui, le Stade n'affiche complet que très rarement, on imagine les inquiétudes légitimes des joueurs et du staff de jouer parfois dans un stade qui sonnera bien creux.
Quoi qu'il en soit le nouveau Delaune ne pourra jamais battre le record absolu d'affluence pour un match de football à Reims.
C'était en 1987, dans l'ancien Delaune à l'occasion de la demi-finale de la coupe de France entre Reims et Marseille. 27.774 spectateurs avaient alors fait le déplacement pour assister à la victoire de l'OM 5-1.
Grégoire Amir-Tahmasseb
L'Union du 25 avril 2008

Reims
Les cyclotaxis débarquent place d'Erlon
Dans quelques jours, les Rémois vont découvrir un nouveau moyen de transport : un taxi tricycle, écologique et convivial. Il en coûtera, dans les rues du centre-ville, deux euros par kilomètre et par personne. Un couple de Bétheny a tout misé dans cette aventure.
Un nouveau moyen de transport arrive dans le centre-ville de Reims. Il s'agit d'un cyclo conduit par des cyclonautes pour des cyclophiles. Deux modèles de ces cyclotaxis vont être mis en service.
Une coque toute ronde montée sur trois roues… Dans quelques jours, les Rémois vont découvrir deux drôles d'engins dans le centre-ville. Un moyen de transport différent appelé Cyclopolitain, nom de la première compagnie de cyclotaxis électriques en France basée à Lyon. Mouna et Willy Dauvergne, un jeune couple de Bétheny, ont décidé de se lancer dans l'aventure. Ils ont tout misé dans ce projet. « Je cherchais depuis plusieurs années à lancer mon entreprise », raconte Willy Dauvergne. « Il y a deux ans, sans savoir que ça existait déjà, j'avais pensé à cette idée de taxi-cyclos. Ça me trottait dans la tête. Et puis, je suis allé voir sur internet et je suis tombé sur ces véhicules ». C'est le déclic. « Un vrai coup de foudre », ajoute-t-il. En décembre, le couple se décide. « Nous sommes entrés en contact avec la compagnie. Et voilà. On a mis toutes nos économies et on y croit dur comme fer ».
Un rayon de deux km
« C'est un projet économique, écolo et convivial », poursuit le couple. « On peut transporter jusqu'à deux adultes et un enfant. A Reims, nous travaillerons avec deux cyclos. Si tout marche bien, on espère créer une flotte de quatre ou cinq. » Déjà présents à Lyon, Grenoble, Nice, Nantes et Paris, les tricycles desserviront, à Reims, exclusivement le centre-ville. « Nous irons de la gare à la basilique Saint-Remi et du canal à la place Aristide-Briand. Nous circulerons beaucoup place d'Erlon et du côté de la cathédrale ». Un rayon de deux kilomètres à la force des mollets. « Il n'y a pas de grandes côtes à Reims », plaisante le cyclonaute qui ajoute : « Le véhicule est doté d'une assistante électrique dans le pédalier qui évite de faire de gros efforts ». Quant à la manipulation, elle est plutôt simple. « Il faut prendre le coup de main. Mais ce n'est pas très difficile. » A Reims, le tricycle se faufilera partout. « Il mesure 2,80 m de long, fait 1,76 m de haut. Mais en largeur, il ne fait qu'un 1 m » indique Willy Dauvergne. « On peut donc vraiment passer partout. Assimilés à un vélo, nous avons l'accès aux voies piétonnes. Et nous sommes en cours de demande pour une dérogation permettant d'emprunter les voies de bus ».
Deux cyclos donc deux chauffeurs. Mouna et Willy Dauvergne vont embaucher. « Probablement un étudiant. Nous avons une proposition. Quelqu'un qui croit aussi en ce projet. » Les prix seront attractifs. « Deux euros par personne et par kilomètre », indique Mouna Dauvergne. « Et comme les taxis, il y aura un compteur ». Et pour faire appel à un cyclo, deux solutions, « soit le hélage, soit la réservation. A Reims, nous n'avons de borne où nous poster mais j'espère que les gens, les futurs cyclophiles nous repéreront vite. » La petite entreprise travaillera de 13 à 19 heures du mardi au samedi. « Je suis très motivé », ajoute Willy Dauvergne. « Et là, je n'ai qu'une hâte : que ça commence ». Demain, Mouna et Willy partent à Lyon chercher les cyclos. Début mai, ils sillonneront les rues de Reims à bord de leur drôle d'engin. Catherine Tellier
Renseignements auprès de Mouna Dauvergne au 06.27.95.54.72.
L'Union du 24 avril 2008

Reims
Les Flâneries veulent prendre un coup de jeune
Les grandes lignes des 19es Flâneries musicales de Reims ont été présentées hier matin.
Pas de parrains ou marraines au CV prestigieux et à la carrière déjà très ancienne cette année pour les Flâneries musicales. Le festival classique et jazz de Reims joue en effet la carte jeune avec la pianiste Brigitte Engerer comme marraine de l'épreuve. Ce choix s'inscrit dans la volonté affichée de faire évoluer les Flâneries en s'ouvrant vers un autre public tout en gardant les fidèles.
Cette année, le concert d'ouverture, jeudi 19 juin, ne se fera pas à la basilique Saint-Remi comme c'est habituellement le cas mais au Grand théâtre et non pas avec de la musique classique mais du jazz et Michel Portal. « Nous trouvions que c'était un peu triste d'ouvrir le festival avec de la musique sacrée », explique Hervé Corre de Valmalète, en charge de la programmation classique.
Au total 85 concerts et plus de 1000 artistes sont attendus du 19 juin au 3 août. La programmation classique mettra notamment en avant Brahms et Schubert. Quelques grosses pointures sont annoncées comme le pianiste Krystian Zimerman.
Côté jazz, Francis Le Bras, a décidé de mettre à l'honneur les talents français. Pour le rendez-vous incontournable du concert pique-nique, le 19 juillet au parc de Champagne, ce sera tout de même une diva internationale qui sera l'invitée d'honneur : Cassandra Wilson.
A noter également que cette année les flâneries iront dans des lieux inédits comme la prison, l'hôpital, le parvis de la cathédrale, des centres handicapés etc...
G. A.-T.
Les réservations (23 concerts sont payants) débutent dès ce lundi dans les réseaux de billetteries classiques
L'Union du 24 avril 2008

Reims
L'ancienne directrice de l'Opac devant le tribunal correctionnel
L'ancienne directrice de l'Opac, Élisabeth Chéry répondait hier devant le tribunal
correctionnel de Reims de différentes infractions qui auraient été commises à l'occasion de ses fonctions de directrice générale de l'Opac (office public d'aménagement et de construction de Reims), entre 1999 et 2003.
C'est une lettre d'un conseiller municipal et membre de l'Opac qui a alerté le procureur de la République en février 2004.
Le courrier faisait suite à un rapport de la mission interministérielle d'inspection du logement social, qui avait relevé quelques irrégularités dans la gestion de l'office HLM.
La justice, comme le relatait hier le président du tribunal Mario-Louis Craighero, fait plusieurs reproches à l'ex-directrice générale de l'Opac - aujourd'hui Reims Habitat - et à son directeur général adjoint de l'époque Patrick Schenk : « Avoir tenté de se procurer un avantage injustifié au préjudice de l'Opac en engageant une société au mépris des règles des marchés publics », d'avoir « fait prendre en charge par l'Opac des frais d'embellissement de leurs logements personnels », avoir également « accordé des marchés à l'association AC Constructions » présidée par Mme Chéry.
On reproche enfin à l'ancienne directrice générale et à son adjoint d'avoir réalisé des marchés avec plusieurs sociétés dirigées par le fils de la première et dans laquelle travaillait également son mari.
Le fils de Mme Chéry, Ronan, était poursuivi pour avoir bénéficié de contrats avec l'Opac et le mari de l'ex-directrice, Albert, pour avoir géré (de fait) des entreprises alors qu'il était sous le coup d'une interdiction définitive de gérer une entreprise commerciale.
Marché saucissonné
La principale infraction reprochée à l'ex-directrice et son adjoint consiste en l'attribution à la société Syllogis d'un marché informatique pour un montant de 647 000 F (à l'époque, environ 100.000 euros aujourd'hui) alors que le code de la construction imposait aux organismes publics de lancer un appel d'offres pour tout marché supérieur à 300.000 F (45. 734 euros aujourd'hui). Le procureur de la République Madeleine Simoncello pour qui « cette affaire est la révélation d'un état de fait qui démontre gestion peu rigoureuse de cet office » estime que l'Opac a « saucissonné un marché pour pouvoir choisir son contractant. Les procédures sont parfois lourdes mais elles s'imposent à tous les organismes publics ».
Avocat des deux principaux prévenus, Me Cahen assure que « les dirigeants de l'Opac ont pris la bonne décision. L'informatique est une matière compliquée, le système était en place et l'on ne pouvait pas tout changer. » Le procureur a requis des peines de 3 à 6 mois de prison avec sursis et 10.000 euros d'amende à l'encontre des deux ex-dirigeants de l'Opac. Les quatre avocats des prévenus ont tous plaidé la relaxe. « On a sali la famille Chéry », lançait Me Miravete. « À l'époque où l'affaire a éclaté, on parlait de champagne coulant à flot, de tableaux de maîtres aux murs de l'appartement qui devait ressembler au palais des mille et une nuits ! ».
Le tribunal a mis son jugement en délibéré au 3 juin.
Patricia Buffet
L'Union du 23 avril 2008

Reims
On déracine et on terrasse dans le beau parc Arago
Les travaux du renouvellement urbain Croix-Rouge du secteur Pays-de-France ont commencé dans le virage Bonaparte-Arago. Le parc, condamné pour une grande partie, est éventré en vue de la construction de deux blocs de logements résidentiels R + 4 avec parking privé souterrain et de 4.300 m2 de cellules commerciales qui s'élèveront en rez-de-rue, entre le virage Arago-Bonaparte et La Poste. Plus tard, les actuels commerces du centre commercial Pays-de-France y seront réimplantés. Il sera temps alors d'envisager la démolition de la passerelle, de son parking souterrain et du stationnement aux Picards où le 1 disparaîtra.

Rencontres d'échecs
Comme tous les ans, le club d'échecs de Reims, Echecs et mat, organise une grande compétition le 8 mai. Ce 7e trophée de la Ville de Reims rassemblera plus d'une centaine de joueurs de la région à la salle municipale 17 rue Saint-Thierry de 9 heures à 17 h 30. Le week-end des 17 et 18 mai, le club organise par ailleurs une phase finale des championnats de France féminins par équipe.
Reims y aura son équipe de quatre joueuses. Cette compétition se déroulera à la maison diocésaine Saint-Sixte, le samedi après-midi et le dimanche toute la journée.

Jolivettes
L'atelier folk des Jolivettes accueille les 3 et 4 mai Christian Oller, compositeur connu pour les musiques qu'il a écrites à l'occasion de la cérémonie d'ouverture des JO d'Albertville en 1992 ou les fêtes du bicentenaire en 1989 à Paris. Il animera plusieurs stages et un bal à l'école Carteret pendant ces deux jours.
L'espace vert Arago : un champ de bataille.
L'Union du 23 avril 2008

Reims
Val-de-Murigny croit en son avenir
L'espace Murigny devra être « requalifié ».
Certains voient l'implantation d'Ikea et de « Maison + » à Thillois, et de la Cité de l'habitat à Croix-Blandin comme une chance ; d'autres comme une menace. C'est le cas des commerçants de l'assocation « Grand-Val », qui regroupe la cinquantaine d'enseignes de la zone de Val-de-Murigny, et leurs 400 salariés.
Cette zone a été ouverte dans les années 80. Elle s'est spécialisée dans l'ameublement à 80 %, avec un peu d'automobile et d'hôtellerie. L'hypermarché de Champfleury s'y rattache.
Sans être contre Ikea, les commerçants de Murigny soulignent le déséquilibre actuel de l'offre commerciale à Reims en général, dans l'équipement de la maison en particulier. Déséquilibre qui « doublera » avec l'implantation des nouvelles enseignes.
Ils estiment que la zone de chalandise rémoise est trop faible pour absorber toute cette offre. D'où l'inquiétude de leurs homologues des autres villes, de Troyes à Saint-Quentin.
Enfin, les zones actuelles de Murigny, de la Neuvillette ou de Tinqueux risquent de se vider de leur substance, par des transferts.
Les commerçants du Grand-Val donnent donc l'alerte. Ils sollicitent les élus rémois pour les aider à « requalifier » leur zone, qui dispose d'atouts pour l'avenir.
Ils songent aussi à se transormer en « cité de l'ameublement de qualité ». « Grand-Val » réunira se réunira le mardi 29 avril à 18 heures.
J.F.Scherpereel
L'Union du 22 avril 2008

Reims
Le sport pour tous, priorité
pour Christine Michel
Pour Christine Michel, chaque Rémois qui le souhaite doit pouvoir exercer une activité sportive.
Nouvelle adjointe aux sports, Christine Michel le répète à l'envi : le sport est un facteur de cohésion sociale. Elle explique aujourd'hui quelles sont ses priorités pour les prochaines années.
Conseillère municipale depuis 1989, Christine Michel s'est toujours passionnée pour le sport. Parce qu'elle est sportive, parce qu'elle considère surtout que le sport est un facteur de cohésion sociale à condition de mener des actions pour le remplir de sens. « Le sport et les bénévoles qui assurent l'encadrement véhiculent des valeurs de solidarité, de respect de l'autre, de tolérance, de générosité, d'effort, de lutte contre toutes les discriminations, sexistes, physiques ou/raciales. On ne parle d'ailleurs plus d'entraîneurs mais d'éducateurs du sport, du geste technique. En amont ça passe déjà par le respect de l'éducateur, de l'arbitre. »
Constatant que depuis une vingtaine d'années pas grand-chose finalement n'a changé dans la politique sportive de la ville « il n'y a pas d'axe fort et les lignes budgétaires ont finalement peu évolué », Christine Michel et le Nouveau Reims veulent changer les choses.
Trois priorités
« Notre priorité, c'est d'abord le sport pour tous dans toutes ses formes. Il faut que chacun, quels que soient son âge, son sexe, ses revenus, son quartier puisse exercer une activité physique et sportive en sport loisir, de compétition ou de haut niveau. La ville se doit de mettre des équipements fonctionnels au service des sportifs. Si nous avons un parc d'équipements importants, il est âgé. Il faut faire un état des lieux, améliorer les conditions d'hygiène et de confort.
Nous voulons aussi apporter un soutien plus marqué par rapport au sport féminin. Il faut enfin après avoir affiché nos priorités et indiqué l'axe de notre politique, travailler en concertation avec les clubs. Échanger, sans s'immiscer dans leur vie. Nous sommes dans une logique de partenariat, de négociation. »
Des États généraux
L'historienne aime le mot. « Après avoir fait un diagnostic de l'existant, nous voulons constituer des groupes de travail avec les clubs, les associations mais aussi les usagers du sport libre pour construire une charte du sport évaluable et évolutive. Utile pour le budget 2009. »
Idées : Pour le Reims à toutes jambes, l'élue souhaiterait que le samedi une animation de masse soit organisée en ville.
Meeting d'athlétisme : « Il est bien managé mais on devra plus impliquer les jeunes de tous les quartiers. De même bien faire respecter la convention concernant la mise à disposition d'athlètes pour faire la promotion du sport. »
Piscines : « Il faut les ouvrir l'été dans les quartiers où il y a peu d'équipements et où il y a de la demande. Il faut surtout proposer des animations ludiques, apprendre aux enfants à nager, les initier à toutes les nages. »
Ludosports : « C'est très intéressant. Ça a changé et il faut encore plus que les jeunes sortent de leur quartier, qu'ils en rencontrent d'autres en ville. »
Office des sports : « Il a toute sa place dans la ville. C'est un vrai partenaire pour faire avancer les choses. Par son intermédiaire, on doit voir comment apporter une vraie aide logisitique, administrative et financière aux clubs pour qu'ils fassent leurs dossiers. »
Rallye Monte-Carlo historique : Il pourrait être financé par un autre budget.
Alain Moyat
L'Union DU 22 avril 2008

Reims
STADE DE REIMS / Caillot : « Des leçons à tirer »
Jean-Pierre Caillot réaffirme que « le Stade de Reims n’a jamais été relégable ».
Le Stade de Reims prend son temps. Comme pour mieux savourer une saison à vite oublier, ou pour agacer un peu plus ses supporters mécontents, l’équipe rémoise prend un certain plaisir à faire durer le suspense.
C’est une habitude, les Rouge et Blanc font débat. Entre passion et raison, chacun y va de son diagnostic et de la thérapie à appliquer pour redonner des couleurs au malade. Si l’heure n’est pas encore au bilan et que l’essentiel (1 point) est encore à assurer, l’analyse ponctuelle de Jean-Pierre Caillot sur une situation générale fragilisée, est intéressante.
Une chose est certaine, le président stadiste aurait aimé être plus vieux de quelques semaines. Histoire d’y voir plus clair.
Jean-Pierre Caillot, un succès face à Brest aurait permis de tirer un trait sur une saison délicate…
« C’est vrai, mais ce nul contre Brest n’est pas une contre-performance. Sur le plan comptable, notre situation s’est améliorée. Nous venons de prendre 4 points en une semaine et nous possédons 6 points d’avance sur le premier relégable. Dans le jeu aussi, il y a du mieux, même si tout n’est pas parfait, loin de là ».
Avez-vous été inquiet ?
« Il fallait vraiment être inconscient pour ne pas être inquiet, même si on savait que le pire pouvait être évité. Il aurait fallu une conjonction de circonstances défavorables pour nous retrouver dans une situation encore plus délicate. Même si notre saison n’a pas été conforme à nos prévisions, le Stade de Reims n’a jamais été relégable et a su se battre avec ses moyens pour éviter le pire ». Avouez que le bilan général est plutôt morose… « Le bilan, on le fera à la fin de la saison. Il est évident que nous n’étions pas préparés à vivre une telle année sportive. Notre masse salariale n’a jamais été aussi élevée depuis notre retour en L2 avec le recrutement de joueurs aux qualités reconnues. Mais d’un autre côté, le club a continué à grandir, à se structurer. Chaque saison, nous accumulons de l’expérience ».
« Rien n’empêchera les rumeurs »
Il y a aussi des erreurs à ne pas reproduire.
« Bien sûr. Nous avons des idées précises sur ce que nous souhaitons pour le club. Mais pour l’heure, bouclons la saison. Je souhaite que tout le monde adhère à cet état d’esprit : il faut finir le travail. Et ce ne sera pas si facile de grappiller ces 2 points qui nous manquent, d’autant que nous subissons une véritable hécatombe avec une équipe complète à l’infirmerie. Tenez, le secteur médical, voilà l’exemple d’un secteur à améliorer ».
La rumeur se fait de plus en plus précise concernant un changement d’entraîneur. Qu’en dites-vous ?
« Je démens formellement être entré ....
L'Union du 21 avril 2008
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Reims
L'hôpital des nounours investit l'école Raoul-Dufy
Dans le bloc opératoire improvisé, les enfants aideront le chirurgien dans son intervention.
Pour la troisième année consécutive, les étudiants en médecine de Reims organisent l'opération « hôpital des nounours ». Objectif : sensibiliser les enfants aux blouses blanches.
Cette année, les étudiants en médecine de Reims installeront « l'hôpital des nounours » à l'école Raoul-Dufy. En ce lieu, pendant deux jours, les lundi 28 et mardi 29 avril, ils interviendront sur les bobos des ours en peluche de 111 écoliers. Des enfants de 3 à 6 ans.
« L'objectif principal de ce projet est d'améliorer la relation entre le médecin et l'enfant », rappelle Alexandre Lourdelle, étudiant en 2e année de médecine, un des organisateurs de la manifestation. « L'idée est d'essayer de réduire leur peur, leur angoisse vis-à-vis de la « blouse blanche » », ajoute-t-il.
Pour les futurs professionnels de la santé, il s'agit aussi de se familiariser avec un public qu'ils n'ont pas forcément l'habitude de rencontrer. Une action qui s'intègre également au programme scolaire notamment dans la sensibilisation aux problèmes d'hygiène et de santé.
Le temps de deux journées, une salle de l'école sera transformée en hôpital. Pour l'occasion, une salle d'attente, un cabinet médical, un service de radiologie, un bloc opératoire, une pharmacie et un cabinet bucco-dentaire seront « reconstitués ».
« En amont », explique l'étudiant, « tout une préparation a été réalisée avec les écoliers et les enseignants. Ont par exemple été décidées les pathologies des nounours. Un carnet de santé a même été édité. Et le jour de la consultation, tout se passera comme dans un vrai hôpital ».
Il précise : « L'enfant et sa peluche rencontreront d'abord la secrétaire médicale qui les orientera en fonction de la pathologie du nounours dans le mini-hôpital recréé. Dans les salles, les étudiants en médecine, devenus « nounoursologues....
L'Union du 21 avril 2008
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Reims
Carton plein pour Ludosports grâce à la pluie
Les vacances se suivent et ne se ressemblent pas pour les activités Ludosports proposés au 4-11 ans. Avec la pluie, les gymnases ont été pris d'assaut lors de ces vacances. Images.
«ON a tourné avec une moyenne jour de 360 à 400 enfants. Presque du jamais vu » témoigne Laétitia Mareigner, chef de projet des activités Ludosports proposée gratuitement par la ville à chaque vacances scolaires. Oui, en raison de ces vacances pluvieuses et la météo incertaine, beaucoup de parents n'ont pas manqué d'envoyer leurs enfants de 4 à 11 ans participer aux nombreuses activités proposées dans les gymnases aux quatre coins de la ville. « On ne pouvait accueillir que 84 participants à la patinoire et 30 à 36 dans les autres sites. Vu l'affluence certains jours on a dû refuser du monde à la patinoire Barot, au gymnase Galliéni et au gymnase Courcelles ».
Folie rooler
Au gymnase François Legros, c'est le jour et la nuit avec les vacances précédentes. On avait du mal à avoir 20 enfants, on en a eu jusqu'à 46.
Basket à Léo Borgniet, activités multiples de ballons à Galliéni, initiation à la glace matches dde hockey à Barot, les jeunes ont pu se défouler, parfaitement encadrés. En effet pour assurer l'encadrement, il y avait chaque jour seize éducateurs territoriaux de la ville et une vingtaine de vaccataires.
Bouger et se bouger

Durant ces vacances sportives, les enfants qui sont pris en charge en début de semaine dans un gymnase sont constitués en groupe qui vont ensuite transportés en bus, pratiquer d'autres activités dans un autre quartier.
Certains ont été faire du trempoline à René Tys. D'autres ont pratiqué de l'accobranches.
Les plus petits sur les mini ateliers à Tinqueux, les plus grands au Parc de Champagne.
Le prochain rendez-vous Ludosports est fixé au mois de juillet, aussitôt le meeting d'athlétisme.
Alain Moyat
Tout savoir sur les métiers de la pharmacie Le Centre régional information Jeunesse et l'ONISEP Champagne-Ardenne organisent, en partenariat avec la FNAC et RJR une nouvelle rencontre « Mercredis Avenir ».
Ouvert au grand public, ce temps d'information sur les métiers et les formations portera sur une présentation du secteur de la pharmacie d'officine et d'industrie. Il se tiendra à Reims le mercredi 30 avril de 16 heures à 17h30. De l'élaboration d'un médicament à sa commercialisation, les métiers de la pharmacie couvrent un large secteur d'activité (laboratoires, officines, hôpitaux, enseignement…).
Dans l'industrie pharmaceutique, le pharmacien « suit » le médicament tout au long de son élaboration : chercheur (conception de molécules), technicien de production, technicien de contrôle, technicien de R & D, attaché de recherche clinique (trait d'union entre industrie et médecin), responsable marketing.
Côté études, 6 ans au minimum sont indispensables.Trampoline à René Tys.Carton plein au gymnase Galliéni.Rooler au gymnase François Legros.
L'Union du 21 avril 2008

Reims
BA 112 : il y a de quoi en faire toute une histoire
Le colonel Perronne entouré des deux auteurs du livre en préparation.
Pour la première fois, deux « historiens » vont se pencher sur la vie de la base aérienne de Reims depuis sa création officielle il y a 80 ans. Un document qui paraîtra en 2009.
ALORS que l'on parle d'une réorganisation de notre système de Défense qui pourrait remettre en cause plusieurs sites militaires, deux historiens locaux préparent un ouvrage dans lequel ils raconteront toute l'histoire de la BA 112 depuis sa création officielle il y a 80 ans. Un ouvrage inédit, qui devrait sortir l'année prochaine, lors de la commémoration du premier grand meeting aérien en France de 1909. Car la base aérienne de Reims n'est pas née là par hasard. Au début du XXe siècle, les champs de ce secteur avaient déjà servi de décor à plusieurs manifestations historiques.
Comme la revue militaire organisée à l'occasion de la visite du Tsar Nicolas II. Ou le premier meeting aérien au monde, organisé dans la foulée du premier vol de ville à ville, entre Bouy et Reims par Henri Farman le 30 octobre 1908. En 1910 et 1913, deux grandes « semaines de Champagne » avaient constitué des événements aéronautiques importants.
Mais il faudra attendre l'entre-deux guerres pour que l'armée de Terre cède sa place à la future armée de l'Air, dont la BA 112 a suivi l'évolution.
En 1939, la base rémoise comptait 300 avions et 2.000 personnes.
En septembre 1939, les Français laissent la base aux Anglais, y séjourneront quelques mois, avant l'arrivée des Allemands qui y installeront des usines de construction des avions « Junker ».
En août 1944, les Américains reconquièrent cet espace qui sera finalement détruit par des bombardements.
En 1946, l'armée américaine y stocke 300.000 tonnes de « surplus » offerts à la France.
A partir de 1950, la BA 112 entre dans l'ère moderne, en même temps que le pays réorganise sa défense.
La piste actuelle sera construite pour l'arrivée des avions à réaction.
Dans les années soixante, la chasse et le transport se côtoieront, avant que les seuls « Mirage F1 » n'occupent le terrain. Aujourd'hui, la BA 112 est spécialisée dans la reconnaissance aérienne, avec 40 appareils servis par 1.600 personnes. L'avenir de la base est lié à celui de l'espérance de vie des « F1 », fixée à 2015. A moins que… C'est toute cette histoire que Frédéric Lafarge, le « M. Relations publiques » de la base, et Jean-Pierre Balka, un ancien contrôleur aérien militaire, ont décidé de raconter dans un livre illustré à paraître dans un an. Ceci avec le soutien du colonel Perronne.
Les deux auteurs n'évoqueront pas l'histoire d'une unité ou des avions en particulier, mais bien de la base dans son ensemble.
Ils prévoient de révéler quelques informations inédites ou de dresser le portrait de grandes figures de la base. Les personnes qui disposent d'informations ou de documents peuvent d'ailleurs les joindre au 03.26.79.51.86.
L'Union du 20 avril 2008

Reims
500 jobs à prendre sur la ligne du tramway
Alstom et Bouygues espèrent recruter essentiellement à Reims.
C'est le moment de postuler pour ceux qui veulent construire la ligne de tram. Qualifié ou pas, il suffit d'avoir envie de travailler. Bouygues, Alstom et Mars s'occupent de tout.
Que ceux qui ont envie de travailler se lèvent ! La question n'est pas de savoir combien d'emplois le tramway va apporter à Reims mais plutôt combien d'employé(e) s la ville va-t-elle apporter au tramway. Tout cela pour dire que les constructeurs de la ligne espèrent que les Rémois seront nombreux à répondre à leurs offres d'emploi mais que ce n'est pas gagné.
« Nous allons recruter environ 500 personnes principalement dans les métiers des travaux publics, de l'électromécanique et aussi des services dans une moindre mesure. Je m'attends à en trouver 100 à Reims. Pas plus », estime Jean-Pierre Guérin, directeur à la Screg mais surtout président régional de la fédération des travaux publics.
Malgré des partenariats avec l'ANPE, la Mission locale et même des opérations de recrutement dans les quartiers : « On a du mal à trouver des gars qui ont envie de bosser ». L'effort en vaudrait pourtant la chandelle. Pour un ouvrier qualifié, ce sera l'opportunité d'intégrer une boîte comme Bouygues, de monter en grade et en salaire et « c'est l'assurance pour celui qui bosse bien de faire carrière ». Mêmes avantages pour les jeunes avec en plus la chance d'apprendre un métier. Diplômé ou pas, ils peuvent se manifester : « Nous allons embaucher à tous les niveaux de qualification et ceux qui n'ont pas les compétences en arrivant seront formés », souligne Alain Desvaux directeur de production issu de Bouygues.
Salaires de 1.500 à 3.500 euros
Le tramway doit mettre en valeur la ville, les recruteurs espèrent que ceux qui contribueront à le faire naître en tireront une certaine fierté. En plus des autres avantages : « Chez nous, un débutant qualifié gagne environ 1.500 euros net en plus des primes de déplacement et du casse-croûte. Lamoitié de nos cadres ne sortent pas des écoles mais proviennent de la base. Un cadre avec 10 ans d'ancienneté gagne entre 3.000 et 3.500 euros net. Il y a donc moyen de faire une belle carrière ». A condition d'avoir le courage de bosser dehors toute l'année et de faire de longues journées en été.
Pas de tout repos les travaux publics mais « du boulot assuré et des perspectives d'avenir ». Après Bouygues et le génie civil, c'est Alstom qui recrutera « entre 50 et 60 personnes dans un an. Il nous faudra des cableurs, des électriciens, des maçons, des manœuvres….», énumère Dominique Voydeville, directeur de projet.
« Quand le tramway sera terminé, nous aurons encore besoin de main-d'œuvre chargée de la maintenance pour les 30 ans à venir ».
Pour intégrer la grande aventure du tram, on peut déposer un CV sur www.mars-reims.fr, téléphoner au 03.26.69.34.70 ou écrire à Mars, 8 rue Hincmar. Les candidats pourront aussi aller directement voir les chefs de chantier.
Catherine Frey
L'Union du 19 avril 2008

Reims
  Comment devenir ambassadeur
C'est le moment de postuler pour devenir ambassadeur du tram. Le CDD de deux ans et demi est ouvert aux demandeurs d'emploi de tous les âges. La règle du recrutement sera la mixité.
La mission tramway recommande un niveau bac + 2 mais comme l'état d'esprit sera un critère primordial d'embauche, ceux qui n'auraient pas le diplôme peuvent tenter leur chance.
Le travail des 15 ambassadeurs (lire par ailleurs) consistera essentiellement à savoir écouter les gens et à les informer.
Il est recommandé d'être diplomate, calme, souple, disponible, autonome, de savoir utiliser un ordinateur, d'avoir un esprit de synthèse et de rédiger correctement. Il est aussi indispensable d'adhérer totalement au projet du tramway.
Payé 1.520 euros brut, le job impose de travailler le samedi et avec une amplitude horaire de 7 h à 20 heures par roulement.
Les candidatures doivent être adressées à l'ANPE, agence locale de Reims Vernouillet, équipe3, 53 rue Vernouillet à Reims. Tél. 03.26.35.33.30.
L'Union du 19 avril 2008

Reims
Politique : Jean-Claude Laurent entre en résistance
Falaliste de la première heure, marieur célèbre puisqu'il a présidé à plus de 4.800 mariages en mairie, Jean-Claude Laurent, candidat (droite populaire) de dernière minute aux dernières élections municipales a décidé d'entrer en résistance.
Qu'importe si sa liste : « Reims demain », n'a obtenu que 436 voix ! Il a décidé d'être la nouvelle vigie de la droite « pour préparer l'avenir. » Et tandis que de son côté Mario Rossi, nulle part à force d'avoir voulu être partout, tente de son côté de ressouder aussi cette droite qui ne croit pas à une alliance un jour possible entre - Catherine Vautrin et Renaud Dutreil, il vient de créer une association. Baptisée, fort naturellement : « Reims demain. »
Réunion mercredi
« Notre association a trois objectifs » résume sans rire Jean-Claude Laurent : - « assister à tous les conseils municipaux et se positionner par rapport aux problèmes évoqués,
- rassembler le maximum de personnes boîte aux lettres dans les quartiers qui nous feront remonter tout ce qui ne va pas en ville,
- constituer l'embryon de ce que pourrait être une liste pour les prochaines élections régionales. »
L'ossature de l'association est composée de plusieurs professeurs : Daniel Vilain (prof de sports) ; Jean-Michel Adam (prof des écoles), Jean Lépine (prof de français). Secrétaire : François Villain.
La réunion est fixée au mercredi 23 avril à 11 h 15 au 15, rue René-Bourgeois chez Jean-Claude Laurent. Pour tous renseignements complémentaires Tél. 03.26.49.00.06 ou 06.65.65.390.03.
Alain MoyatJean-Claude Laurent est passionné par ce qui se passe dans le monde, mais surtout par le devenir de la droite rémoise.
L'Union du 19 avril 2008

Reims
Godinot ne décolère pas
Pas contents du tout les représentants syndicaux de l’institut Godinot, centre de lutte contre le cancer. En grève lundi dernier au nom du pouvoir d’achat, ils attendaient des avancées de la commission paritaire qui s’est réunie mardi (Notre édition de mardi).Cette réunion n’a rien donné à tel point que les délégués syndicaux ont demandé une suspension de séance et fait une requête à la fédération nationale: «Nous avons demandé qu’il y ait un seul point à l’ordre du jour de la prochaine commission du 15 mai. Seul point qui serait la politique salariale», explique Jacky Dumais, délégué CGT.«Cette requête nous a finalement été refusée. Il semblerait qu’ils ne veulent pas parler salaires avant septembre».Inacceptable pour tous les syndicats confondus qui vont appeler à une nouvelle journée d’action le jeudi 15 mai. «Nous allons consulter le personnel pour savoir s’il souhaite poursuivre la lutte et si c’est oui, Godinot sera à nouveau en grève le 15 mai
L'Union du 18 avril 2008

Reims

Les Jolivettes s'inquiètent
pour les Sacres du Folklore
Les Jolivettes ? Une association plutôt atypique. La plupart des groupes folkloriques manquent d'hommes ? « Nous, nous aurions plutôt un besoin de recruter des filles ! » Le célèbre groupe champenois tenait samedi son assemblée générale à la salle Armonville. L'objectif ? Comme l'assure Josiane Lecrique, directrice du festival : « Nous rassembler et faire en sorte que ce patrimoine joué, dansé et chanté soit reconnu et apprécié du plus grand nombre ». Pour ce faire, ils ne ménagent pas leurs efforts : « Nous ne voulons pas donner du folklore une image ringarde de danseurs « paysans » chaussés de sabots et qui dansent en regardant leurs pieds ! » lance Christine Bellier, chorégraphe du groupe et programmatrice des Sacres du Folklore. Le point fort de 2008: les Sacres du Folklore, du 13 au 17 juin, avec 9 groupes venus des 5 continents. Un véritable défi : coût des visas, situations politiques pouvant engendrer des désistements. Et surtout le coût de la salle, passant de 3858 euros en 2006 à 10000 euros pour deux jours de spectacle en 2008. Faute d'autre lieu, l'association a dû se résoudre à louer la salle Royale du centre des congrès, d'où de fortes augmentations de charges. La demande de subvention exceptionnelle a été refusée. « Nous avons le label CIOF, notre festival est une ouverture sur le monde » insiste Josiane Lecrique, se tournant vers Jacques Cohen, adjoint au maire chargé du tourisme et des relations internationales. « Une municipalité a des moyens limités » a répondu l'élu. L'association ignore quel va être son futur...
L'Union du 17 avril 2008

Reims
Parc de Champagne : c'est beau et c'est gratuit
Depuis le début du mois d’avril, promesse municipale oblige, le Parc de Champagne (ex-Parc Pommery) est ouvert gratuitement au public. Nous y avons rencontré de nombreux Rémois, qui ne sont pas mécontents.
Certains y allaient régulièrement. D'autres, assez nombreux, ont redécouvert le Parc de Champagne depuis qu'ils ont appris qu'il était gratuit. Rencontre.
BIEN que le soleil n'ait cessé de jouer à cache-cache avec les nuages, il y a eu près de 300 personnes samedi au Parc de Champagne. Chants d'oiseaux, arbres en fleurs, parterres de jonquilles et de narcisses moribonds, fières primevères, pâquerettes coquettes, gazon verdoyant, l'ambiance calme et feutrée invitait à la balade au milieu des érables, des marronniers et des buis. La plupart du temps en famille. Avec les enfants, le plus souvent les petits enfants, et le chien chien.
Le sujet avait fait débat avant et pendant les élections municipales. Adeline Hazan, nouvelle maire a tenu sa promesse. Désormais, le parc sera gratuit, sauf manifestation particulière.
Pour Martin Guy, gardien depuis deux ans, ça ne change pas grand-chose. « Sauf qu'avant on était à deux. »
Il reconnaît tout de même : « On voit beaucoup de personnes, de nouvelles têtes. » Si à 10 heures il avait déjà comptabilisé 58 personnes, c'est de 14 à 17 heures que le public était le plus nombreux (152).
« Tout le monde se respecte. Je leur demande d'observer le règlement. Les chiens doivent par exemple être tenus en laisse. Les vélos sont interdits aux enfants de plus de 12 ans. Et puis, il faut laisser l'endroit comme on l'a trouvé. » Pas suffisamment de poubelles ? Guy Martin estime qu'elles sont assez nombreuses. « Tout est ensuite question de respect. Il y a aussi une benne à verre, enterrée à l'entrée du parc. »
Un peu méfiants, les premiers promeneurs rencontrés, remontant de leur balade.
« C'est très bien », explique Thérèse qui refuse de donner son nom. « On y viendra plus souvent à plusieurs. Avant fallait payer pour le chien. Ce serait dommage que ça soit abîmé. » Robert Krauffel, qui demeure bd Pasteur, est un habitué : « On y vient depuis deux ans. A l'année, 15€, ça faisait pas cher ».
Daniel Simon, résidant bd de la Paix : « Moi j'y venais déjà gamin. Je me suis entraîné avec Flamion du Stade de Reims. C'était un parc sympa. Il faudrait qu'il le reste. » « C'est bien que ce soit gratis », déclare Arlette du quartier Jacquart. « Maintenant, faut voir ce qui va arriver. J'espère que les babanes ne vont pas débouler. » Ronan Lelièvre de Prouilly : « J'habite ici depuis deux ans et c'est la première fois que je viens dans ce parc. C'est sympa, il n'y a pas trop de monde. Ça reste calme et plaisant. On arrive à se reposer et à faire une balade digestive avec notre chienne Kiva ».
Enfin Micheline Divry, qui habite quartier Jean XXIII et qui est venue avec ses petits enfants Séphora, Sean et Josué : « Je suis déjà venue ici avec l'école. Quand on a appris que c'était gratuit, on s'est décidé à venir. Ça fait de la pub. A Jean XXIII, il y a un terrain immense, mais on ne peut rien faire dessus ».
Alain Moyat

Durant ces vacances, le parc restera ouvert tous les jours y compris le week-end de 10 heures à 19 h 30, sans interruption. Le reste du temps, le parc est ouvert la semaine de 13 heures à 19 h 30, les mercredis et les week-ends de 10 heures à 19 h 30.
L'Union du 16 avril 2008

Reims

Les élus communautaires se répartissent les tâches
Adeline Hazan a officialisé les délégations des élus dans les commissions et organismes extracommunautaires.
La communauté d'agglomération fonctionnera « autrement » sous la présidence d'Adeline Hazan. Ici, comme au conseil municipal de Reims, l'outil sera mis au service du projet politique.
Dans le style, le conseil communautaire d'hier soir n'avait rien à voir avec ceux du mandat précédent, même si sa durée n'a guère excédé celle de la présidence Schneiter. Il s'agissait surtout pour la présidente Adeline Hazan de répartir les tâches.
Ce qui a été fait, avec, en prime, un débat court mais ferme, sur la justification de l'augmentation des indemnités de la présidente et de ses vice-présidents… contestée par l'opposition via Jean-Marie Beaupuy, comme au conseil municipal de la veille.

Nouveauté
Une nouveauté importante a été introduite par l'équipe Hazan dans l'organisation. C'est le passage de 4 à 7 commissions au sein de la Car, composées d'une quinzaine de membres.
La première d'entre elles, « finances et administration générale » sera présidée par Mme Hazan. « Cette commission ne se réunissait pas dans le mandat précédent, sinon sous d'autres formes. Désormais, elle se réunira », a insisté la présidente. Le développement durable et le plan de déplacement urbain seront l'affaire de Jean-Louis Cavenne ; le développement économique sera sous la houlette de Serge Pugeault ; les transports - et notamment le tramway - restent à Alain Lescouet ; Jean-Pierre Belfie présidera « l'aménagement de l'espace » ; la voirie intercommunale sera supervisée par Nathalie Malmberg. Enfin, Jean-Pierre Fortuné s'occupera de l'eau et de l'assainissement.
Les élus communautaires se sont également partagé la représentation de la Car dans de nombreuses structures comme l'agence d'urbanisme, Reims Champagne Développement, Champagne-Ardenne Développement, la Maison de l'emploi, les collèges, le parc naturel, etc.
Adeline Hazan se réserve la représentation dans les associations extra-locales du Groupement des autorités responsables des transports, et des villes et régions européennes de la grande vitesse.
La fixation du montant - à la hausse - des indemnités de la présidente et des vice-présidents a engendré le même débat avec l'opposition que la veille au conseil municipal. Mais cette fois, la réponse de Mme Hazan était argumentée et chiffrée. Pour les vice-présidents, cette augmentation se justifie « par l'abandon ou la réduction de salaire » des nouveaux élus.

Audit
Établissant une comparaison avec ce que gagne M. Beaupuy comme député européen (la même somme qu'elle…) et soutenue par M. Fortuné, Mme Hazan ajoute que « l'enveloppe légale ne sera pas utilisée en totalité. Il y restera 10.101 € par mois. Les contribuables rémois ne seront pas déçus du travail fourni ».
Enfin, les élus ont maintenu le taux de la taxe professionnelle au niveau des deux années précédentes ; accepté de réduire le volume d'emprunt de 18 à 16,5 M €, et le principe d'un audit « organisationnel » des services de la Car, notamment des services communs à la ville de Reims.
J.F. Scherpereel
L'Union du 16 avril 2008

Reims

Michel Guillaudeau titille la Car
Lors du conseil municipal, Michel Guillaudeau (PCF) a plusieurs fois mis en cause la communauté d'agglomération. Pour demander que soit réexaminé, au nom de la solidarité, le montant du reversement de la taxe professionnelle et de la dotation de solidarité communautaire, provenant de Reims Métropole.
Il a estimé que la Ville mettait beaucoup en commun pour améliorer la communauté d'agglomération, mais assurait seule le financement. Exemple pour le passage du TGV, Reims va encore payer 1,69 M €, la Car 150.000 €, et les autres communes, rien. Enfin pour le tram Reims, elle va dépenser 75 M € pour l'aménagement des voiries et des trottoirs, alors qu'une partie des dépenses de voiries devrait être prise en charge par Reims Métropole puisqu'elles se feront sur des voies dépendant de la communauté où passent plus de 5.000 véhicules/jour.
Et de demander que les 70 M € promis par Jean-Louis Borloo soient dans ce contexte reversés à la Ville de Reims.
Alain Moyat
L'Union du 16 avril 2008

Reims

Vers un changement dans la politique sportive
Bientôt une vraie aire de glisse au parc Léo-Lagrange ?
Pendant plusieurs mandats, elle a croisé le fer avec les adjoints aux sports successifs. Aujourd'hui adjointe aux sports, Christine Michel, divers gauche, a gagné son bâton de maréchal. Carrée, claire, main de fer dans un gant de… fer, aujourd'hui adjointe aux sports, elle entend bien faire avancer ses convictions.
On l'aura compris lundi soir, quand elle a pris la parole pour répondre aux interventions de Franck Noël, et surtout de Catherine Vautrin déplorant la diminution de subventions aux clubs amateurs (- 57 %) ou demandant des éclairages sur la politique sportive en direction des femmes.
Mme Michel a répondu sans détour. Concernant la diminution des crédits à Reims à toutes jambes : « Les crédits sont recadrés en fonction des dépenses réelles. Nous voulons rendre cette épreuve plus festive et fédératrice ».
« Il ne faut pas confondre clubs conventionnés et clubs amateurs. Pour les premiers, nous ferons face aux engagements. Reste que, lors d'états généraux, il nous faudra repenser cette convention qui mélange subventions, social et manifs sportives, et la remplacer par une charte du sport lisible et transparente.
Il faut aussi penser aux sportifs en fin de carrière. Nous n'abandonnerons pas les clubs amateurs.
Concernant le sport féminin, ce sera un axe important de notre politique et je sais que je pourrai compter sur Mme le maire. »
Dernier point : si le projet de skate parc à Courcelles est abandonné, le projet qui pourrait devenir une vraie aire de glisse urbaine pourra peut-être voir le jour au parc Léo-Lagrange. Sans épreuve de force.
Christine Michel sait ce qu'elle veut.
Alain Moyat
L'Union du 16 avril 2008

Reims

Chausson-Outillage a trouvé chaussure à son pied
Satisfaction générale des salariés, de leur avocate et du représentant de CRIT-Maser. Bien que la plupart des 180 salariés « sortant » de « Chausson outillage » va devoir changer de vie, un immense soupir de soulagement a envahi la salle des pas perdus du tribunal de commerce de Reims hier en début d'après-midi.
Les autorités judiciaires ont confirmé la reprise de l'entreprise par la société « CRIT-Maser » qui va donc organiser la mise en place d'un site de maintenance dans les domaines de l'aéronautique, du nucléaire, de l'aérospatial, ou de l'éolien. D'après le représentant du repreneur, cette activité sera mise en route d'ici à l'été. Elle concernera 50 emplois qualifiés, lesquels ne reviendront pas forcément à des anciens salariés de « Chausson outillage » et se traduiront « dans les 12 mois ». Pourtant, autant les représentants du personnel que leur avocate se sont réjouis de la décision du tribunal de commerce, qui estiment que les « 4 années de lutte » ont évité à « C.O. » d'en être réduit à une « friche industrielle ».
Sur les 180 salariés concernés par la fin de « Chausson I », un tiers (84) est en formation de congé conversion, une grosse vingtaine est en « possibilité d'emploi », de 60 à 70 en CDI ou CDD ailleurs, les autres en (pré) retraite. Trente salariés sont en situation plus « difficile ».
Le site de Reims sera le 17e de « Crit-Maser ». Cette firme française emploie 55 000 personnes dans le monde à partir de Paris.
J.F.Scherpereel
L'Union du 16 avril 2008

Reims

Michel Guillaudeau titille la Car
Lors du conseil municipal, Michel Guillaudeau (PCF) a plusieurs fois mis en cause la communauté d'agglomération. Pour demander que soit réexaminé, au nom de la solidarité, le montant du reversement de la taxe professionnelle et de la dotation de solidarité communautaire, provenant de Reims Métropole.
Il a estimé que la Ville mettait beaucoup en commun pour améliorer la communauté d'agglomération, mais assurait seule le financement. Exemple pour le passage du TGV, Reims va encore payer 1,69 M €, la Car 150.000 €, et les autres communes, rien. Enfin pour le tram Reims, elle va dépenser 75 M € pour l'aménagement des voiries et des trottoirs, alors qu'une partie des dépenses de voiries devrait être prise en charge par Reims Métropole puisqu'elles se feront sur des voies dépendant de la communauté où passent plus de 5.000 véhicules/jour.
Et de demander que les 70 M € promis par Jean-Louis Borloo soient dans ce contexte reversés à la Ville de Reims.
Alain Moyat
L'Union du 16 avril 2008

Reims
Reims Vital Ado : en musique et en rythme !
La batterie, c'est cool. Mais ça s'apprend !
« Nous nous associons pleinement au dispositif mis en place par la Ville de Reims : Reims Vital Ado », déclare Jean-François Dargencourt, directeur de l'Espace Ludoval de la maison de quartier Murigny.
« Au fil du temps, nous avons, ensemble, constitué deux pôles importants : l'un de musique, l'autre de jeux. »
Le pôle musique attire les jeunes âgés de 11 à 16 ans, qui y trouvent des ateliers guitare, basse, batterie, chant, piano et harmonica.
Chacun des ateliers est animé par un musicien chevronné.

L'objectif...
L'objectif est de permettre la découverte de ces différents instruments, dans le but de donner envie de poursuivre lors des ateliers réguliers instaurés au sein des maisons de quartier.
Ou encore au cours des « bœufs » musicaux qui sont proposés par RVA.
... est atteint

Ce mercredi, Cyril Cliquennois, professeur de batterie, initie un groupe de débutants. « La difficulté, c'est de respecter le tempo et de coordonner ses gestes », dit-il. Et d'expliquer qu'il fait toujours « un petit peu de lecture de partition, au départ ». « La batterie, franchement, c'est une expérience à refaire ! », lance Charles qui joue également de la guitare. « C'est cool, et ça nous donne à tous envie de continuer », approuvent ses camarades. Mission accomplie.
L'Union du 15 avril 2008

Reims

Ce soir, Reims Métropole en réunion
Adeline Hazan présidera la réunion.
Le conseil de la communauté d'agglomération Reims Métropole se réunit ce soir, à 18 h 30, à l'hôtel de ville de Reims.
Présidé par Adeline Hazan, maire de Reims, il a inscrit quatorze questions à l'ordre du jour.
Il s'agira pour l'assemblée des six communes de l'agglo de procéder à la composition de la commission d'appel d'offres, celle d'ouvertures des plis : création et composition des commissions communautaires ; composition des commissions spécialisées qui siégeront dans les organismes extérieurs et les établissements d'enseignement ; adoption du règlement intérieur ; attributions du bureau et de la présidente ; indemnité de fonction des vice-présidents et conseillers communautaires ; renouvellement de l'indemnité annuelle de conseil pour le comptable du trésor de Reims municipale.
Le gros morceau de cette réunion sera toutefois l'examen de la fiscalité et du budget primitif 2008, pour lequel les élus fixeront le taux de la taxe professionnelle. Enfin, les élus évoqueront les travaux d'aménagement de la Zac Dauphinot avec plusieurs avenants.
L'Union du 15 avril 2008

Reims

Les indemnités des élus
Après le vote du budget et le maintien des taux des trois taxes, Adeline Hazan a fait voter les indemnités aux élus. 3.726 € bruts pour la maire, 2.469 € pour les adjoints, 806 € pour les conseillers délégués et 214 € pour les conseillers. L'opposition n'a pas apprécié. « M. Guillaudeau parle de pouvoir d'achat, les salaires des employés municipaux augmentent de 2,2 % et vous augmentez les indemnités des adjoints de 36 % dans un contexte budgétaire tendu », ont déploré Mme Vautrin et M. Beaupuy.
« J'ai demandé aux adjoints d'être à mi-temps », a répliqué la maire. « Il est normal qu'ils aient une compensation. En ce qui me concerne, vous auriez été à ma place vous auriez touché la même chose car vous seriez restés député(e) s. Moi je démissionne de mon mandat de député et vous savez par ailleurs que nos revenus sont écrêtés. Vous auriez touché comme moi. »
M. Beaupuy : « Je tiens à dire qu'avant vous, les élus qui touchaient beaucoup moins travaillaient beaucoup plus qu'un mi-temps. »
A.M.
L'Union du 15 avril 2008

Reims

Ce soir, les Chausson fixés sur leur sort
M.Thumy, inquiet.
C'est ce soir que les salariés de Chausson outillage devraient être fixés sur le devenir des locaux, des machines et de l'éventuelle reprise d'une activité sur le site rémois. Le tribunal de commerce doit en effet rendre à 14 heures son délibéré, suite à l'appel fait par cinq repreneurs qui n'avaient pas accepté que ce soit le groupe Crit qui soit choisi le 9 janvier dernier alors qu'il apportait pourtant un projet créateur d'emplois.

FO appelle à la manif
Le syndicat Force ouvrière appelle tous les salariés rémois à venir manifester ce mercredi 16 avril (RDV à 10 heures devant la maison des syndicats) pour manifester leur opposition aux 41 ans de cotisation.
Pour Force ouvrière, « un tel allongement des cotisations d'ici 2012 pour bénéficier d'une retraite à taux plein, confirmé par le Premier ministre, est inacceptable. L'expérience du passage à 40 ans de cotisation a montré que ces mesures n'avaient pas pour effet d'augmenter le taux d'emploi des seniors ».
L'Union du 15 avril 2008

Reims

Budgets adoptés mais ça tousse sur les indemnités
L’opposition municipale (au second rang) a demandé pas mal d’explications.Dans une salle de conseil municipal archicomble, les élus ont examinéle budget primitif 2008. Adeline Hazan, comme promis, n’a pas augmentéla pression fiscale, mais les impôts augmenteront tout de même de 1,6%.
ELLE s’est bien gardée de parler d’héritage, mais ses conseillers ne s’en sont pas privés.Hier soir, présentant un budget de 427 M €, préparé par l’équipe précédente, marqué par «une situation financière préoccupante et sans marge de manœuvre», la maire Adeline Hazan a insisté pour dire qu’elle respectait sa parole. «Je ne touche pas aux taux des trois taxes locales. L’augmentation s’explique par l’Etat qui a augmenté les bases d’imposition de 1,6 %.»On a parléhéritageAu terme de la lecture fastidieuse des budgets primitifs par Hervé Toullec qui a insisté pour rappeler qu’«entre 2003 et 2007 la taxe d’habitation a augmenté de 28,24 %, la taxe foncière de 25,91 % et que l’endettement de la ville est l’un des plus forts de France», la parole a été donnée aux élus qui sont constitués en cinq groupes au sein du conseil (bonjour désormais la longueur des interventions!). Si Mme Wojnarowski (Verts) a dit que «le budget était tendu à cause de l’ancienne majorité qui n’avait pas de politique fiscale à long terme», Dominique Bunel (PS) a parlé d’un budget contraint. «On subit l’héritage.»M. Guillaudeau (PCF) a surtout laissé entendre que la communauté d’agglo devrait à l’avenir beaucoup plus participer à des dépenses qui, à son avis, lui reviennent (lire une prochaine édition).Jean-Marie Beaupuy a surtout demandé à ce qu’on ne touche pas à la vie associative rémoise. «Il ne faut pas casser un jouet qui marche bien.»«Du trompe l’œil»Qualifiant ce budget de «trompe l’œil» Mme Vautrin a rappelé à Mme le maire qu’elle aurait pu au moins diminuer les taux des impôts d’au moins 1,2 % puisqu’il y a une hausse de 1,2 % grâce au nombre de Rémois imposés en plus qu’en 2007. «Vous rendez la facture plus élevée pour les Rémois.»- Adeline Hazan: «c’était mettre la clef sous la porte.»L’élue divers droite a surtout dénoncé la baisse des crédits pour l’équipe de réussite éducative, pour le centre des congrès, la société protectrice de l’enfance, l’office de tourisme, les musées, les illuminations et la voirie: «Vous ne pensez pas aux quartiers.» Elle a demandé rapidement qu’un calendrier et une réunion des commerçants ait lieu à propos du tram.Elle s’est étonnée de la baisse des subventions dans le monde sportif, l’occasion pour Mme Michel de justifier ses choix (lire une prochaine édition). La maire a répondu sur tous les points. Notamment: «C’est Jean-Louis Schneiter en personne qui a proposé de réduire les subventions et les dépenses de fonctionnement de 3 %. L’augmentation du budget téléphone est causée par la vidéosurveillance, les crédits du CCAS n’ont pas augmenté depuis deux ans, l’office de tourisme a régulièrement 1 M € de placé, le projet de terrain de skate est abandonné à Courcelles, il pourrait voir le jour à Léo Lagrange. Dans le budget de Reims à toutes jambes il y avait des frais de cocktail et de réception très importants.»Le budget et les taux (inchangés) ont été adoptés, mais sans l’opposition qui s’est abstenue.
Alain Moyat

Les indemnités des élus
Après le vote du budget et le maintien des taux des trois taxes, Adeline Hazan a fait voter les indemnités aux élus. 3.726 € bruts pour la maire, 2.469 € pour les adjoints, 806 € pour les conseillers délégués et 214 € pour les conseillers. L’opposition n’a pas apprécié. «M. Guillaudeau parle de pouvoir d’achat, les salaires des employés municipaux augmentent de 2,2 % et vous augmentez les indemnités des adjoints de 36 % dans un contexte budgétaire tendu», ont déploré Mme Vautrin et M. Beaupuy.«J’ai demandé aux adjoints d’être à mi-temps», a répliqué la maire. «Il est normal qu’ils aient une compensation. En ce qui me concerne, vous auriez été à ma place vous auriez touché la même chose car vous seriez restés député(e) s. Moi je démissionne de mon mandat de député et vous savez par ailleurs que nos revenus sont écrêtés. Vous auriez touché comme moi.»M. Beaupuy: «Je tiens à dire qu’avant vous, les élus qui touchaient beaucoup moins travaillaient beaucoup plus qu’un mi-temps.»
A.M.

231,89 M €de budget de fonctionnement
Préparé par l’équipe de Jean-Louis Schneiter, le budget primitif 2008 a été rectifié par la nouvelle équipe conduite par Adeline Hazan. En voici les grandes lignes.Dans le détailRecettes.- D’un montant de 231, 89 M € (228,83 M € l’an passé), le budget de fonctionnement est constitué en recettes de 64,24 % de dotations de l’État (dotations globale de fonctionnement, dotation de solidarité urbaine, compensations fiscales (en baisse de 6,45 %); 43,20 M € proviennent d’un versement de Reims Métropole (- 0,68 %) et de produits divers de gestion pour 21,36 M €.L’essentiel de la recette provient des impôts locaux dont les bases ont été réévaluées de 1,6 % par l’État et dont l’assiette a augmenté (0,33 % pour la taxe foncière), foncier non bâti (10,98 %) et taxe d’habitation (+ 1,64 %).Sans avoir à augmenter la pression fiscale, c’est-à-dire les taux des trois taxes payées par les Rémois, le produit fiscal attendu pour 2008 est de 103,09 M € pour un total de recettes de fonctionnement de 231,89 M € contre 228, 82 l’an dernier.À noter que la taxe sur l’électricité, tant décriée par Michel Guillaudeau (PCF) avant l’élection, rapportera 2,45 M €.Dépenses.- La plus importante dépense de fonctionnement concerne le poste frais de personnel: 79,87 M € (en hausse de 2,25 %). Les dépenses pour participations, subventions et pour des manifestations s’établissent à 62,06 M € (-1,26 %) sachant que les subventions (50,21M €) augmentent de 0,55 %. Le remboursement de charges à Reims Métropole passe de 5,25 M € à 5,76 M €. Une somme de 15,55M € sert à rembourser la dette.
A.M.

195,02 M €de budget d’investissement
La section d’investissement du budget principal de la Ville s’équilibre en recettes et dépenses à la somme de 195,02 M € (+ 8,17 % par rapport à 2007). Elle tient compte des opérations lancées par l’ancienne municipalité, non terminées et celles qui démarrent comme le tramway. Hors emprunts revolvinget refinancement (55 M €),les dépenses s’élèvent à 140,02M €.Les principalesdépensesLes principales dépenses sont constituées par 28,19 M € de subvention d’équipement, dont 22 pour la ligne de tram; 71,18 M € pour des travaux et acquisitions de biens; 22,35 M € pour le renouvellement des biens et le gros entretien du patrimoine. Les investissements en cours représentent la somme de 34,39 M €. Ils concernent la reconstruction du Stade Delaune (10,66 M €); l’extension de la maison de quartier des Trois Piliers (2,60 M €); la fin de l’aménagement de la rue Buirette (2,30 M €); la reconstruction du groupe scolaire Ravel (3 M €); le gymnase Croix-Rouge (3,04 M €); la maison de quartier Wilson (1 M €); et la mise en conformité de la Comédie (1,23 M €).Une somme de 14,43 M € est dégagée pour les opérations nouvelles, dont 10,13 M € pour des acquisitions foncières (1,35 M € pour terminer de payer les places de parking de l’immeuble Carré royal (ex Printemps) et 4,5 M € pour acheter les locaux de Tissmétal).
L'Union 15 avril 2008

Reims
Hazan tient parole, mais les impôts augmenteront

C’est ce soir que la nouvelle équipe municipale présente le budget primitif 2008. Afin de tenir son pari en matière fiscale, Adeline Hazan a dû faire des coupes sombres. Malgré cela, les Rémois paieront au final 6 % d’impôts en plus. Photo : Les taux des impôts n'augmenteront pas, mais les bases qui les constituent, si.
«POUR parvenir à tenir l'engagement de campagne de la liste du Nouveau Reims que j'ai eu l'honneur de conduire, à savoir ne pas augmenter les taux des trois taxes locales, nous avons dû faire des coupes sombres. Nous y sommes parvenus. » À quelques heures de la première réunion importante du conseil municipal prévue ce soir à partir de 18 h 30 en mairie, Adeline Hazan n'est pas mécontente, même si elle sait que le plus dur reste à venir. « Sur la base du budget préparé par mon prédécesseur Jean-Louis Schneiter, les services m'ont dit qu'il convenait d'augmenter la pression fiscale de 1 %. J'ai dit que ce n'était pas possible. Alors nous avons dû faire des arbitrages sévères. Nous n'augmenterons pas la pression fiscale, d'autant que l'État a déjà augmenté de 1,6 % les bases d'imposition qui servent à calculer l'impôt. » Traduction : sur leur feuille d'impôt, à situation inchangée par rapport à 2007, les Rémois subiront une augmentation de 1,6 % de leur impôt communal. « Compte tenu de la situation financière, baisser les taux était franchement impossible sinon nous ne pourrions même pas faire fonctionner la ville » assure l'élue.

Des coupes sombres
Comme le préconisait notamment l'étude Klopfer qui avait dressé un audit sur la situation financière de la ville et montré que la dette avait augmenté de 20 % en trois ans avec une capacité d'endettement qui était passée de 4,9 à 7,2 années de 2003 à 2005, Adeline Hazan et son équipe ont décidé de réduire la voilure des investissements. « Le projet de réfection de la pelouse du Parc de Champagne de 560.000€ est abandonné, le projet de transfert des garages municipaux reporté (700.000€). Pour la Maison de l'étudiant, nous avons un autre projet, nous abandonnons le précédent (500.000€). Nous reportons aussi les travaux de réfection de l'escalier d'honneur du musée Saint-Rémi. Enfin, même si c'est dommage, nous ne ferons pas cette année le ravalement de la façade de l'hôtel de ville. Il y a d'autres priorités pour les Rémois. »

Plusieurs audits
Pas question de toucher au personnel municipal, même si en interne les nouveaux élus se demandent pourquoi le transfert d'une partie du personnel municipal vers Reims métropole, ne s'est finalement pas traduit, in fine, par une diminution sensible du personnel ville. « Nous allons rapidement demander un audit sur l'organisation des services municipaux » rappelle la maire. Considérant la somme colossale attribuée chaque année par la ville au monde associatif, Adeline Hazan entend aussi clarifier les choses. « Nous ne toucherons pas cette année à ce qui était prévu, mais nous voulons savoir le coût exact des services qui ont été délégués (NDR : petite enfance etc.) ». D'autres candidats ont avancé aussi l'idée lors de la campagne électorale pour financer des investissements ville. La maire de Reims n'exclut pas non plus cette solution. « Nous allons recenser le patrimoine de la ville, ce qui ne semble pas si simple, pour voir s'il est judicieux de garder tout. »
Alain Moyat

A l'ordre du jour
Dix sept questions inscrites à l'ordre du jour du conseil muncipal qui se réunira ce soir à 18 h 30 en mairie. Importante réunion s'il en est puisque Adeline Hazan, invitera ses collègues à voter le premier budget de sa mandature «à partir de documents budgétaires préparés en grande partie par l'équipe municiplae précédente»prévient la maire de Reims. Examen des budgets: principal et annexes (restaurant municipal, usines relais, baux commerciaux, aérodrome, boucle locale de télécommunications, labo municipal). Fixation des taux d'imposition. Révision d'autorisation de programme. INdemnités de fonctions de la maire, des adjoints et conseillers municipaux. Adoption d'un réglement intérieur au conseil. Groupes d'élus décalrés. Représentation de la ville à l'extérieur. Convention de partenariat pour l'expo «la terre vue du ciel». Avenant pour l'extension des vestiaires à la piscine Château d'eau. Marchés publics: lancement des procédures formalisées. Délégations du conseil à Mme la maire.
L'Union du 14 avril 2008

Reims
L'A4 coupe la ville en deux : atout ou handicap ?
Le problème de l'autoroute est en fait celui de son franchissement. Si les voitures sont bien loties à cet égard, il n'en va pas forcément de même pour les piétons
« L'AUTOROUTE qui vous amène en pleine ville, je trouve ça génial ! Je suis souvent passé par Reims, et en voyant toutes ces sorties qui desservent la ville, Reims centre, Reims cathédrale, Reims Saint-Remi, je me disais qu'un jour, il faudrait que je m'arrête pour visiter. » Cette vision de l'A4 que nous a confiée un automobiliste est peut-être partagée par nombre d'entre eux. Mais a-t-on la même quand on habite sur place ?
Serge Pugeault, deuxième adjoint chargé notamment des grands projets, et natif de la ville, a une perception un peu moins positive : « Cette grande artère conçue pour la voiture, c'était sans doute très utile à l'époque de Pierre Taittinger, mais il faut reconnaître que depuis, la ville est coupée : l'autoroute, avec en plus le canal et la Vesle, entraîne une vraie rupture physique. »
L'élu n'est pas loin de considérer que la coupure physique est doublée d'une coupure sociale ou sociologique, avec d'un côté les plus beaux quartiers, de l'autre les quartiers plus populaires?
Une vision qui n'est toutefois pas partagée par Pierre Tridon, qui dirige l'agence d'urbanisme : « Bien sûr que cette autoroute crée une césure, mais on peut dire également ça de la voie ferrée, par exemple, entre Reims et Bétheny. Par ailleurs, il ne faut pas oublier que cette autoroute urbaine, avec toutes ses sorties, joue aussi un rôle positif de desserte interne ; pour aller d'un quartier à l'autre, il est souvent très pratique de passer par elle. «
Deux mondes
Le directeur de l'agence n'est pas non plus convaincu de l'existence de deux villes socialement différentes de part et d'autre de l'A4 : « Il y a le cas particulier du centre-ville. Il n'existe que d'un seul côté, c'est un peu normal dans la mesure où il est unique. En revanche, l'habitat de faubourg, vous le retrouvez des deux côtés : à Sainte-Anne et à Clairmarais par exemple ; de même pour l'habitat social, même s'il est exact qu'il est plus présent au sud avec Wilson, Croix-Rouge, Châtillons? mais de l'autre côté vous avez aussi Orgeval. »
Cette séparation entre deux mondes ne semble guère davantage perçue par les professionnels de l'immobilier : pour ceux que nous avons interrogés, que l'on se situe d'un ...

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L'Union du 12 avril 2008

Reims
Serge Pugeault : « Il faudra recoudre la ville »
Serge Pugeault est séduit par l'exemple lyonnais, où les berges sont redevenues des promenades.
Le problème de la coupure générée par l'A4 au sein de la ville changera sensiblement avec la réalisation prévue pour 2011 du contournement sud de Reims. À partir de ce moment-là, l'autoroute dans sa partie urbaine, délestée de son trafic de transit, devrait sensiblement changer de nature et de fonction. Et sans doute de propriétaire. Qui succédera alors à l'État ? L'état lui-même, le Département, la Ville ?
« Pour le moment, ça ne se bouscule pas au portillon, indique le directeur de l'agence d'urbanisme Pierre Tridon, ne serait-ce qu'en raison des implications financières assez considérables. Par exemple, à long terme pourrait se poser un problème de stabilité de la chaussée ; ainsi qu'un problème lié aux risques de pollution par déversement de produits, et sur ce plan-là, ce n'est pas vraiment sécurisé ». Pas très engageant pour le futur propriétaire et donc responsable?
Pour l'instant, on ne sait rien de l'identité de celui-ci. Mais cela n'empêche nullement M. Pugeault, en tant qu'adjoint chargé des grands projets et de la prospective, de réfléchir sur le sujet : « Récupérer l'A4 devrait être très intéressant pour recoudre la ville, estime-t-il, et à partir de là, on peut tout imaginer. ». Il ne cache pas qu'il a été séduit par l'exemple lyonnais de reconquête des berges du Rhône et de la Saône, livrées aux automobiles il y a une quinzaine d'années, et rendues à présent aux piétons et aux circulations douces sous forme de promenades, agrémentées de péniches transformées en restaurants. « A Reims aussi, les berges du canal et de la Vesle sont à reconquérir. Pourquoi ne pas imaginer des restaurants au bord de l'eau, des sites protégés pour les bus sur la chaussée, des pistes pour vélos et rollers ? »
Mais pour l'heure, rien n'est arrêté. Avant de prendre ses décisions, la municipalité attendra les résultats du concours d'urbanisme qu'elle entend lancer à la rentrée, destiné à dessiner le visage de la ville à l'échéance d'une vingtaine d'années (l'union de jeudi). Le résultat de ce concours ne sera pas connu avant un an. D'ici-là, on peut seulement rêver?
L'Union du 12 avril 2008

Reims
L'A4 est-elle un obstacle au sein de la ville ?
Laurence Martin, 28 ans, salariée (Bocquaine) :
Ce qu'ils en pensent« Non. J'habite à Léo-Lagrange, non loin de l'autoroute et je n'ai pas de difficultés pour changer de bord en traversant le pont Charles-de-Gaulle. Les bretelles pour aller en centre ville sont commodes, mais il ne faut pas les rater, surtout quand on est Rémois depuis peu de temps ! »« Pour aller à mon travail, j'utilise chaque jour le bus de la ligne H par le pont De-Gaulle. En tant que piéton, ce n'est pas très pratique pour traverser cette autoroute : il y a beaucoup de circulation et, pour les promenades sur les berges ce n'est pas l'idéal. Oui, l'A.4 coupe vraiment la ville en deux. »« Je passe souvent en voiture sur les ponts de Venise, de Vesle, De-Gaulle et la bretelle centre ville. Pour moi, il y a assez de points de franchissement de l'autoroute. Entre deux ponts, la moyenne est de 700 mètres, c'est peu, comparativement à d'autres villes traversées par des rivières. »« Non, les ponts sont assez nombreux. Le point noir est celui de la circulation pour les cyclistes : c'est très dangereux. Ça coince vers le commissariat, surtout pendant les périodes festives, pour se rendre dans les parkings du centre. Je ne crois pas qu'une nouvelle autoroute changera grand chose. »« Je suis au courant du futur détournement de l'A4 vers la ligne TGV. En l'état actuel, l'autoroute est très praticable, sauf aux heures de pointe. Les grands axes de passage sont suffisants, mais ça manque de pistes cyclables sécurisées. Comme à Paris, il faudrait rétrécir les chaussées. »
L'Union du 12 avril 2008

Reims
Le radar haut perché du Rouillat mis en service
Installé à 5 mètres de hauteur pour échapper aux vandales, le nouveau radar du Rouillat flashe depuis hier 13 heures.
Finie la période de réglage ! Installé cet hiver à cinq mètres de hauteur (l'union du 15 février), le nouveau radar de la voie du Rouillat ou avenue de Champagne flashe pour de bon depuis hier 13 heures.
Des techniciens d'une société privée ont procédé aux dernières vérifications avant la mise en service effective de l'appareil.
La décision de l'installer à cinq mètres au-dessus du sol a été prise pour en finir avec les destructions à répétition subies par ses prédécesseurs. Le premier exemplaire implanté au printemps 2005 sur le terre-plein central de l'avenue limitée à 70 km/h fut pris en grippe dès le début par les vandales du secteur. Il subissait un premier coup de chaud en août 2006 avec un début d'incendie qui avait noirci la partie supérieure de la cabine.
Dans la soirée du 2 avril 2007, les vandales utilisèrent un moyen radical pour le détruire : un pneu déposé contre l'appareil puis aspergé d'essence et incendié.
Il fut remplacé quelques semaines plus tard par un radar flambant neuf (c'est le cas de le dire). Las ! Dès le 8 mai, il capitulait à son tour sous l'effet d'un pneu là aussi enflammé avec de l'essence.
Il était 20 h 30, la nuit n'était pas encore tombée. Un témoin a vu des individus traverser l'avenue et s'enfuir vers le quartier Alexandre-de-Serbie, mais l'enquête de police n'a jamais permis de les identifier.
A 80.000 ? l'appareil, la facture s'élevait déjà à 160.000 ?, d'où une réflexion engagée par les services de l'Etat : fallait-il réimplanter le radar au même endroit - au risque de le voir flamber une troisième fois - ou l'installer ailleurs sur l'avenue de Champagne, à un endroit plus difficile d'accès ?
La solution retenue fut finalement l'élévation dans les airs. Le mât n'est pas implanté sur le terre-plein central mais sur le côté droit de l'avenue (sens Reims/Epernay), 200 mètres plus loin que le précédent emplacement, juste après l'échangeur des Châtillons.
Automobilistes, attention ! Il prend les vitesses par éloignement.
L'Union 11 avril 2008

Reims
Développement : « Reims doit bouillonner ! »
L'un des objectifs essentiels de Serge Pugeault, deuxième adjoint,
est la création de richesses et d?emplois. Cela passe par une meilleure collaboration des différents acteurs.
Deuxième adjoint de la nouvelle municipalité, Serge Pugeault dispose d'un épais « portefeuille » de champs d'action : développement économique, enseignement supérieur, grands projets et prospective.
Il répond à nos questions :
Quels sont vos objectifs prioritaires ?
En matière de développement économique, c'est la création de richesses et d'emplois. Or dans ce domaine, il y a beaucoup d'intervenants différents, Ville de Reims, chambre de commerce, etc., qui font certes du bon travail, mais de façon trop isolée ; mon souci sera celui de la transversalité entre ces acteurs.
Comptez-vous sur les entreprises privées pour créer ces richesses et emplois ?
Bien sûr ! Cela peut sembler paradoxal dans une équipe de gauche, mais une municipalité ne crée pas directement les emplois ; elle peut les encourager, mais les initiatives reviennent aux entreprises privées.
Vous avez des pistes ?
Par exemple, créer une pépinière de jeunes entreprises universitaires. Cela dit, à côté des initiatives locales, une autre façon de créer du développement économique consiste à faire venir des gens de l'extérieur. Exemple : Ikéa, qui doit installer un magasin à Thillois, veut aussi construire une fabrique de meubles au niveau de l'Europe. C'est un projet de 2.000 emplois ! Jusqu'à présent, seules trois villes en France étaient candidates pour l'accueillir. Eh bien, Reims va aussi se porter candidate ! Je ne dis pas que nous aurons cette usine, mais cela peut constituer un projet fédérateur, et capable de donner confiance à la ville.
J'ajoute que, pour penser le développement aujourd'hui, les frontières de la ville et même de l'agglomération sont trop étriquées.
Ce qui veut dire que vous allez vous tourner vers des communes voisines ?
Nous allons essayer de nouer des partenariats avec nos voisines, parce que nous avons besoin d'espace.
Concernant les grands projets, vous démarrez par quoi ?
Nous n'en manquons pas : grand....
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L'Union du 10 avril 2008

Reims
Le quartier Saint-Thomas va s'embellir
Exit l'usine désaffectée, qui cédera la place à un parking de proximité.
Il faudra le voir pour le croire. Ignorée, balayée par les bus qui la cachent, dérangée par des voitures qui s'engouffrent dans la rue Vaillant-Couturier sans même ralentir, longée par une usine désaffectée à l'architecture soviétisante, l'église Saint-Thomas n'est plus à son avantage depuis longtemps. Elle va le redevenir.
Un parvis pour l'église
Quitte à subir les travaux du tram, autant en tirer profit.
Exit l'arrêt de bus, exit la rue qui passe devant l'entrée, plus aucune voiture ne pourra foncer à cet endroit car le sens de circulation de Vaillant-Couturier sera inversé.
Les voitures s'évacueront sur la gauche de l'édifice.
À la place de ce trafic, l'église va hériter d'un parvis de son portail à l'avenue. Ce qui va doubler la surface piétonne devant l'édifice.
Ce qui va surtout complètement changer la perspective sur le monument. Il sera enfin à nouveau mis en valeur.
Causette sur les bancs
Chaque lundi, le petit parking à sa droite accueillera le marché qui s'installe actuellement, comme il peut, sur les trottoirs. De quoi redonner un air de village au secteur. D'autant que les clients chargés de légumes pourront faire une pause sur l'un des bancs de pierre qui meubleront le parvis.
Des bancs sans dossier, un peu froids au toucher mais des bancs tout de même.
La verdure va aussi gagner du terrain. Il y aura de nouveaux pavés de gazon et des arbres supplémentaires à la place du macadam à la droite de l'église.
Le jardin et le square seront préservés, les arbres du petit parking échapperont à la tronçonneuse.
Des arbres, il y en aura aussi des nouveaux sur le futur parking installé à la place de l'ancienne usine Fossier qui sera rasée.
Sur ce parking de 80 places, il est prévu de planter un feuillu pour six voitures.
En plus d'offrir du stationnement, la disparition de l'usine va aérer et éclairer le quartier. Inconvénient possible : il pourrait y avoir davantage de va-et-vient automobiles dans la rue Perrin.
Le curé et son équipe vont se réjouir d'avoir un beau parvis mais l'accès à leur presbytère sera-t-il toujours possible. « L'allée qui y conduit a été expropriée pour les besoins du futur parking, on se demande si on pourra toujours se stationner devant chez nous ».
Pas de souci, répond-on à Mars chargé de concevoir la ligne de tramway : « Cette allée n'a pas vraiment été expropriée car nous l'avons achetée à l'amiable. Quoi qu'il en soit il n'y aura pas de changement pour les usagers du presbytère sauf qu'ils accéderont chez eux en passant par le nouveau parking et pourront se garer comme aujourd'hui ».
Ils ne devraient pas avoir besoin de le voir pour le croire.
C.F.
L'Union du 10 avril 2008

Reims
A Paul-Fort, les filles auront leur section football
Les premières filles qui pourront pratiquer le foot.
En partenariat avec le District Marne de football, le collège Paul-Fort de Reims ouvrira une section sportive féminine pour les élèves de 4e et 3e, à compter de la rentrée scolaire 2008.
« Il s'agit d'offrir la possibilité aux meilleures joueuses de 13/14 ans d'atteindre le niveau national en s'entraînant mieux et plus souvent (2 fois par semaine + 1 fois en club) », explique le principal, M. Valentin.
Les entraînements auront lieu deux fois par semaine sur le terrain synthétique Marcel-Thil, sous la conduite d'un éducateur diplômé, titulaire du brevet d'État 1 ; en plus de l'entraînement en club.
Des moyens seront mis en oeuvre : rencontres avec les parents et l'éducateur de la joueuse au cours de la saison ; respect de l'alternance EPS/entraînement football ; fiche de suivi de la joueuse ; suivi scolaire et médical assurés ; attention particulière à la réussite scolaire ; chaque jeune fille restera licenciée dans le club de son choix ; régime externe ou demi-pension au choix ; tests d'aptitude à l'entrée (dossier d'inscription à retirer au collège ou à imprimer sur le site du collège) ; nécessité d'être scolarisée en 5e ou 4e dans un collège public ou privé du bassin de Reims, d'être licenciée dans un club affilié au District Marne de football si le dossier est retenu ; consultation du dossier scolaire ; visite médicale d'aptitude effectuée au centre médico-sportif de Reims par un médecin du sport avant la rentrée.

Renseignements : http:// xxi.ac-reims.fr/clg-paul-fort
L'Union 10 avril 2008

Reims
Préavis de grève à l’institut Godinot
« Afin de demander une amélioration de leur pouvoir d’achat » qui aurait diminué de 10 % en dix ans, un préavis de grève a été déposé pour le lundi 14 avril à l’institut Godinot de Reims« Nous suivons en même temps un mouvement engagé par vingt centres de lutte contre le cancer répartis sur le territoire national » explique Jacky Dumay, délégué syndical CGT.Le même qui précise qu’à l’annonce de ce mouvement national de grève, la direction rémoise aurait proposé le versement d’une prime exceptionnelle de 200€ pour les bons résultats de 2007. « D’ici lundi, nous allons faire une consultation interne pour savoir ce que pense le personnel d’une telle mesure » ajoute Jacky Dumay.
L'Union du 9 avril 2008
Alain Moyat

Reims
LA cathédrale rémoise va sur ses 800 ans. La date retenue pour célébrer officiellement ce bel anniversaire est déjà fixée au 6 mai 2011. L'heure n'est pas encore au débat sur la pertinence de ce choix. En revanche, dès à présent, on commence à préparer le terrain en vue de l'événement, et en particulier du côté de la Drac (direction régionale de l'action culturelle). Celle-ci organise en effet, le mardi 29 avril, dans ses murs, à Châlons, un colloque précisément sur ce thème « la cathédrale de Reims : vers le 8e centenaire ».
Divers spécialistes se pencheront à cette occasion sur le bijou gothique rémois, et s'intéresseront plus particulièrement à ses restaurations, passées, présentes et à venir. Ces restaurations ne datent en effet pas d'aujourd'hui, ni même d'hier : dès le XVIIe siècle on en entreprend sur plusieurs sculptures de la façade, victimes de la pluie et des infiltrations d'eau. Un grand tournant sera marqué par la Première Guerre mondiale : depuis les destructions provoquées par celle-ci, les restaurations ne feront que se succéder jusqu'à nos jours…
Parmi les participants à ce colloque, on notera la présence de l'architecte en chef de la cathédrale, Lionel Dubois, de l'archéologue spécialisé dans le site de Reims François Berthelot, ou encore de l'historien Yann Harlaut, auteur d'une thèse sur la Reconstruction, l'ensemble des prises de parole étant animé par le conservateur régional des monuments historiques, Frédéric Murienne.
L'association des amis de la cathédrale sera ...Lire la suite
L'Union du 9 avril 2008

Reims
DH 15 ans Saint Anne Reims 2007-2008

Football : les 15 ans DH sont 2es derrière Troyes
Parmi les 15 ans DH de Sainte-Anne, 6 font Sport-études à Colbert.
Chez les 15 ans DH de Sainte-Anne, on peut côtoyer des joueurs venant d'horizons différents : Reims, Mourmelon, Châlons-en-Champagne.
La plupart sont nés en 1992.
« Nous avons 22 éléments au total. Ceux-ci ont déjà disputé 17 matches, d'où 14 victoires, 2 nuls et une défaite.
Ce qui nous classe 2e, derrière Troyes. Nous avons un point et un match de retard sur eux », explique l'entraîneur Frédéric Izeda.
« Des garçons faciles à gérer »
L'objectif est d'accéder au championnat supérieur : les 16 ans nationaux. Tout en gardant la quasi-totalité de l'effectif qui sera étoffé par 4 ou 5 nouveaux. « Ils évoluent dans un championnat dur, mais passionnant. C'est un âge où ils commencent à avoir un peu de maturité, ils ne se font pas de cadeau », souligne Christophe Lestrade, dirigeant sportif.
« Nous avons la chance d'avoir des garçons qui sont dans un groupe sain ; ils vivent bien ensemble, et cela permet d'enregistrer de bons résultats. Même dominés, ils ne s'énervent jamais. Ils sont très faciles à gérer. » Parmi eux, 6 font sports études au lycée Colbert.
L'Union du 9 avril 2008

Reims
Mélange de genres à la Cartonnerie
Ambiance rock avec Luke.
En l'espace de deux soirées, la Cartonnerie a visité deux mondes très différents. Vendredi soir, ce sont les quatre garçons du groupe de rock Luke (300.000 albums vendus) qui pendant plus de deux heures ont présenté leur dernier opus (Les enfants de Saturne), devant 850 fans dont les premiers étaient arrivés près de deux heures avant l'ouverture.
Samedi soir, place au très particulier Punish Yourself un mélange de hardcore, techno, punk le tout avec des tenues exubérantes et des corps couverts de peinture fluo.
Le groupe était la tête d'affiche d'une soirée « apocalyptique » dans une salle cabaret dela Cartonnerie pleine à craquer avec 400 fans. A signaler parmi les artistes présents lors de cette nuit organisée par l'association Pandemonium, les Rémois K-Bereit, incontournable de la scène életronic, qui avait déjà eu l'occasion de s'exprimer sur cette scène de la Cartonnerie il y a deux ans.
L'Union du 8 avril 2008

Reims
Culture : l'adjointe veut une « vision d'ensemble »
Sarah Ouaja-Ok: « Désenclaver la Fête de la musique, et mieux communiquer sur les Flâneries. »
Tout juste après la naissance de sa deuxième fille, Sarah Ouaja-Ok a pris possession à la mairie du bureau de Mario Rossi, dont elle a aussi repris la « casquette ».
Cette jeune femme de 31 ans, qui a grandi dans le Gers, formée en sociologie et anthropologie, est en effet l'adjointe à la culture de la nouvelle équipe municipale. Elle répond à nos questions :
Quelle est votre approche de la culture ?
Une approche classique de la gauche : la culture est un bien commun, un service public, c'est quelque chose que l'on partage entre tous, elle n'est pas réservée à l'espace privé. Par ailleurs j'appréhende ma fonction politique dans le domaine de la culture en la basant sur la confiance dans la création et dans les artistes, le rôle du politique consistant simplement à faciliter cette création, notamment en dégageant des moyens financiers, sans ingérence sur le contenu.
Éviter la cacophonie
Et pour ce qui concerne plus particulièrement Reims ?
A mon avis, l'action culturelle y manquerait d'une vision d'ensemble. La culture doit se penser dans sa globalité, et non pas se résumer à une distribution de fonds par-ci par-là. Cet éparpillement ne peut entraîner à terme qu'un essoufflement des manifestations. Au contraire, avec une vision d'ensemble, on peut espérer générer une dynamique d'attractivité pour la ville, à l'image d'autres villes comme Nantes.
Les Flâneries musicales ne vont-elles pas déjà dans ce sens ?
Concernant les Flâneries, l'idée me semble bonne, mais on peut....
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Reims
Adeline Hazan soutient le peuple tibétain
L'écran a été installé dans le hall de l'hôtel de ville.
Après avoir manifesté samedi pour répondre à l'appel de Réseau d'éducation sans frontière contre les expulsions (l'union dimanche), la socialiste Adeline Hazan, nouvelle maire de Reims, a tenu à réagir à sa façon à l'occasion du passage en France de la flamme des Jeux olympiques de Pékin.
Un grand écran sur lequel figurent les couleurs du Tibet et l'inscription : « Reims se mobilise pour les droits de l'Homme en Chine » a été installé dans le hall de l'hôtel de ville. « Je veux exprimer, au nom de la ville de Reims et en mon nom, ma solidarité avec le peuple tibétain dans son combat pour les libertés » explique la maire de Reims.
« Pendant la période qui s'écoulera jusqu'aux Jeux olympiques de Pékin, Reims agira pour dénoncer les atteintes aux droits de l'Homme en Chine et pour contribuer à la reconnaissance de l'identité culturelle, religieuse et politique au Tibet. »
Par ailleurs l'élue rencontrera les associations rémoises de défense des droits de l'Homme et les représentants du monde sportif.
L'Union du 8 avril 2008
Alain Moyat

Reims
Boulingrin : l'Amic'halles repart au charbon

Les élections municipales ont rendu leur verdict. Pierre Longuet, président de l?Amic?halles, reprend son bâton de pèlerin pour faire avancer le dossier des halles Boulingrin
Pierre Longuet, président de l'Amic'halles : « Les finances de la Ville et de l'Etat ne nous rassurent pas pour l'avenir des halles ClasséES depuis 1990 pour ses voûtes en mince voile de béton par le ministre socialiste Jack Lang, les halles Boulingrin fermées, n'en finissent pas de se déliter. Jean Falala a voulu y faire un centre des congrès, l'équipe de Jean-Louis Schneiter pensait y transférer le musée des Beaux-arts. Le site ne devant être ni chauffé, ni climatisé, l'idée a été abandonnée et le principe de refaire à nouveau de ce blockhaus délabré un marché couvert est revenu d'actualité.
Des ministres sont passés : Jean-Jacques Aillagon puis Renaud Donnadieu de Vabres.
Des engagements de cofinancement ont été pris, des études ont été lancées. Et toujours pas de travaux.
C'est dans ce contexte que la nouvelle municipalité conduite par la socialiste Adeline Hazan va devoir reprendre le dossier (lire aussi par ailleurs).
Soucieux de « faire avancer un dossier qui stagne un peu trop longtemps au goût de tous les Rémois », Pierre Longuet, président de l'Amic'halles entend secouer le cocotier. Il s'en explique.
« Il faut que ça avance »
« Adeline Hazan est devenue maire. Nous allons être attentifs à ce qu'elle va nous dire sur les halles. On a mené des actions cinq à six ans pour que les halles redeviennent un marché couvert et on a réussi. Reste à faire avancer ce dossier beaucoup plus vite. On est prêt à jouer le jeu avec la mairie pour l'appuyer dans ses démarches, mais vite. » Considérant pourtant l'état et des caisses de la Ville et de celles de la Nation, le président Longuet se garde surtout d'être optimiste.
« J'ai demandé à mes troupes : elles souhaitent qu'il y ait un marché permanent sous les halles. » Le nouveau Reims a promis une concertation permanente avec la population.
Le président de l'Amic'halles dit : « chiche. Nous voulons participer à 100 % au développement de tout le quartier. Je suis déjà extrêmement étonné d'apprendre par l'union qu'un projet de sculptures est prévu sous les halles. Si on met quelque chose au milieu des halles, on n'est pas prêt d'avoir des travaux. »
De pire en pire« Les riverains et les clients du marché du samedi s'en sont rendus compte, l'état des halles empire de jour en jour. Le secteur n'est que saleté. Pourtant, le site a un gros potentiel aussi pour devenir un haut lieu culturel, nous l'avons montré par nos expos » poursuit Pierre Longuet. « Nous souhaitons que le quartier devienne un haut lieu de commerce et de culture et soutiendrons tous les projets dans ce sens. »
En décembre, Armelle Blary, pour l'Amic'halles, avait collecté sur des papiers roses les v?ux des Rémois posés ensuite sur les grilles des halles.
En mars, une candidate rose s'est installée en mairie. Combien de temps durera l'harmonie ?

Alain Moyat

Réunion de l'Amic'halles ce soir à 19 heures au Palais d'Asie, rue du Temple.
L'Union du 7 avril 2008

Reims
Château d'eau : une piscine bientôt « plaquée inox »
Entamés en juin 2007, les travaux de la piscine du Château d'eau à Croix-Rouge doivent se terminer en septembre 2008. Ces travaux de construction et de réhabilitation ont été décidés conjointement par la ville et par la régie des équipements municipaux et sportifs.
Côté ville, il est prévu l'extension des vestiaires, leur mise aux normes et la rénovation de la façade. « Le clos couvert est achevé », indique Jeanne Campeotto, chef du service réhabilitation du patrimoine. « L'extension est achevée et la construction est fermée. » Les murs des vestiaires existants ont été démolis et tous les aménagements intérieurs ont débuté. De même, la rénovation de la façade est en cours. Coût total de l'opération coté ville : 1.950.000 euros TTC (dont 1.685.000 euros pour les travaux).
Côté Rems, on s'occupera de tout ce qui touche au bassin et aux plages alentours. Il a été choisi de créer une piscine qui évacuera ses eaux « par débordement » et non « par le fond » comme c'est le cas actuellement. Pour ce faire, c'est une cuve en inox qui va être installée avec débordement intégré. Un système « meilleur pour l'hygiène » qui intégrera aussi un système d'éclairage, des buses de massage, ainsi qu'un système de nage à contre-courant. Les travaux de préparation du bassin sont actuellement en cours. La livraison des plaques en inox est prévue dès le 15 avril. Désormais, la couleur du bassin sera dans les tons gris clair. Coût total des travaux pour la Rems : 600.000 euros pour le bassin et les...Lire la suite
L'Union du 7 avril 2008

Reims Le nouvel élu voudrait davantage de bancs

Raymond Joannesse déplore de voir les personnes âgées rester debout.
La gestion du mobilier urbain dans la nouvelle équipe municipale revient au Vert Raymond Joannesse. Il n'entend pas tout révolutionner, mais veut écouter les préoccupations des Rémois.
Allez-vous ajouter des bancs ?
Je sais qu'il en manque et que certaines personnes âgées se baladent en suivant l'itinéraire des bus pour pouvoir faire des pauses. Ce n'est pas acceptable.
Toutefois, je ne peux prendre seul la décision d'en ajouter. S'il y en a peu, c'est pour préserver les terrasses des cafés et empêcher les SDF de s'y installer. Pour moi, ce sont de mauvaises raisons qui ne règlent pas le problème des attroupements.
Comment lutter contre
leur dégradation constante ?
Sur les 2.180 bancs existants, la Ville en rénove plus d'une centaine par an et remplace progressivement le bois par le métal, plus résistant.
J'ajoute que trente bancs en plastique recyclable vont être installés le long des berges du canal dans le cadre de la coulée verte.
Allez-vous choisir le mobilier comme le faisait l'équipe précédente ?
Je n'ai aucune raison de remettre en cause la charte existante puisqu'elle a le mérite d'instaurer une harmonie dans la ville.
L'Union 5 avril 2008

Reims
La première pierre du tram
est pleine de bourgeons
l y aura 2.042 arbres sur le tracé du tramway.
D'HABITUDE, on pose une première pierre. Pour le tram, ils ont planté un premier arbre. C'était, hier matin, avenue de Laon, dans le petit square de l'église Saint-Thomas.
Un pommier à fleurs qu'ils ont planté à trois. Il y avait la maire bien sûr, le président de Mars, concepteur du tramway, et surtout Jean-Louis Schneiter, encore président de la communauté d'agglomération jusqu'à mardi prochain.
C'est à ce dernier que cette « première pierre » a forcément fait le plus plaisir. « C'est son bébé, c'est normal », confiait Adeline Hazan en privé après avoir assuré en public à son prédécesseur qu'il serait bien aux premières loges au moment de l'inauguration dans un peu moins de trois ans.
En plantant cet arbre, ceux qui vont construire la ligne ont aussi voulu montrer aux Rémois qu'ils ne perdront rien en végétation avec le tramway.
Les riverains de l'avenue de Laon auront du mal à les croire, eux qui assistent depuis le début de la semaine au « déplumage » végétal de leur environnement.
Chaque jour, de nouveaux marronniers tombent sous les dents des tronçonneuses. Chaque jour, l'avenue perd son charme et parait un peu plus grise. Mauvais moment à passer.
« Réaliser un tramway, s'est félicité la maire, ce n'est pas seulement mettre à disposition un moyen de transport écologique, c'est aussi une occasion de rénover, de redynamiser les quartiers par lequel il passera. » Et aussi de reboiser. « 2.402 arbres accompagneront le tracé sur 11,5 km 1.682 seront des plantations nouvelles, 720 arbres seront conservés », a précisé Mars.
La société et la communauté d'agglomération ont fait le choix de la biodiversité : « Une trentaine de variétés a été sélectionnée. Certaines pour la beauté de leur floraison (pommiers, cerisiers, poiriers), d'autres pour leur silhouette (tilleuls, érables). »
Pour supporter les mois de travaux à venir, il faudra garder à l'esprit ce jeune pommier, symbole de ce que devra être le tram, c'est-à-dire un plus pour la ville et ses habitants. Sinon il n'aura pas de raison d'être.
L'Union 5 avril 2008

Reims
Eric Quénard, 1er adjoint « pour changer les choses »
Eric Quénard, 36 ans, premier adjoint d'Adeline Hazan.
«LE TGV à côté, c'est de la rigolade! Il faut gérer et surtout hiérarchiser les urgences qui sont nombreuses, répondre aux citoyens qui écrivent, saluer, rencontrer, visiter les services dont on a la responsabilité, prendre connaissance des dossiers. »
Tout nouveau premier adjoint à la maire Adeline Hazan, Eric Quénard a choisi d'occuper le bureau qu'avait auparavant Roger Vache. « Parce que Mme le maire veut constituer un vrai cabinet à ses côtés et parce que ce bureau est le plus près du sien. Je dispose aussi à côté d'une grande salle de réunion. »
Eric Quénard jette un coup d'œil sur les bannettes et les documents à parapher. « Ça va vite. Les corbeilles sont remplies deux fois par jour, on a à peine le temps de voir les trucs de la veille que ça revient. C'est un rythme à prendre. »
Premier adjoint, quelles sont vos délégations?
Eric Quénard : Je m'occupe de la délégation générale à la vie urbaine qui gère la police municipale, la vidéo-surveillance, les correspondants de quartier. Avec le développement urbain et la direction de l'urbanisme, je m'occupe plus particulièrement de l'habitat, la politique du logement, du renouvellement urbain. Avec la direction de la cohésion sociale et de la vie des quartiers, je m'intéresse surtout au contrat urbain de cohésion sociale, au suivi des maisons de quartier, de la petite enfance, de la discrimination et de la démocratie locale.
Répondre aux demandes
Quelles sont vos priorités?
D'abord mieux connaître le fonctionnement de la maison ville. Ensuite, pour toutes les demandes qui me sont faites, adresser dans un délai maximum de 48 heures un accusé de réception à mes interlocuteurs.
Planifier les nombreuses demandes de rendez-vous. Vous savez nous n'avons pris place dans nos bureaux qu'à la fin mars et on a dû nous réinstaller l'informatique. On a eu le choix entre un fixe et un portable.
J'ai fait de la politique de façon à pouvoir agir sur le cours des choses. Dans l'opposition, on reste souvent insatisfait, même si c'est plus facile de dire qu'on est contre. Là, à partir d'aujourd'hui, la gauche rémoise est comptable devant les Rémois de ses choix politiques.
Urgence logement
Notre souci est de régler trois problèmes souvent liés : l'emploi, le logement et les quartiers. On a demandé un délai de deux mois pour réexaminer le type de logements à reconstruire dans le cadre du développement urbain. Ce n'est pas neutre en terme de loyers et de charges. Il faut que plus de 70% des gens puissent être relogés sur place. Pour des raisons de mixité sociale.
Il faut établir de nouvelles relations avec les organismes logeurs pour régler les problèmes de charges locatives. On ne veut rien inventer mais s'inspirer de ce qui marche ailleurs.
Pour les quartiers, la ville entend en modifier la périphérie et le nombre d'ici le troisième trimestre, pour être en prise avec le territoire.

Le plus jeune premier adjoint

Né le 26 juin 1972 à Reims, Eric Quénard est du signe du cancer. Après avoir fréquenté l'école Carteret, il poursuit ses études en Mayenne puis dans la Sarthe où est muté son père. Retour à Reims où il passe le bac à Clemenceau avant de suivre des études en fac de droit à Croix-Rouge où il obtient un DEA de droit public et de sciences politiques.
Entré au Parti socialiste en 1992 « pour agir concrètement », Eric Quénard se lie d'amitié au MJS avec le jeune rocardien Benoît Hamon.
En 1997, il devient assistant parlementaire de l'Ardennais Philippe Vuilque jusqu'en 1999. L'occasion de découvrir la Vallée de la Meuse.
En 1999, Adeline Hazan, devenue députée européenne, lui demande de venir travailler avec elle.
En mars 2001, il devient conseiller général du 5e canton Reims-Bezannes où il a été réélu en mars dernier avec 72,70 % des suffrages.
En novembre 2005, il entre au conseil municipal pour remplacer Marie-Thérèse Noël.
Depuis le 22 mars, Eric Quénard est premier adjoint, « le plus jeune des villes de plus de 100.000 habitants. »
L'Union du 4 avril 2008

Reims
Une femme dans la patrouille de France
Une femme pilote de chasse intègrera la Patrouille de France, pour la première fois dans l'histoire de cette prestigieuse formation acrobatique, pour sa saison de meetings aériens 2009-2010, a indiqué mardi l'Armée de l'Air, interrogée par l'AFP.
Le capitaine Virginie Guyot, pilote de combat confirmé et chef de patrouille, sera « charognard », autrement dit en deuxième position derrière le leader, la première année, avant de devenir à son tour leader en 2010, a-t-on précisé de même source.
Elle rejoindra la Patrouille de France en octobre ou novembre prochain pour préparer ces deux saisons.
Le capitaine Guyot, de la base aérienne de Reims, vole actuellement sur Mirage F1 CR et a déjà effectué deux missions de combat en Afghanistan, dont l'une sur la base de l'Otan à Kandahar (sud).
La Patrouille de France, créée en 1953, compte neuf appareils, des Alphajet au fuselage tricolore bleu-blanc-rouge. Unité de prestige, elle parcourt le monde et ouvrait encore le défilé du 14 juillet sur les Champs-Elysées, l'été dernier.
L'Union du 3 avril 2008

Reims

Le conseil municipal pose les bases de la mandature
EXCEPTÉ la question de la gratuité de l'entrée au parc de Champagne qui a suscité des débats, la première réunion présidée par la socialiste Adeline Hazan a été très technique (lire aussi notre précédente édition). La maire a tenu à rappeler qu'elle « avait souhaité respecter le principe de la représentation proportionnelle pour permettre l'expression pluraliste des élus au sein de l'assemblée communale ».

17 Rémois à Reims Métropole

À l'unanimité des 59 votants, les élus ont désigné les dix-sept représentants de la ville à la communauté d'agglomération. Il s'agit d'Adeline Hazan, Eric Quénard, Serge Pugeault, Stéphane Joly, Jean-Claude Laval, Mireille Wojnarowski, Nathalie Malmberg, Michel Guillaudeau, Joëlle Macquart, Jacqueline Dahlem, Olivier Nostry, Jeanine Davis, Cédric Lattuada, Marie-Françoise Millet, Alain Bisteur, Catherine Vautrin et Jean-Marie Beaupuy. Les dix commissions ont ensuite été formées.
Finances, Ressources humaines, Administration générale : Stéphane Joly, Jean-Claude Laval, Christiane Kutten, Nathalie Malmberg, Michel Guillaudeau, Hervé Toullec, Jeanine Davis, Francis Hénon, Catherine Vautrin, Jean-Marc Rose, Franck Noël.
Logement, Politique de la ville, Vie des quartiers : Eric Quénard, Pascale Martin, Virginie Coez, Ali Aissaoui, Raymond Joannesse, Michel Guillaudeau, Joelle Macquart, Marie-France Piette, Nicolas Bardin, Salah Byar, Alain Bisteur, Xavier Albertini, Franck Noël, Benjamin Develey.
Affaires économiques, Recherche, Enseignement supérieur : Serge Pugeault, Jacques Meyer, Marie-Noëlle Gabet, Dominique Bunel, Stéphanie Caillies, Cédric Latuada, Serge Escoute, Catherine Vautrin, Jean-Marie Beaupuy, Evelyne Bruschi, Johanna Touzel.
Démocratie Locale, Egalité des droits : Virginie Coez, Ali Aissaoui, Christine Kutten, Michel Guillaudeau, Joëlle Macquart, Jacqueline Dalhem, Thierry Wippler, Claude Verdière, Marie-Françoise Millet, Xavier Albertini, Benjamin Develey.
Culture : Serge Pugeault, Sarah Ouaja Ok, Raymond Joannesse, Mireille Wojnarowski, Dominique Bunel, Nadia Abid, Hervé Toullec, Olivier Nostry, Thierry Wippler, Nicolas Bardin, Evelyne Bruschi, Pascal Labelle.
Sports : Christine Michel, Karim Mellouki, Hassan Errettat, Jacqueline Dahlem, Salah Byar, Serge Escoute, Gilbert Baraban, Mohamed Baddou, Kim Anceaux-Duntze, Franck noël.
Solidarité, Santé , Insertion : Stéphane Joly, Laurence Delvincourt, Virginie Coez, Mireille Wojnarowski, Vincent Thierry, Nadia Abid, Marie-France Piette, Saïda Berthelot, Sandrine Lebel, Mohammed Baddou, Pascal Labelle, Jocelyne Lhotel.
Education, Jeunesse : Pascale Martin, Jacques Meyer, Laurence Delvincourt, Nathalie Malmberg, Hassan Errettat, Corinne Berriot, Zara Pince, Jeanine Davis, Marie-Thérèse Monnot, Salah Byar, Claude Verdière, Saïda Berthelot, Katia Hostequin, Kim Anceaux-Duntze. Développement durable, Urbanisme-Travaux, Voirie : Eric Quénard, Raymond Joannesse, Karim Mellouki, Corinne Berriot, Jeannine Davis, Francis Hénon, Marie-Thérèse Monnot, Alain Bisteur, Gilbert Baraban, Jean-Marie Beaupuy, Katia Hostequin, Xavier Albertini.
Tourisme, Relations européennes et internationales : Sarah Ouaja Ok, Ali Aissaoui, Marie-Noëlle Gabet, Jacques Cohen, Joëlle Macquart, Dominique Bunel, Zara Pince, Cédric Lattuada, Marie-Françoise Millet, Gilbert Baraban, Evelyne Bruschi, Johanna Touzel, Katia Hostequin.
Centre communal d'action sociale : Outre la maire, présidente de droit, le conseil d'administration du centre communal d'action sociale accueillera plusieurs autres élus. Il s'agit de : Stéphane Joly, Nathalie Malmberg, Michel Guillaudeau, Olivier Nostry, Marie-France Piette et Jocelyne Lhotel.
Alain Moyat
L'Union du 2 avril 2008
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Reims

De l'escrime proposée aux patients du CHU
Le projet ecrime thérapeutique concerne les jeunes et les adultes.
Le Cercle d'escrime rémois veut davantage étoffer son effectif. D'où cette récente initiative qui a consisté à offrir une séance aux jeunes patients du service de pédopsychiatrie du CHU de Reims.
Escrime thérapeutique
« Nous les avons reçus ici, à René-Tys, dans le cadre de l'escrime thérapeutique. Ils sont âgés de 5 à 10 ans. Deux idées nous animent : premièrement, développer notre discipline ; ensuite proposer une activité physique aux enfants ayant un handicap ou une maladie », explique Catherine Veinard, maître d'armes.
« Pour la première leçon, ils ont travaillé essentiellement sur la motricité, la découverte de l'escrime avec les sabres en mousse. Ils ont appris aussi à saluer leur adversaire. » Outre les jeunes, ce projet touche également les adultes atteints d'une maladie ou d'un handicap.
L'Union du 2 avril 2008

Reims
Le tramway fait ses première victimes
Les vieux marronniers de l'avenue de Laon ont commencé à tomber hier matin.Ils seront tous abattus. Cette hécatombe qui ne réjouit pas les riverains marque le début des travaux du tramway.
Dominique prend les coupes avec philosophie alors que Cloë va regretter les marronniers qui vivaient sous ses fenêtres.Les vieux marronniers de l'avenue de Laon ont commencé à tomber hier matin.Ils seront tous abattus. Cette hécatombequi ne réjouit pasles riverains marquele début des travauxdu tramway. Leurs feuilles commençaient à sortir avenue de Laon. Certains avaient l?air déjà presque verts malgré leur grand âge. Ils étaient partis pour une nouvelle saison, prêts à absorber pendant six mois la pollution des voitures avant de se venger d'elles en les inondant de feuilles mortes. C'était sans compter avec le début des travaux du tramway.« C'est vachementdommage »Hier matin, sans qu'ils puissent s'y attendre, les marronniers ont « vu » des hommes en jaune et des tronçonneuses débarquer. Bizarre. Ces gens ne ressemblaient pas à ceux qui viennent les élaguer en hiver. Pourtant les hommes ont commencé par élaguer. Comme pour les tromper. Puis soudain, une entaille dans le bas du tronc à gauche, une seconde à droite, une légère poussée et ils sont tombés. Un à un.Tous ceux de la rue vont y passer. D'ici environ 10 jours, il n'y aura plus un arbre avenue de Laon. « C'est vachement dommage
C'était beau avec les arbres. J'espère qu'ils vont en remettre »
, regrette Jean-Charles, habitant du quartier. Moins déprimé et davantage pragmatique Jean-Pierre : « C'est malheureux, des arbres qui devaient bien avoir 200 ans? En même temps, ils étaient très gênants pour les voitures et rendaient les trottoirs glissants au moment de la chute des feuilles. De plus, ceux qui habitent un premier étage sur l?avenue vont retrouver de la lumière. À leur place je serais ravi ». Cloë habite sur l'avenue mais n'est pas particulièrement ravie : « C'était sympa, mieux que d'avoir une vue directe sur les voitures. Ça va faire vide ».Dominique regarde les arbres tomber avec philosophie : « C'est surtout à mon épouse que ça fait quelque chose, elle a horreur qu'on coupe des arbres mais c'était à prévoir. Il faut bien faire le tramway ».« Il fallait les remplacer »Que les amoureux de la nature rangent leurs mouchoirs. « Tramway ou pas, il était prévu de remplacer ces arbres trop âgés », fait-on savoir aux espaces verts. « À nous aussi ça fait quelque chose mais il arrive un moment où l'on est obligé de renouveler les plantations. » Surtout qu'ils vont continuer à vivre d'une autre façon ces arbres : « On en fait des copeaux qui vont servir à tapisser le sol des massifs pour enrichir la terre ».Des ormes à la place En plus, ces vieilles branches biscornues vont libérer de la place pour de jeunes pousses qui ne demanderont pas mieux que de s'élancer dans le ciel de l'avenue de Laon. Ce sont des Zelkova serrata, de la famille des ormes, qui prendront la place avec un alignement de part et d'autre de l'avenue. Il y en aura peut-être un peu moins pour laisser la place aux stations du tram et à quelques places de stationnement mais « l'impression d?ensemble restera boisée », promet-on à Mars, concepteur du tram. En attendant, les coupes vont continuer et les prochains feuillus qui verront arriver les tronçonneuses se situent « avenue des Belges, rue Schweitzer et Laberte en direction du terminus de Neufchâtel ». Le tour des Hautes Promenades viendra ensuite : « Comme c'est un site classé, il nous faut une autorisation de l'État que nous n?avons pas encore ». Mais qui ne saurait tarder.
Catherine Frey
L'Union du 1 er avril 2008
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Reims
Un avant-goût des paysages de la région au pied de la gare TGV
Adeline Hazan, maire de Reims, et Jean-Paul Bachy,président du conseil régional, ont planté un pied de vigne.
Certes, hier, le talus devant la gare TGV Reims-Bezannes était un peu boueux. Mais cela n'a pas empêché les officiels ? Jean-Paul Bachy, président du conseil régional, Adeline Hazan, maire de Reims, Jean-Pierre Belfie, maire de Bezannes et Eric Radenac, directeur régional de la SNCF ? de se remonter les manches et de planter, symboliquement, les premiers pieds de vigne qui feront partie intégrante du conservatoire des espèces végétales de la région.En tout, pas moins de 80 espèces d'arbres et plantes seront représentées sur 1 ha : poiriers, pommiers, cerisiers, prunus, conifères, rosiers, sans oublier des rangées de vigne, et deux hêtres tortillards, alias faux de Verzy, ancreront leurs racines devant la gare ces prochaines semaines.Par cette valorisation du talus, c''est l'image de la Champagne-Ardenne à la descente du TGV que la ville de Bezannes, soutenue par la SNCF et le conseil régional, a souhaité mettre en valeur, tout en apportant un cachet particulier à la gare. Une initiative « verte », qui s'inscrit dans le prolongement de l'opération « un enfant, un arbre, une gare » initiée en 2006, à l'occasion de laquelle les enfants des écoles de Bezannes avaient planté des arbres aux abords de la gare.Cette fois, la tâche a été confiée aux élèves des lycées d'Avize et de Saint-Pouange (Aube) qui assureront également, grâce au financement de la Région, l'entretien des plantations achetées pour 30.000 euros par la SNCF, chargée de la maîtrise d?ouvrage en employant des techniques respectueuses de l'environnement, conformes à l?éthique du développement durable.
Marion Dardard
L'Union du 1er avril 2008
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lundi 7 avril 2008

Informations - brèves sur Reims mars 2008

Reims champagne actu

Informations, brèves sur Reims



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Mars 2008

haut de la page

Reims
PARC DE CHAMPAGNE
Instauration de la gratuité d’accès à compter du 2 avril 2008
C’était un des engagements pris lors de la campagne électorale par la liste conduite par Adeline Hazan. L’instauration de la gratuité d’accès à ce grand parc emblématique fera l’objet d’une délibération proposée lors de la séance du conseil municipal de Reims programmée le 31 mars prochain.
D.Dumon Reims-champagne-actu.com
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Reims
Grand théâtre : le réveil de Cendrillon

L'opéra prend le conte en route, après le fameux bal au cours duquel Cendrillon a perdu son chausson.
Histoire de Cendrillon la mal-aimée, la citrouille transformée en carrosse, le bal qu'il faut quitter avant minuit, le chausson de fourrure oublié dans le palais on connaît. On la connaît notamment par la version de Walt Disney en dessin animé (et sa confusion fameuse transformant en verre le vair dudit chausson).
Dans les archives
Le conte de Perrault a également donné naissance à une version lyrique, un opéra comique, sans doute moins connu. Il y a au moins une bonne raison à cela, « c'est que ce Cendrillon de Laruette, créé au XVIIIe siècle, première version scénique du conte de Perrault, n'a plus été rejoué depuis 1762 ! » affirme Serge Gaymard, le directeur du Grand théâtre rémois. Il a donc eu le temps de sortir des mémoires. Heureusement qu'il avait été bien archivé dans une bibliothèque parisienne ! Ce qui a permis à la compagnie de l'Artifice (celle qui avait joué Crasse-tignasse l'an dernier) de remettre la main dessus et de réveiller, non pas la Belle au bois dormant, mais l'autre héroïne de l'écrivain, la jeune fille au chausson perdu.
C'est précisément cette Cendrillon quelque peu endormie depuis plusieurs siècles que le Grand théâtre va accueillir pour ouvrir son mois d'avril. « C'est une redécouverte de l'?uvre, ajoute le directeur, avec la musique originelle, mêlant des airs populaires d'alors et des airs connus d'opéra dont on avait modifié les paroles. »
Cet opéra comique prend le conte en route, après le fameux bal. Dans son grenier, Cendrillon se partage entre les agréables souvenirs de la soirée qui lui a permis de rencontrer le prince, et la crainte des reproches de sa marraine, à qui elle a désobéi? Parmi les coproducteurs de ce spectacle, outre le Grand théâtre rémois lui-même, on notera la présence du festival Méli-môme.
Rien de surprenant là-dedans : ce Cendrillon est conçu pour le jeune public (des séances spéciales scolaires sont d'ailleurs prévues en plus de celle pour le tout public) : on attend les enfants dès l'âge de 8 ans.
En dehors de Cendrillon le Grand théâtre programme au cours de ce mois d'avril les spectacles suivants :
- Jeudi 10 avril à 19 heures, jazz avec le Quartet Isabelle Carpentier (arrangements des standards du genre, en partenariat avec djaz51) 5 euros ;
- Mardi 22, à 20 heures, au palais du Tau, musique médiévale avec le Voir dit (textes et musique du poète champenois Guillaume de Machault, interprétés avec des instruments d'époque reconstitués : vielle à archet, flûte à bec, organetto ou clavicythérium) 5 euros ;
- Vendredi 25 à 20 h 30 et dimanche 27 à 14 h 30, danse avec le Portrait de l'infante et l'Amour sorcier, deux ballets dansés par le Ballet Biarritz et inspirés par l'imaginaire espagnol : la musique du premier est signée Maurice Ravel, celle du second Manuel de Falla. De 7 à 26 euros.
On notera aussi qu'à l
L'Union du 31 mars 2008
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Reims
Fouilles archéo : lancement des travaux face à la gare
Les travaux doivent débuter ces jours-ci, en fonction de la météo. Les automobilistes devront faire attention à la signalisation qui sera mise en place.
Les fouilles archéologiques préventives de la trémie, située devant la gare, doivent commencer dans le courant de cette semaine et doivent durer jusqu'au lundi 29 septembre 2008. Les fouilles sont actuellement réalisées sur le tracé du tramway avant le démarrage des travaux d'infrastructure. Elles sont menées par l'Inrap (Institut National de Recherches Archéologiques Préventives) pour le compte de la société MARS (Mobilité Agglomération Rémoise).

Stationnement
L'accès au parking payant est maintenu.
Perturbations
Les travaux doivent démarrer dans le courant de la semaine, en fonction de la météo qui pourrait selon les prévisionnistes ne pas être clémente en début de semaine. Ils concernent :
- le boulevard Joffre - côté Hautes Promenades : sur le trottoir, sur une voie de circulation et sur la voie de bus
- devant le square Colbert : sur une voie de circulation et sur le trottoir
- le boulevard Roederer - côté rue de Courcelles : sur une voie de bus et sur une voie de circulation.
Bus
Les arrêts « Gare » et « République » des lignes A, C, F, K et la ligne 3 de nuit sont déplacés. L'arrêt « Gare » est reporté rue Thiers. L'arrêt « République » est reporté place de la République, devant le monument aux morts. Pour toute information : 03.26.88.25.38. ou www.tur.fr

Habitat antique
L'objectif de ces fouilles archéologiques est d'« étudier l'habitat antique afin de déterminer le type d'occupation du site et d'étudier la voirie pour compléter le plan de la trame urbaine de ce.....
L'Union du 31 mars 2008
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Reims
Faut-il poursuivre les Rencontres internationales de télévision ?

Zineb Kabab, 27 ans, en recherche d'emploi (Croix-Rouge) : « Pour ma part, je ne connais pas ces RITV, je n'ai jamais été sollicitée pour y assister et je n'ai pas vu de pub là dessus non-plus. Je ne passe pas beaucoup de temps devant la télé : je regarde plutôt les infos, les magazines et les documentaires. Je souhaiterais que les création de fictions s'adressent un peu plus au jeune public, avec moins de violence et qu'elles puissent être visionnées par des écoliers. »
Elodie Carrilho, 21 ans, en formation (Av. de Laon) : « Oui, à la condition que le grand public soit concerné, invité à assister aux projections, et à donner son avis sur les créations. Cet événement donne du prestige à notre ville, mais il reste trop réservé aux profesionnels. J'ai aimé les Maupassant sur France 2, ça change un peu des séries étrangères à répétition, mais je pense que pour attirer les téléspectateurs de ma génération, il faudrait créer des fictions plus modernes. »
Arnaud Tétart, 35 ans, salarié (Jean-Jaurès) : « Oui, il faut les poursuivre pour que Reims conserve cet impact culturel international, la culture est déjà insuffisamment présente dans notre ville. Je suis cet événement annuel à travers divers médias et je m'intéresse à la création TV, en général de bonne qualité. Je reproche à TF1 et aux chaînes publiques de suivre le mouvement des séries américaines qui passent en boucle en soirée. On pourrait faire mieux pour les programmes du soir. »
Huseyim Bilgim, 24 ans, étudiant (Orgeval)
« Je connais l'existence de ces RITV et je vais m'y rendre pour la 1ère fois cette semaine. Je suis pour que ces Rencontres continuent d'exister : elles sont le lieu de réunion de cultures très différentes. J'aimerais voir plus souvent des fictions françaises à la télé, plutôt que ces sempiternelles séries américaines où il y a trop de violence, surtout en 1ère partie de soirée. Mais il y a aussi beaucoup de violence dans les dessins animés ...»
L'Union du 30 mars 2008
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Reims
Renaud Dutreil : « Mon avenir est à Reims »
Renaud Dutreil affiche un sourire serein : « Ceux qui rêvaient de me voir partir vont être déçus ». Avec le recul, comment analysez-vous la défaite de la droite à Reims ?
Renaud Dutreil : « Il y a eu une compétition avec à chaque étape de ma part une loyauté absolue avec les règles de l'UMP. On a envisagé des primaires avec le vote des militants. J'étais d'accord, Catherine Vautrin a refusé. J'ai été investi par l'UMP, Catherine Vautrin a comme même décidé de se présenter. Au second tour j'ai appelé à voter pour elle. Elle a refusé de fusionner avec moi et elle a été battue. C'est triste mais tout ça c'est du passé. Il faut maintenant repartir ensemble dans un esprit de reconstruction. »
N'êtes-vous pas arrivé à Reims en terrain trop conquis ?
« Je suis arrivé ici en disant que Reims a des problèmes. J'avais un projet pour cette ville. J'ai pris le temps de rencontrer les gens. Je ne suis pas venu avec des certitudes. Pendant 4 à 5 ans, j'ai monté un projet impliquant les Rémois, en prenant en compte leurs préoccupations. »
N'en avez-vous pas fait trop avec votre style direct, parfois considéré à la limite du sans-gêne ?
« Cela fait partie de la modernité que je voulais apporter à cette ville. Je pensais que Reims avait besoin de cette modernité pour changer. »
Y a-t-il des choses que vous regrettez, qu'avec le recul vous vous dites vous auriez dû faire différemment ?
« J'ai sous-estimé qu'il y avait tant de Rémois qui pensaient que pour être un bon maire il fallait être né à Reims. Cela me paraît tellement stupide que je n'imaginais pas un seul instant que c'était possible. Je ne m'attendais pas à ce conservatisme. Je n'imaginais pas non plus que Catherine Vautrin me prendrait pour son seul ennemi en axant sa campagne uniquement contre moi? »
Il y a aussi eu l'histoire du tramway qui vous a coûté cher?
« Il y a eu ce coup de couteau 48 heures avant le premier tour qui a fortement entamé ma crédibilité. Au-delà du lobbying des entreprises dont j'ai parlé au départ, j'y vois surtout une vengeance de Borloo après les commentaires que j'avais fait sur sa bourde de la TVA sociale avant les législatives. Ce coup m'a fait très mal? Je ne m'y attendais pas car je pensais qu'un ministre allait respecter le devoir de réserve qui est le sien en période électoral. J'ai été étonné et choqué. »
L'élection municipale perdue, comment se dessine votre avenir à Reims ? Resterez-vous ?
« Je n'ai aucune amertume après cette élection. Je suis passionné par Reims. Je me sens Rémois. Mon avenir politique est à Reims. Ceux qui rêvaient de me voir partir vont être déçus. J'ai aimé, j'aime et j'aimerai toujours Reims. Je lui ai beaucoup donné et elle m'a beaucoup apporté. Je suis motivé par cette ville. En tant que député je suis prêt à aider la nouvelle municipalité. Si je peux être utile dans des dossiers économiques notamment, je le ferai. »
Au plan national, l'UMP vient de vous rappeler à l'ordre après vos récents propos contre François Fillon. Comment réagissez-vous ?
« C'est du vent. Le lendemain j'ai donné d'autres interviews dans ce sens et il n'y a pas eu de souci. J'ai la liberté de dire ce que je pense et non pas ce que les autres aimeraient que je dise. Un parlementaire ce n'est pas un godillot. Il est bon aussi de rappeler que ce sont les parlementaires qui contrôlent le travail du gouvernement et pas le contraire. »
Propos recueillis par Grégoire Amir-Tahmasseb
L'Union du 29 mars 2008

Reims
Salon Tendance nature :
trois jours pour s'oxygéner
Deux cents exposants répartis dans les halls 1 et 3 du parc des expositions autour de trois pôles : le jardin, l'éco-tourisme et l'éco-habitat. Voilà ce que propose trois jours durant le salon Tendance nature. L'an dernier, près de 12.500 visiteurs étaient venus s'oxygéner au salon. Cette année, les organisateurs -Reims événements et ses partenaires- espèrent passer le cap des 13.000.
Mieux former les visiteurs pour susciter l'envie de jardiner, une mission réussie grâce aux conseils des ateliers de jardinage et d'art floral animés chaque année par la société d'horticulture de Reims et la fédération des jardins familiaux. Le jardinier soucieux de préserver l'environnement sera sensible aux produits naturels et biologiques pour le jardin. Côté outillage : on trouvera de l'arrosage automatique, les appareils de motoculture, remorques, matériels, abris de jardin, pavage, piscines?
Dans les arbres
Nouveauté sur le salon : un stand « parcours acrobatique dans les arbres » sera ouvert sur environ 14 m de long et sera accessible notamment aux plus jeunes. Avec le conseil général, Reims événements a distribué quelque 5.000 « pass » aux collégiens de 6e et 5e dans la Marne, afin qu'ils puissent venir essayer ce sport « nature ». Le parcours sera entouré d'un décor confectionné avec les élèves du lycée agricole de Thillois.
« Bain » de nature
Les jeunes pourront découvrir diverses professions : paysagiste, aménagement du jardin, écoles horticoles et agricoles...
L'Union du 28 mars 2008) Lire la suite

Reims
Il n'y aura pas de chasseaux sorcières à la mairie Avec le changement de municipalité, beaucoup s?interrogent sur l'avenir des différents services. «Nous resterons avec cette équipe» assure un adjoint.
Avec plus de 2.100 personnes salariées, la mairie de Reims se gère comme une entreprise.
Pour la nouvelle équipe, il n?est pas question de modifier la structure actuelle.
Avec le changement de municipalité, beaucoup s?interrogent à la mairie
sur l?avenir et le fonctionnement des services. Va-t-il y avoir des départs précipités? Réponse avec l?élu en charge de l'administration générale.
«Non, nous n?avons pas mis sur la place Royale l?échafaud pour faire tomber des têtes? » Stéphane Joly, adjoint au maire en charge notamment de l?administration générale, préfère prendre avec humour la question qui taraude certains dans les couloirs de l?hôtel de ville.
Depuis l?arrivée d?Adeline Hazan, le changement de municipalité inquiète au sein de la mairie et de ses quelque 2100 salariés. Aux premiers jours, les nouveaux élus ont vu arriver des personnels préoccupés par l'avenir de leur poste qui était en lien direct avec les élus de l'ancienne équipe.
« Des Rémois au service des Rémois »
« Nous avons commencé à travailler avec tous ces fonctionnaires qui sont efficaces et qui n?ont pas d'étiquette politique », explique Stéphane Joly. « On n?a pas ici des gens qui sont encartés UMP et qui ont ouvertement fait campagne pour Catherine Vautrin ou Renaud Dutreil. Ce sont des Rémois ou service des Rémois. »
Pas question donc pour la nouvelle municipalité de faire la chasse aux sorcières. « Ce n?est pas notre façon de faire. On a toujours dit que nous resterons avec cette équipe. Elle travaille bien. Pourquoi la changer? »
Comme les autres candidats, Adeline Hazan avait d?ailleurs rencontré les syndicats de la ville pour leur expliquer sa façon de travailler et répondre à leurs interrogations.
Afin de coordonner au mieux l?action municipale, adjoints et conseillers municipaux délégués sont en train de rencontrer les quelque 25 chefs de services. « Il n?y a aucune personne menacée. Le seul changement sera celui du directeur général des services qui prend sa retraite. C?est quelque chose qui était prévue et qui n?a aucun lien avec notre arrivée. »
Concernant l?organisation générale de la mairie, Adeline Hazan va faire un audit comme elle l?avait indiqué lors de sa campagne. Il sera ensuite temps, ou pas, de modifier ici où là certains postes.
« On ne va pas embaucher 200 personnes ou virer 200 personnes », souligne Stéphane Joly. « Il y aura peut-être des aménagements à la marge. On a par exemple la création d?un poste d?adjointe en charge de la lutte contre les discriminations. On va voir comment faire pour qu'une personne prenne sur son temps actuel pour travailler avec cette adjointe. »

Préparer le prochain conseil de lundi

En attendant que la nouvelle équipe tourne à 100 %, le prochain grand rendez-vous de la municipalité et de ses services est fixé au lundi 31 mars prochain et un nouveau conseil municipal.
Après l'élection de la maire vendredi dernier, ce sera cette fois l?occasion de voter le nom de ceux qui représenteront la mairie dans les différentes délégations et organismes comme Reims Métropole. À cette occasion sera également discutée la gratuité du parc de Champagne (voir par ailleurs).
Grégoire Amir-Tahmasseb
L'Union du 27 mars 2008

Reims
Adeline Hazan confirme ses intentions
France-Culture étant partenaire des RITV, plusieurs émissions sont diffusées en direct de la Comédie. Tel a été le cas hier soir de « Travaux publics » animé par Jean Lebrun.
Lequel avait Adeline Hazan pour invitée d'honneur, le président de la CCI, François Cravoisier pour tête de turc ; une étudiante roumaine pour parler des quartiers de Reims et deux ou trois entrepreneurs potentiels ou avérés.
L'animateur s'est abondamment moqué de Renaud Dutreil ou de RMS, n'a fait qu'effleurer le sujet principal, l'économie. Mais a permis à Mme Hazan de confirmer ses intentions de maire.
Ainsi, elle deviendra prochainement présidente de l'agglomération ; rendra la ville « plus attractive » pour les entreprises et les étudiants ; mènera une « vraie politique culturelle » et transformera Reims en « métropole européenne » pour éviter que la Cité des sacres ne soit qu'une « cité-dortoir »?
J.F.S. L'union du 28 mars 2008

Reims



Pour sa première sortie officielle..
Madame la Maire de Reims n'a pas dérogé à la tradition, madame Adeline Hazan,
est venue en présence de l'ensemble du conseil municipal, fraîchement mis en place,
déposer une gerbe aux monuments aux morts.
Une cérémonie sobre et empreinte de recueillement.
D.Dumon, 22/03/2008 (reims-champagne-actu.com)

Reims
Hommage unanime à Jean-Louis Schneiter
Du petit-lait. Assis en début de séance sur l'estrade, puis après dans le public, Jean-Louis Schneiter a sans nul doute savouré sa soirée d'hier. L'émotion a dû être forte mais il ne devait pas s'attendre à tant d'éloge. Il a même dû en sourire en se rappelant combien par le passé il a été mis en difficulté ou critiqué par ceux qui aujourd'hui lui rendent hommage.
« J'ai été, Monsieur Schneiter, votre principale opposante pendant sept ans », a rappelé Adeline Hazan. « Nous avons été parfois en désaccord sur des dossiers important [...] Permettez-moi, en toute justice, de vous remercier au nom de tous les Rémois pour le travail que vous avez accompli durant votre vie publique, ainsi que pour l'humanisme et souvent le courage que vous avez montré dans l'exercice de vos fonctions ». Catherine Vautrin a de son côté rendu hommage à « un maire visionnaire qui a su prendre des risques ».
Vint ensuite la cérémonie symbolique de l'accrochage du tableau représentant Jean-Louis Schneiter à côté de celui de tous les autres maires deReims. « On ne perd pas de temps » s'est amusé l'ancien maire qui a été longuement applaudi à plusieurs reprises par la salle et le conseil municipal.
L'Union du 22 mars 2008
G. A.-T.

Reims

C'est dans une salle comble que Monsieur Jean Louis Schneiter a ouvert la séance.
Après avoir fait l'appel des conseillers, il a quitté son fauteuil de maire sous de longs applaudissements.
Puis le Doyen d'âge Alain Bisteur, comme le veut le protocole, préside la séance dans le fauteuil du maire sortant.
Après lecture des textes et rappel des articles de la loi, le Doyen a demandé à l'assemblée des conseillers municipaux, celles ou ceux qui voulaient se porter candidats au poste de Maire de la Ville de Reims, une seule main s'est levée, celle d'Adeline Hazan, puis Madame Vautrin a demandé la parole, précisant que son groupe (soit 13 conseillers de droite, qui constituent la nouvelle opposition) ne prendrait pas part au vote.
Sans surprise Adeline Hazan, candidate PS est élue Maire de Reims, dès le premier tour avec 46 voix, à l'annonce du résultat, la salle toute entière adresse des applaudissements nourris suivis d' une standing ovation.. Madame Hazan monte à la tribune, Monsieur Schneiter lui passe l'écharpe tricolore...
Il est 18h25 ce vendredi 21 mars 2008, Reims a pour la première fois une femme Maire, le renouveau de la Ville est en marche...
D.Dumon, 21/03/2008 (reims-champagne-actu.com)
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Reims

Les pompiers rémois au marathon de Rome
Neuf sapeurs-pompiers rémois parmi les 15.000 participants ont fait le déplacement jusque Rome en avion dimanche 16 mars afin de participer au 14e marathon international de la capitale italienne. À l'issue de cette manifestation sportive, de nombreux échanges culturels, professionnels et humains ont eu lieu avec leurs homologues soldats du feu italiens.
À peine terminée cette course, quatre autres membres de la Scap18 (nom de l'équipe) participeront au marathon des sables la semaine prochaine.

Résultats : S. Verrier 3h08'08, B. Verrier 3h12'48, C. Leseurre 3h12'48, Y. Godfroy 3h29'40, J.-P. Desgrippes 3h37'45, D. Magalhaes 3h46'30, C. Couvert 3h52'30, J. Da Costa 4h12'44, L. Courant 4h26'01.
L'Union du 20 mars 2008

Reims

Méli-môme : "On n'est pa inquiet pour l'avenir !"
Cela fait 19 ans que le festival rémois du spectacle vivant jeune public trace sa route. Depuis les débuts modestes, l'eau a coulé sous les ponts et les soutiens et représentations se sont multipliés.
Le coup d'envoi officiel du festival de spectacle vivant jeune public Méli-môme, 20e édition, sera donné ce jeudi soir. La cheville ouvrière de cette animation désormais ancrée dans le paysage rémois, Joël Simon, répond à nos questions.
Comment situez-vous le festival rémois par rapport à ce qui se fait ailleurs?
Effectivement, nous ne sommes pas les seuls en France; vous en avez à Quimper, à Blanquefort près de Bordeaux, dans une commune proche de Mulhouse? je dirais que nous faisons désormais partie des festivals qui comptent.
Un chiffre qui permet d'illustrer votre importance?
Nous tournons régulièrement autour de 20.000 entrées sur deux semaines et demie ; mais nous ne courons pas après les chiffres : ils peuvent fluctuer sensiblement selon la capacité des salles retenues par les producteurs
Quelles sont vos principales caractéristiques par rapport aux autres?
Nous sommes axés sur une programmation pour le public, et non pour les professionnels par exemple; de plus, nous sommes un festival qui soutient la création.
Cela se traduit au niveau de la programmation?
Oui, sur les 24 spectacles programmés cette année, 13 sont des créations de la saison. Par exemple l'opéra Cendrillon, créé il y a un mois à Dijon, ou bien « Etes-vous prêt à sauver la reine? » qui s era créé début avril à la Comédie de Reims.
Tout cela suppose de solides moyens financiers : qui sont vos partenaires?
Le budget du festival se situe à environ 350.000 euros. La plus grande partie est financée par la Ville de Reims, qui nous a soutenus dès le début; sa participation représente 50 à 60 % du total.
Par exemple
Nous avons aussi l'aide de la Région, du Département, de l?Etat par l?intermédiaire de la Drac, de la Caisse des allocations familiales, et de l'office national de diffusion artistique, émanation du ministère de la Culture.
Tout ce monde-là n'était sans doute pas présent à vos côtés au début de l'aventure, il y a 19 ans
Effectivement, au début, il n?y avait que la ville de Reims. Notre interlocuteur était alors le Dr Cayette, adjoint aux affaires sociales.
Le résultat des municipales de cette année changera-t-il quelque chose pour le festival?
A priori non, notre projet était pris en compte par la candidate de gauche dans son programme. Nous ne sommes donc pas inquiets pour la pérennité de Méli-môme. J'estime d'ailleurs que nous avons un rôle d'utilité sociale et culturelle à la fois; et que nous contribuons aussi au rayonnement de la ville, et ce même au niveau international.
Et les autres?
Nous sommes partenaires d'un festival analogue à Montréal; nous avons aussi noué des liens particuliers avec la Slovaquie, ce qui explique notamment que notre parrain officiel cette année soit un artiste slovaque, Fero Lipptak.
Antoine Pardessus


Coup d'envoi ce soir : la der de Jean-Louis Schneiter?
Le coup d'envoi officiel du festival Méli-môme cru 2008 sera donné ce jeudi soir dans les murs du champagne Palmer. Ce sera l'une des dernières occasions -sinon la toute dernière- pour Jean-Louis Schneiter de participer à une manifestation publique en tant que maire de Reims (avant le conseil municipal de vendredi qui donnera lieu à la passation de pouvoir).
Pour le public, le premier rendez-vous est fixé au lendemain, vendredi 21, avec trois spectacles : un au Cirque (Pluie, à 17h30), un autre à St-Brice (100 kilos et ses éléphants, 18 heures à la salle des fêtes); et un à Bétheny (Messieurs les enfants, 18h30 à la Comète).
Tarifs : pour un spectacle 8 euros pour un adulte, 4 euros pour un enfant. À partir de 4 spectacles, 6 euros par adulte, et 3 euros par enfant. Renseignements et réservations au 03.26.09.33.33 ou sur reservations@meli-mome.com
Par ailleurs, tout le temps du festival, le peintre slovaque Fero Lipptak exposera dans les murs de l'ancien collège des Jésuites, place Museux. Le vernissage officiel aura lieu samedi 22 mars à 11 heures.
L'Union du 20 mars 2008

Reims

Jean-Louis Schneiter tourne la page
Les satisfactions de son mandat
« Sans aucun doute, la réussite du dossier du tramway… Cela n'a pas toujours été simple. Il y a eu pas mal d'opposition, mais à l'arrivée la déclaration d'utilité publique a été signée.
Je suis aussi fier du développement de la politique culturelle que l'on a mis en place. Cela a été une façon d'attirer du monde à Reims, des employeurs notamment, en proposant des activités à leurs personnels. Je suis aussi satisfait de partir sans entendre trop de critiques avec la sensation du boulot fait. »

Les regrets
« Je regrette de n'être pas allé au bout du dossier des halles et du grand musée. Ça laissera du boulot aux autres !
Parmi mes autres regrets, celui de ne pas avoir pu faire venir ici Jean Taittinger. »

Les grandes réalisations
« Beaucoup d'équipements ont été réalisés depuis 25 ans, que ce soit quand j'étais premier adjoint sous Jean Falala ou depuis que je suis maire : centre des congrès, maison de la vie associative, médiathèque, Cartonnerie, parc des expos, Stade Delaune… Aujourd'hui, les finances de la ville sont saines mais tendues en raison de ses nombreux investissements. Mais pour l'équipe qui arrive, ce sont autant de choses qu'elle n'aura pas à financer. »
Les rencontres
« On a vu beaucoup de monde à Reims. Les noms les plus marquants qui me viennent immédiatement c'est le président du Sénégal, Wade, ou encore Azouz Bégag, sœur Emmanuel ou Jacques Chirac. Par contre, je n'ai pas vu le pape quand il est venu à Reims car j'étais à l'hôpital ! »
Les souvenirs
« Je ne vais pas écrire mes mémoires, tout d'abord parce que je ne suis pas écrivain et ensuite surtout parce que je n'ai pas gardé mes notes ni fait de discours écrits. Difficile alors de remonter trop loin. La mémoire enjolive les choses… J'ai bien quelques anecdotes comme lorsque j'ai failli mettre à la porte Roselyne Bachelot. Elle venait signer le livre d'or et elle s'est lancée dans un violent discours contre le tramway… J'étais à deux doigts de la raccompagner.
J'ai su après qu'elle était venue avec Jean-Claude Thomas, qui lui avait fait tout un laïus anti-tramway dans la voiture et elle était tombée dans le panneau ! »

L'avenir
« Je ne pense pas m'ennuyer. Je vais voyager, jardiner. En fait, cela a été un soulagement lorsque j'ai pris la décision de ne pas me représenter. Cela a été une bouffée d'air. Aujourd'hui je suis très paisible, serein…
Pendant les prochains mois, je ne vais pas totalement décrocher puisque je suis encore président d'un certain nombre de structures. Je n'aurais plus de bureau à la mairie mais on va bien me trouver une petite place à Reims Métropole, le temps que les passations de pouvoirs se fassent. »

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L'Union du 19 mars 2008

Reims

« Les quartiers attendent beaucoup de la maire »
Il ne faudra pas les décevoir. Dans les quartiers, on attend beaucoup de la nouvelle maire. Claude Stoltz et Caroline Barré de l'Union des locataires de Croix-Rouge (ULCR) veulent pour commencer qu'Adeline Hazan regarde les habitants comme elle regarde ceux du centre-ville. « Ce n'est pas parce qu'on habite un logement social qu'on est amoindri intellectuellement ».
À Eisenhower, quartier qui devrait être qualifié d'universitaire si les facultés ne ressemblaient pas à des « mobil homes en ruine », beaucoup aiment leur coin. « Nous avons un parc, un centre commercial et les enfants peuvent aller de la maternelle au master sans changer de rue. Il ne manque pas grand-chose pour qu'on y vive bien. »
« Surveiller les bailleurs »
Au lieu de cela, « ils ont tout laissé se dégrader jusqu'à en faire un quartier où l'on habite parce qu'on n'a pas le choix ». Pour y rester il faut s'habituer à la saleté, aux incivilités, au bruit, aux feux. Il faut s'habituer à vivre avec l'étiquette d'habitant d'un quartier qui craint.
« Pour que tout change il faudra que la maire oblige les bailleurs à entretenir correctement leur patrimoine. » Les deux porte-parole ont des exemples : « Dans une récente rénovation, ils ont refait la façade de devant mais pas celle de derrière. Dans une cage d'escalier salie par des graffitis, ils avaient décidé de repeindre les demi-étages sales et voulaient laisser les autres en l'état. Il faut toujours se battre ».
Non que les bailleurs ne fassent rien mais « pas souvent » comme il faudrait. « Ils viennent d'aménager un appartement au 1er étage pour une personne handicapée. Parfait sauf que son emménagement est reporté de jour en jour pour cause de panne chronique de l'ascenseur. » En attendant la dame est obligée de rester dans un immeuble voué à la démolition où elle est maintenant la seule locataire.
La maire devra « surveiller » les bailleurs et surtout « nous écouter ». « Rénover n'est pas qu'une question de démolitions et d'argent ». La rénovation urbaine n'est pas à jeter mais « elle a été faite dans notre dos. Beaucoup sont attachés à leur appartement. Dans ces blocs pourris de dehors, on trouve de vrais petits palaces ». Pour certains c'est toute leur vie : « Je connais une dame qui a voulu se suicider en découvrant brutalement que son immeuble allait être démoli. Si son mari n'était pas arrivé… ».
Catherine Frey
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L'Union du 19 mars 2008

Reims
MUNICIPALES 2008 / Reims bascule à gauche
Avec 56,07 % des voix, Adeline Hazan (PS) fait basculer Reims dans l'escarcelle de la gauche qui revient aux affaires après en avoir été écartée depuis 1983. La droite rémoise, largement divisée avant le premier tour, n'a pas su se rassembler.

Avec 56,07 % des voix, Adeline Hazan (PS) fait basculer Reims dans l'escarcelle de la gauche qui revient aux affaires après en avoir été écartée depuis 1983. La droite rémoise, largement divisée avant le premier tour, n'a pas su se rassembler.
L'Union du 17 mars 2008

Reims
Raymond Kopa, ancien du Stade de Reims, Officier de la Légion d'Honneur
Comme nous vous l'annoncions dans nos colonnes, l'ancien attaquant du Stade de Reims Raymond Kopa devait être promu au rang d'Officier de la Légion d'Honneur, lundi soir au Palais de l'Elysée, en compagnie de l'ancien rugbyman Pierre Albaladejo.
C'est maintenant officiel.
Comme nous vous l'annoncions dans nos colonnes, l'ancien attaquant Raymond Kopa devait être promu au rang d'Officier de la Légion d'Honneur, lundi soir au Palais de l'Elysée, en compagnie de l'ancien rugbyman Pierre Albaladejo.
Raymond Kopa, meilleur joueur de la Coupe du monde 1958, triple vainqueur de la Coupe des clubs champions avec le Real Madrid (1957, 1958, 1959), devait être reçu dans la soirée par le chef de l'Etat Nicolas Sarkozy.
Les présidents de la Fédération française (FFF) Jean-Pierre Escalettes et de la LFP Frédéric Thiriez devaient assister à la cérémonie.

L'ancien international (45 sélections), de son vrai nom Raymond Kopaszewski, a été le premier Français élu Ballon d'or, en 1958. Il a également remporté quatre titres de champion de France avec l'équipe mythique de Reims (1953, 1955, 1960, 1962) et deux de champion d'Espagne avec le grand Real (1957, 1958).
Raymond Kopa en bref

Nom: Kopaszewski dit Kopa
Prénom: Raymond
Nationalité: française
Date de naissance: 13 octobre 1931 (76 ans)
Lieu de naissance: Noeux-les-Mines (Pas-de-Calais)
Taille: 1,68 m
Sport/discipline: joueur de football/attaquant


Clubs successifs: Noeux-les-Mines (amateur/1944-49), Angers (D2/1949-51), Reims (1951-56), Real Madrid (ESP/1956-59), Reims (D1/D2/1959-67)
Equipe de France
Sélections: 45
Buts marqués: 18
Première sélection: 05/10/1952, France-RFA
L'Union du 17 mars 2008

Reims
Le Salon du livre de jeunesse est sur les rails
Une opération largement préparée en amont.

« Notre but ? En premier lieu bien sûr, donner envie de lire aux enfants ! » : Jean Pérardelle, président de l'association Lire et Délires, a réuni, pour le lancement du Salon du Livre de Jeunesse, tous les partenaires (enseignants, bibliothécaires, bénévoles…) qui œuvrent depuis des mois pour faire de cette 9e édition un nouveau succès. 59 classes, 14 écoles, 1.400 élèves : « Un long travail en amont, dès la rentrée. Lire et Délires présente aux enseignants une sélection d'ouvrages, répartis en quatre niveaux », précise J. Pérardelle, insistant sur le fait que le choix des auteurs privilégie l'originalité et la qualité : « De grands noms de la littérature enfantine viennent au salon ».

Littérature et travail artistique

Expositions et rencontres ont lieu durant tout le mois de mars dans les bibliothèques avec les écoles. Certaines classes choisissent de réaliser des créations manuelles en s'inspirant des ouvrages. Un prétexte pour les enseignants à un travail transversal sur l'écriture, la lecture, les arts plastiques : « Travailler au niveau de la littérature va aussi de pair avec le travail artistique. Donner aux enfants le goût du beau, développer leurs talents », ajoute J. Pérardelle, soulignant l'effort démocratique (les ouvrages sont acquis par l'association et par les coopératives scolaires) : « On fait en sorte que l'égalité devant le livre soit réelle. C'est quand même un média culturel qui reste d'un abord coûteux ». A partir du 27 mars, huit auteurs et illustrateurs iront à la rencontre des classes. Le 29 mars, des ateliers, des lectures théâtralisées par des comédiens animeront le salon, et puis… des livres, des quantités de livres, en présence de leurs auteurs : « Quand les enfants tombent sur l'auteur qu'ils rencontrent au salon, ils ne regardent plus leur livre de la même façon », fait remarquer Thérèse Marjollet, bénévole fidèle depuis la 1re édition !
Les temps forts

Du 3 au 29 mars : Natali Fortier à la médiathèque Croix-Rouge, Elodie Nouhen à la bibliothèque de Cormontreuil et à la médiathèque Laon-Zola, Marzi, planches de BD au collège Pierre-de-Coubertin - Chemin de conception d'un album à la bibliothèque de Saint-Brice-Courcelles.
Vendredi 28 mars à 20 h 30 : rencontre-débat avec les auteurs invités à la salle polyvalente de Cormontreuil.
Samedi 29 mars 9 à 19 heures : salon du Livre de Jeunesse à la salle polyvalente de Cormontreuil 10 boulevard d'Alsace-Lorraine.
Infos sur www.lire-et-delires.fr
L'Union du 16 mars 2008

Reims
Football : les 18 ans premiers en promotion d'honneur

Les 18 ans de Sainte-Anne sont en promotion d'honneur (PH). Récemment, ils ont été jusqu'en trente-deuxième de finale de la coupe Gambardella. « Notre objectif, c'est d'être les champions de PH (promotion d'honneur) pour remonter en DH (division d'honneur). L'ossature est essentiellement formée de première et de deuxième années. Certains ont évolué au Stade de Reims, et d'autres au club. Nous voulons finir leur formation afin de les préparer à intégrer l'équipe senior le plus tôt que possible », confie Guillaume Richard, entraîneur.
Aujourd'hui ils sont premiers ex Aequo. « La situation n'est pas facile parce qu'on a l'obligation de gagner les matches restants. C'est la condition sine qua non pour être en tête du championnat sans compter sur les faux pas des autres. Le plus compliqué : on a des garçons qui étaient en 14 ou 16 ans fédéraux et jouaient tous les week-ends après-midi contre des formations de renom, alors qu'actuellement on se retrouve à disputer les matches le dimanche matin. Forcément la motivation n'est pas la même. »
Le groupe « aime gagner mais jouer ; on est dans un championnat où la qualité football n'est pas la priorité. » Tinqueux est l'équipe concurrente pour le titre avec Chooz.
L'Union du 16 mars 2008

Reims
MUNICIPALES 2008 / Renaud Dutreil : les raisons d'un échec
Dimanche, Renaud Dutreil votera pour Catherine Vautrin. Non pas qu'il appelle à voter pour elle mais parce qu'elle est celle dont le bulletin portera le sigle de l'UMP, son parti.

Jusque-là, tout lui avait réussi à Reims. Elu député l?an dernier, Renaud Dutreil a échoué sur la marche des municipales. Début d?explications.

Le style
Jeune, présentant bien, sourire « golden boy aux dents longues », par moments à la limite du sans-gêne? le style Dutreil a parfois agacé.
Dans une ville de tradition centriste, plutôt tranquille, où l'on aime être discret et réservé, cette façon de faire de la politique a entraîné davantage de rejet que d'adhésion.
Certains aussi lui reprochent d'avoir fait beaucoup de promesses à beaucoup de monde sans pouvoir y donner suite faute de places sur sa liste.
La classe politique rémoise
Son arrivée n'a pas du tout été appréciée ? c'est un euphémisme ? des élus en place. De gauche à droite, on a fait front uni contre cet « étranger venu marcher sur (leur) terre ». Dans le microcosme politique, on a aussi peu goûté à certaines pratiques lors des précédentes élections législatives où l'on a vu circuler un tract rappelant que Jean Falala, décédé, avait de son vivant appelé à voter Dutreil.
Le tramway
C'était son dossier, celui où il se démarquait des autres en s'opposant à ce projet. Son discours a été balayé par « un coup de poignard politique » à trois jours du scrutin avec le communiqué du ministre Dominique Bussereau annonçant la signature de la déclaration d'utilité publique. Impossible de penser que cela a été innocent, d'autant plus que les ministres sont en général tenus par un devoir de réserve sur les grands dossiers lors des campagnes électorales. Outre les lobbies dénoncés par Renaud Dutreil, sans doute Dominique Bussereau n'avait-il que très moyennement apprécié que le candidat UMP le cite dans sa campagne comme lui ayant garanti de ne pas publier tout de suite l'arrêté de la DUP s'il était élu.
Les sondages
Le sondage TNS-Sofres Logica pour l'union, publié le 28 février, a dû marquer les esprits chez certains électeurs de droite qui hésitaient encore. Jusqu'à présent, pour beaucoup, le seul candidat qui pouvait faire barrage à la gauche, c'était Renaud Dutreil. Même s'ils n'étaient pas d'accord sur tout avec lui, ils allaient voter pour le candidat UMP. Fin février, le sondage montrait pour la première fois que c'était en fait Catherine Vautrin qui apparaissait comme la mieux placée pour le second tour. Cela a sans nul doute influencé certains électeurs dans leur choix.
Le contexte national
Si en 2007, être le candidat UMP était un avantage ? Renaud Dutreil et Catherine Vautrin s'étaient d'ailleurs battus pour avoir l'investiture ? c'était beaucoup moins le cas en ce début mars. Le contexte national, avec un Nicolas Sarkozy en perte de vitesse dans les sondages, a pesé sur la campagne et la candidature de l'UMP officiel Renaud Dutreil.
Et maintenant?
Renaud Dutreil est toujours député de la Marne. Restera-t-il à Reims après sa défaite ? Il a toujours dit que oui. L'avenir le confirmera. En attendant, dimanche, il votera pour Catherine Vautrin. Non pas qu'il appelle à voter pour elle (voir notre édition d'hier) mais parce qu'elle est celle dont le bulletin portera le sigle de l'UMP, son parti, c'est tout.
Grégoire Amir-Tahmasseb


Catherine Vautrin peut-elle gagner ?
Une droite divisée face à une gauche unie, un premier tour avec une candidate PS loin devant, un contexte national difficile? le spectre de 1977 et de la victoire communiste plane à droite sur ces municipales....
(L'Union du 12 mars 2008)
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Reims
Le bâtiment recrute et le fait savoir par le club Cobaty
Brochette féminine pour promouvoir les métiers du bâtiment : Mmes Thépenier et Béguinot (Mission locale), Hodin (Gieq) et Chopard (Cobaty).

Comme leurs confrères des travaux publics, les professionnels du bâtiment battent la campagne à la recherche de plusieurs milliers de collaborateurs plus ou moins spécialisés. S'agissant des « moins » ne dépassant pas les 26 ans, le club « Cobaty » et ses partenaires, la Mission locale pour la jeunesse et le Groupement d'employeurs pour l'insertion, l'emploi et la qualification (GIEQ), se sont réunis ces jours-ci pour confronter les besoins et la capacité d'y répondre.
Papy-boumers
« Cobaty » est une sorte de club de réflexion sur « l'acte de bâtir », qui réunit une cinquantaine de professionnels à Reims, sous la présidence de Catherine Chopard. L'emploi constitue l'une de ses préoccupations, puisqu'il faut à la fois recruter les remplaçants des « papy-boumers », à tous les niveaux et jusqu'aux chefs d'entreprises, et trouver les compétences liées aux nouvelles techniques. Autant dire que certains métiers sont en situation « tendues » et que la survie de certaines entreprises est menacée, faute de candidats.
Nombre des entreprises les plus pressées vont chercher leurs collaborateurs chez leurs concurrents. Les autres font la sortie des lycées et écoles professionnelles qui, heureusement croulent sous la demande. Mais cela ne suffit pas encore. Aussi, est-il proposé à certains jeunes de se réorienter vers le BTP, en les sélectionnant moins pour leur « savoir-faire » que pour leur savoir-être, lequel sera amélioré le cas échéant.
De 350 à 400 des 6.000 jeunes suivis...
(L'Union du 12 mars 2008)
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Reims
MUNICIPALES 2008 / L'UMP investit Vautrin et demande à Dutreil de se désister
On se demandait ce qu'allait faire Renaud Dutreil, battu dimanche dans la primaire qui l'opposait à Catherine Vautrin. C'est finalement l'UMP nationale qui a tranché.


On se demandait ce qu'allait faire Renaud Dutreil, battu dimanche dans la primaire qui l'opposait à Catherine Vautrin. C?est finalement l'UMP nationale qui a tranché.

La rupture entre l'UMP Renaud Dutreil, battu dimanche soir lors de la primaire qui l'opposait à la divers droite Catherine Vautrin à l'élection municipale de Reims, est désormais consommée.
Hier soir, au terme d'une journée un peu folle au cours de laquelle le ministre battu a proposé à son ancienne collègue de faire fusionner leurs listes en intégrant 19 conseillers de sa propre liste, plus divers éléments de son programme -une proposition jugée un peu trop gourmande par la Rémoise, l'UMP nationale a finalement tranché

Pas de consigne de vote
La commission nationale d'investiture de l'UMP, présidée par son secrétaire général, Patrick Devedjian, « a décidé d'investir Catherine Vautrin » et a invité son candidat officiel, Renaud Dutreil, « à se désister en sa faveur pour le second tour de dimanche prochain en respectant l'accord de désistement réci proque qui avait été pris devant la commission nationale d'investiture. »
Estimant qu'« On ne peut gagner à Reims que s'il y a un vrai rassemblement, une vraie volonté de réconciliation qui ne peut passer que par une fusion de listes », Renaud Dutreil a répondu du tac au tac avec l'accord de ses colistiers.
Déplorant « le mépris de Catherine Vautrin qui n'a pas voulu négocier », il « ne peut appeler à voter pour Mme Vautrin et laisse la liberté aux électeurs de voter comme ils le veulent. A titre personnel », a-t-il ajouté, « je mettrai dans l'urne un bulletin sur lequel je vais écrire le mot UMP. Et je déplore que Catherine Vautrin n'ait pas saisi la possibilité qui lui était offerte de gagner à Reims. » Dimanche soir, la candidate PS-PCF-Verts avait un boulevard ouvert devant elle. Depuis hier, c'est une autoroute.

Alain Moyat
(L'Union Du 11 mars 2008)
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Reims ÉCO / L'opticien Hans Anders annonce 70 emplois à Reims

C'est la 31e entreprise accompagnée par Reims Champagne Développement. Mais la première à caractère industriel. Le groupe hollandais Hans Anders Opticiens a annoncé officiellement ven dredi, à la CCI de Reims et d'Epernay, son implantation au cours de ce premier semestre 2008.
Il s'agit d'ouvrir à Reims un centre de meulage et de logistique qui doit générer 70 emplois : 20 dès cette année, 20 en 2009, 30 en 2010. Et davantage peut-être à l'avenir pour accompagner les ambitions du groupe, qui prévoit d'ouvrir à terme 750 magasins en France. Centre de logistique et de production, le site rémois deviendrait un des plus grands centres de meulage en Europe. L'objectif est d'y produire un million de lunettes par an. Siège social de Hans Anders en France, il verra la création d'un centre de formation interne.
« Nous avons les clés depuis lundi », ont annoncé les investisseurs, qui vont s'installer dans les bâtiments d'une ancienne imprimerie située rue André-Huet à Reims. La plate-forme qui s'étend sur 2.500m2 de locaux, doit voir son activité démarrer dès cet été. Moyennant un investissement de 1,8million d'euros dès cette année. Dont 1,4million pour l'équipement industriel.
Les responsables ont justifié le choix de Reims pour son accessibilité et sa proximité avec le siège néerlandais et la Belgique, ainsi que pour le bon accueil rencontré.
Des magasins
Le groupe néerlandais annonce également son arrivée dans la région par l'ouverture d'un magasin vers avril-mai à...
(L'Union Du 11 mars 2008)
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Reims
Le tourisme rapporte 120 millions d'euros
Quelles sont les retombées économiques du tourisme dans la grande agglomération rémoise en 2007 ? Une étude vient d'être réalisée à ce sujet. Elle chiffre les retombées directes à près de 120 millions d?euros.

Quelles sont les retombées économiques du tourisme dans la grande agglomération rémoise en 2007 ? Une étude vient d'être réalisée à ce sujet. Elle chiffre les retombées directes à près de 120 millions d'euros.

La France est, on le sait, la première destination touristique au monde, mais la troisième seulement en matière de retombées économiques, derrière les Etats-Unis et l'Espagne. Qu'en est-il à Reims ? Pour le savoir, et ainsi permettre à l'office du tourisme de mieux définir la stratégie à adopter, le cabinet de conseil et marketing rémois Efficience 3 a été chargé d'une étude sur la question. Son directeur Jean-Pierre Gimat et Eléonore Bonnard, directrice de l'office du tourisme, viennent de présenter ses conclusions, en présence du président de l'office Michel Feck et du maire Jean-Louis Schneiter. Le fruit d'un gros travail duquel il ressort un chiffre : 119.134.000 ? en 2007 : le tourisme est un secteur économique à part entière.
Pour obtenir ce résultat en l'absence d'outil annuel, le cabinet a travaillé sur la zone de couverture de l'office du tourisme, à savoir Reims métropole, et les communautés de communes Champagne Vesle et Vesle Montagne de Reims. Il a collecté les données existantes auprès des syndicats professionnels, de l'INSEE, des comités départementaux et régionaux du tourisme, défini une semaine moyenne, la troisième semaine d'octobre, et réalisé une enquête auprès de 400 professionnels : hôteliers, restaurateurs, cavistes, viticulteurs, commerçants? dont 120 seulement ont répondu.
Les chiffres de fréquentation de l'office du tourisme ont bien sûr été pris en compte : près de 76.000 demandes en 2007, dont 53 % émanant d'étrangers et 47 % de Français parmi lesquels c'est l'effet TGV de plus en plus de Franciliens.
Un constat s'impose : près de la moitié des retombées concerne la restauration, avec un total de 58.049.000 ?. Si le prix moyen d'un repas avoisine les 30 ?, il cache de grandes disparités.
« Cela va du sandwich au repas gastronomique et au recours à un traiteur dans les caves de champagne pour la clientèle d'affaires », note M. Gimat. Le tourisme loisirs en individuel ou en groupe est ici majoritaire.
Surtout la restauration
C'est en revanche la clientèle professionnelle qui prime lorsque l'on considère l'hôtellerie (57 %). Le parc rémois est d'ailleurs plutôt orienté vers le haut de gamme avec un tiers des 54 hôtels en 3 ou 4 étoiles. Chiffre d'affaires total : 38.987.000 ?. Là aussi, l'effet TGV se fait sentir : « Entre 2006 et 2007, Reims est la ville qui a connu la plus forte hausse du taux d'occupation. Il est passé de 61 à 66 % », se félicite Eléonore Bonnard.
Les commerces, notamment de souvenirs,....
(L'Union Du 11 mars 2008)
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Reims
MUNICIPALES / Les Rémois pas champions de la participation
Hier matin, les femmes ont souvent été bien plus courageuses que les hommes pour aller faire leur devoir civique. Ici à 8 h 05 à l'école Henri-Barbusse.

Le retour aux urnes traditionnelles n'a pas posé de problèmes hier dans les 94 bureaux électoraux. Froid le matin, pluie l'après-midi, les Rémois ne se sont pas précipités pour voter. A 17 heures, ils étaient 47,27 % à avoir voté contre 45,67 % en 2001.

RETOUR aux urnes traditionnelles hier pour le premier tour des élections municipales où sept candidats étaient en lice. Pas dépaysés, les scrutateurs ont parfaitement rempli leur mission malgré des températures pas toujours très élevées dans les écoles. À 10 heures, la participation dans les 94 bureaux était de 7,48 % contre 6 % en 2001 à la même heure. A 17 heures, 47,27 % (contre 45,67 %) (lire les résultats et les commentaires dans notre cahier spécial).
Pause

Dans certains bureaux était affiché un avertissement : « La machine à voter fait une pause ». Et d'expliquer que « la mairie a fait preuve de prudence face à un flou juridique qui n'a pas été levé à temps par l'État. »
Contrôle

Cinq délégués, deux magistrats et un représentant de la sous-préfecture ont tourné dans les bureaux pour s'assurer du bon déroulement de l'élection.
Pliage
Deux arguments des partisans du vote électronique : « Avec le vote papier, on perd plus de temps et ce n'est pas facile de glisser son bulletin dans une enveloppe ridiculement petite ».
Vote européen

Un Belge au bureau 74, deux Portugais, un Espagnol et un Italien au bureau 74 etc. Le scrutin municipal était aussi ouvert aux citoyens européens.
Ils ont voté aussi

À l'école élémentaire de l'hippodrome, les CM1 ont indiqué qu'eux aussi avaient voté. Sur les projets d'un nouveau coin pour jouer aux billes et un coin repas à améliorer.
Gâtés
Sympa le boulanger Feuillet (Wilson). Il a offert des croissants et des pains au chocolat aux scrutateurs de l'école Chemin des....
(L'Union du 10 mars 2008)
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Reims
MUNICIPALES 2008 / Adeline Hazan loin devant Vautrin devant Dutreil
Avec 42,08 % des suffrages exprimés, Adeline Hazan(au centre) devance nettement ses adversaires. La socialiste fait sept points de mieux qu’en 2001.

Les sondages donnaient Adeline Hazan en tête au premier tour, largement. Les résultats vont sans doute au-delà des espérances de la candidate soutenue par le PS, le PC et les Verts. Avec 42,08 % des suffrages exprimés, elle devance nettement ses adversaires. La socialiste fait sept points de mieux qu’en 2001.

A droite, la division a fait des victimes. Renaud Dutreil en premier lieu qui se présentait sous l’étiquette UMP et qui perd la primaire. Avec 23 % des suffrages exprimés, il arrive en troisième position avec 1.186 voix de retard sur sa rivale de droite, Catherine Vautrin (DVD-Modem).
Pour le second tour, lui qui a très longtemps dit que celui qui arriverait en seconde position à droite devrait se retirer, ne s’est pas exprimé sur la question hier soir, renvoyant sa décision à ce midi. En sept ans la droite perd cinq points. Avec 4,32 % l’extrême droite ne pourra peser sur le second tour en se maintenant ou jouer les alliances.
A gauche, la socialiste Adeline Hazan a drainé derrière elle une grande partie de l’électorat, étouffant l’extrême gauche. Si la liste « Alternative citoyenne » soutenue par Olivier Besancenot retrouve un score proche de celui de 2001, Lutte ouvrière perd 4 points.

Pour le second tour, la député européenne PS part en pôle position de force. D’autant plus qu’à droite le report des voix risque de ne pas être parfait.
G.A.-T.
(L'Union du 10 mars 2008)

Reims

Vranken fait le vide autour de sa villa
Les fenêtres du 34 boulevard Diancourt (la maison dans le fond sur la droite) donne sur l'entrée de la villa Cochet devenue siège du champagne Demoiselle. Ce serait la raison de l'opération de rachat.
Remi Wafflart

Le géant du champagne, propriétaire de la villa Cochet, a besoin d'intimité. Il a racheté tous les appartements de ses voisins. À force d'incitation financière.

Ils n'avaient aucune envie de vendre leur appartement. Lui a presque 73 ans, elle n'en a qu'une petite soixantaine mais n'a pas la chance d'être en bonne santé. Ils vivent au 34 de l'avenue Diancourt depuis 53 ans. Le couple pensait y finir ses jours. C'était sans compter avec leur voisin Paul-François Vranken qui a fait basculer leur vie et celle de leurs voisins il y a huit mois de cela.
Le propriétaire des champagnes Vranken, Demoiselle, Pommery est aussi propriétaire de la villa Cochet devenu villa Demoiselle. Majestueuse demeure où a notamment vécu Louis Cochet, directeur général de Pommery.
Laissée pendant des années à l'abandon, la maison est presque totalement rénovée. Elle en impose à nouveau sur le boulevard qui mène aux Crayères et au parc de Champagne. Seulement et c'est le défaut de cette villa, son entrée est visible de certaines fenêtres du 34 avenue Diancourt.

« Il n'a qu'à mettre des rideaux »

« M. Vranken aurait dit qu'il ne voulait plus avoir de vis-à-vis », confie un habitant de la maison. Il se raconte que Paul-François Vranken voudrait recevoir dans sa villa sans que ses invités, célébrités ou hommes politiques, puissent être reconnus par les voisins. « Il n'a qu'à mettre des rideaux. Nous, on s'en moque de qui il fréquente ». Lui pas. Apparemment du moins.
En juillet dernier, il a envoyé un mandataire rendre visite à chacun des copropriétaires de la maison devenue encombrante. Ils sont une demi-douzaine. « On nous a dit : M. Vranken veut racheter toute la maison. Il va vous faire une offre », raconte l'un d'eux.
L'offre est arrivée chez chacun par.....
(L'Union du 8 mars 2008) Lire la suite

Reims

« Cette maison me servira d'annexe »

La maison ne sera pas démolie. « Je m'en servirai comme annexe de la villa Demoiselle. J'ai l'intention de faire profiter de ce patrimoine exceptionnel à de nombreux visiteurs. J'ai 2.600 mètres carrés à leur montrer, j'ai donc besoin d'une maison à proximité pour le personnel et toute l'intendance », explique Paul-François Vranken. Qui n'évoque pas son besoin d'intimité.
Quant à l'opération d'achat : « Je n'ai eu aucun contact avec les différents propriétaires qui ont tous accepté de vendre ».
C'est son notaire qui s'est chargé de conclure l'affaire. Ce dernier explique qu'une estimation a, dans un premier temps, été faîte et que sur cette base « on a demandé à chaque propriétaire de fixer son prix. Ils ont tous demandé et obtenu un prix supérieur à l'estimation et ont eu la possibilité de se faire assister de leur propre notaire ».
Une opération tout ce qu'il y a de régulier. « Tout le monde a été d'accord pour vendre. Il n'y a eu ni pression, ni intimidation ». Pour le cas des copropriétaires les plus âgés qui n'ont toujours pas envie de partir même s'ils ont signé : « S'ils ont pu se sentir obligé de vendre, c'est peut-être sous la pression des autres propriétaires. En aucun cas pas sous la pression de M. Vranken ou de moi-même ».
C.F. (L'Union du 8 mars 2008)

Reims

De l'utilité des Rencontres internationales de télévision
Nina Companeez avec les responsables rémois des RITV. JFS

La 21e édition des Rencontres internationales de télévision a été annoncée officiellement hier par Jean-Louis Schneiter.
Le maire de Reims était entouré de la présidente du jury, la réalisatrice Nina Companeez ; de « l'opérateur historique », Maurice Frydland ; de la présidente de l'association des RITV, Marie-Élisabeth Deroche-Miles et de sa secrétaire générale, Dominique Attal.
Cette manifestation se déroulera à la Comédie du 26 au 30 mars. Elle est présentée comme « un grand cru, avec des films magnifiques », venus notamment d'Allemagne et d'Afrique du sud.
L'occasion aussi d'annoncer la création en septembre d'une filière numérique à l'IUT pour la radio et la télévision, en lien avec une université et deux chaînes britanniques, et avec le lycée Saint-Jean-Baptiste de la Salle. Enfin, la présidente Deroche-Miles a averti qu'elle rencontrerait les deux candidats aux municipales de Reims pour le second tour, de façon à pérenniser les RITV au-delà des élections, après leur souhait exprimé de remettre en cause cette opération « plus connue à l'étranger qu'en France ».
(L'Union du 8 mars 2008)

Reims

Mille choeurs pour un regard demain dimanche

Au mois de mars, depuis plus de dix ans a lieu dans toute la France « Mille choeurs pour un regard » ; l'événement choral le plus important de France avec plus d'un millier de concerts donnés.
« Mille ch?urs pour un regard » permet de financer des programmes et des bourses de recherche mais aussi de faire connaître à tous les différentes maladies de la vue.. L'association Retina France a été créée en 1994 dans le but d'informer et aider toutes les personnes atteintes de dégénérescences rétiniennes mais aussi aider et faire avancer la recherche médicale dans ce domaine.
L'événement est parrainé chaque année par un chanteur de renom. Cette année, c'est Nolwenn Leroy qui apporte sa contribution.
Comme chaque année, la chorale du foyer communal de Taissy « Les Taissy-Tures » donnera donc un concert à Taissy, sous l'égide de « Mille ch?urs pour un regard ». Celui-ci aura lieu dimanche 9 mars à 16 heures à la salle de conférences au centre de conférences et d'animation (salle en rez-de-jardin, sous la salle d'animation). Se joindra à elle la chorale « Rèmes en Si » de Reims.
(L'Union du 8 mars 2008)

Reims

MUNICIPALES 2008 / L'union pour la diversité républicaine soutient Dutreil

Hier après midi, à la permanence du candidat UMP.

« Renaud Dutreil n'a pas découvert la diversité au jourd'hui. Ministre des Pme, il a aidé beaucoup de jeunes à s'intégrer par l'économie.
De plus, nous constatons que sur sa liste il y a neuf personnes issues de la diversité, voilà pourquoi nous soutenons son action et voulons qu'il soit maire de Reims. »

Président de l'union pour la diversité républicaine (UDR), un mouvement qui milite pour « que la diversité, de toutes origines, soit visible dans la société, et s'engage dans la vie de la cité », Séga Doucouré, entouré de Jean-Claude Valdemar, président de l'association franco-haïtiens, était hier à Reims avec une petite délégation pour dire sa confiance et son soutien dans la liste « Pour que ça change à Reims ». Avec des mots simples mais avec conviction, le président de l'UDR a salué aussi tous ces colistiers de Renaud Dutreil « qui s'engagent, qui ont envie de prendre leur destin en main et de se mettre au service de tous les Rémois. »
Alain Moyat
(L'Union du 7 mars 2008)

Reims

Le tramway enfin sur ses rails

Place aux ingénieurs, techniciens, médiateurs et ambassadeurs. Enfin libérés du contexte politique grâce au soutien de l'Etat, les concepteurs du tramway n?ont désormais plus que la technique en tête.

Le soutien de l'État a tout changé pour le tram. Les entreprises peuvent se mettre au travail sereinement et tous les acteurs se sentent libérés du contexte politique.

Les entreprises qui construisent le tramway viennent de passer la seconde. La société Mars qui coordonne le tout préfère ne pas communiquer sur ses activités à l'avant-veille des municipales.
Ses dirigeants n'avaient pas prévu que le tramway se retrouve enjeu principal du premier tour et cela les a embarrassés plus qu'autre chose. Mais c'est du passé.
Depuis mercredi, l'État leur a donné les moyens de travailler sereinement, enfin libérés du contexte politique.
La première chose à faire sera de reconstruire le planning que l'attente a rendu obsolète. Les ambassadeurs du tram vont pouvoir être recrutés par Reims Métropole et la médiatrice arrivée la semaine dernière va se faire connaître.

Dans l'antre d'Alstom à La Rochelle où le moule du « nez » rémois a déjà été coulé, ceux qui organisent les chaînes de fabrication vont programmer la conception de la première rame. Celle-ci doit être livrée en novembre 2009. La fabrication des rails va également être lancée. Le stade des études terminé, ce sont les ingénieurs et techniciens qui vont devenir tout puissants.

De la polémique à la technique

En ville, les travaux, hors fouilles archéologiques déjà en cours, ne devraient pas commencer avant la fin du mois. Ils auront lieu simultanément sur tout le tracé, par tronçon. Avant cela, une information sera faite aux commerçants concernant notamment leur indemnisation.

L'ambiance a changé chez Mars. Ce qui était sujet de polémique est devenu sujet technique et, sans le dire, tous...
(L'Union du 7 mars 2008) Lire la suite

Reims

Croix-Rouge L'atelier batterie menacé de fermeture

Bertrand Stogowski, pivot des ateliers musique de l'espace Ethnic's.

Après huit ans passés au sein de la Maison de quartier Croix-Rouge, après deux C.E.S. et trois C.A.E., Bertrand Stogowski arrive fin avril au terme de son dernier contrat a durée déterminée, ce qui provoque l'inquiétude des adhérents : « Quel avenir pour l'atelier batterie de la Maison de quartier Croix-Rouge (espace Ethnic's) ? Malgré la précarité de son poste, Bertrand Stogowski a toujours su nous apporter son savoir, son expérience, son professionnalisme avec un sens de la pédagogie remarquable. Il n'a jamais abandonné la batterie malgré la complexité de son apprentissage. »
Le collectif rappelle que l'atelier batterie réunit chaque année une vingtaine d'adhérents mais aussi les enfants des écoles Maison-Blanche et Blanche-Cavarrot, les élèves du collège Joliot-Curie, ainsi que les jeunes Rémois bénéficiaires de la carte « Reims Vital'ado » mise en place par la municipalité.
« Membre de l'équipe d'Ethnic's, espace implanté au c?ur du quartier Croix-Rouge, Bertrand est l'un des piliers du milieu socio-culturel dans la poudrière que peut devenir ce quartier, l'un des principaux acteurs des différents Festivals « Croix-Rouge s'affiche », mais fin avril tout cela devrait s'arrêter. Nous demandons aux responsables de l'association de sauver cet atelier : la musique sans batterie, c'est un peu une voiture sans moteur ou un vélo sans roue ! »
Nous avons sollicité des éléments de réponse sur l'avenir de Bertrand Stogowski et de l'atelier batterie auprès de la direction de....
(L'Union du 7 mars 2008) Lire la suite

Reims

TAISSY Les glycophiles ont rendez-vous
Il y a les collectionneurs de capsules de champagne ; ce sont les placomusophiles. Les collectionneurs d'étiquettes de boîtes à fromage sont les tyrosémiophiles. Le philocorbolien s'intéresse quant à lui aux corbillards !
Et puis, il y a les glycophiles qui collectionnent les emballages de sucre avec son contenu. Si l'emballage est vide, il s'agit d'un périglycophile?
Créé en 1984, le club des glycophiles français regroupe actuellement quelque 580 adhérents répartis dans tout l'Hexagone. Membre de l'association depuis quatre ans, Mme Dupin a organisé, l'an dernier, une première bourse d'échange à la salle d'animations de Taissy. De nouveau cette année, elle propose à ces amateurs de se retrouver au même endroit le dimanche 9 mars à partir de 10 h 30.
Les exposants venus de toute la France mais aussi de Belgique proposeront des dizaines de milliers de petits sachets. Avec près de dix mille références, Mme Dupin s'estime débutante. L'an dernier, un exposant belge ne revendiquait pas moins de 120.000 références?
On y trouvera donc des sucres en morceaux, en dosettes, en sachets ou en berlingots répertoriés par thèmes selon les marques.
Outre les marques françaises, certains collectionnent également les produits étrangers. Ce qui donne davantage d'attrait encore à la collection.
Renseignements auprès de Mme Dupin, Tél. 03.26.08.21.65. ou jean-claude.dupin@wanadoo.fr
Bourse d'échange dimanche 9 mars de 10 h 30 à 16 heures à la salle d'animation de Taissy.
(L'Union du 7 mars 2008)

Reims

MUNICIPALES 2008 / Le tramway est validé
La déclaration d?utilité publique tant attendue a été signée. C?est le ministre des Transports qui l?a fait savoir hier soir dans un communiqué. Il a aussi annoncé que l?Etat allait contribuer au financement des travaux. Le maire se félicite et les candidats réagissent.

Le ministère des Transports a annoncé hier que la déclaration d'utilité publique du tramway était signée. Il a ajouté que l'État contribuerait au financement des travaux.

Coup de théâtre ! Le tramway ne devrait normalement plus être un enjeu électoral. Hier, par un communiqué de presse, le secrétariat d'État chargé des Transports a fait savoir que la déclaration d'utilité publique (DUP) relative au tramway de Reims « a été signée ». Même si certains candidats aux municipales l'affirmaient depuis plus d'une semaine, le préfet de la Marne s'était toujours refusé à confirmer.
Renaud Dutreil, candidat UMP qui fait campagne contre le tramway, avait encore répété hier dans nos colonnes : « Si je gagne les élections, l'arrêté de DUP ne sera pas publié contre mon avis ». Avant hier, toujours dans nos colonnes, il avait déclaré : « J'ai l'assurance du ministre des Transports que la DUP ne sera pas publiée tant que je n'aurai pas négocié avec le groupement Mars ».
Certes, la déclaration d'utilité publique n'est pas publiée, elle est « seulement » signée, mais c'est le cabinet de Dominique Bussereau, secrétaire d'État chargé des Transports lui-même qui a choisi de faire savoir qu'elle était signée. Et ce avant les élections.
On peut donc considérer que, depuis hier, le projet du tramway est officiellement soutenu par l'État, donc par la majorité politique à laquelle appartient Renaud Dutreil.
Il n'est pas soutenu que verbalement. L'État annonce dans le même communiqué qu'il « contribuera au financement du projet dans le cadre du programme de développement des transports collectifs en sites propres, prévu par le Grenelle environnement ». Autrement dit, le tramway de Reims va bénéficier des subventions de l'État et le budget va s'en trouver d'autant allégé.

Environ 70 millions de subventions

Il n'est pas encore possible de chiffrer le montant de l'aide mais il devrait osciller entre 20 et 25 % du coût total, soit environ 70 millions d'euros.
Il n'est pas d'usage de laisser passer un long laps de temps entre la signature d'une DUP et sa publication. Souvent, les deux actions se font dans la même journée. Surtout quand des intérêts économiques et des emplois sont en jeu. Sera-t-elle publiée avant le premier tour ? Pas sûr en raison du contexte politique. Encore que. Rien ne devrait plus empêcher l'État de permettre les travaux de commencer.
Catherine Frey
(L'Union du 6 mars 2008)

Reims

Gravure et chanson pour « Les ateliers de la culture 2007 »
Félicitations à tous ceux qui ont collaboré à ces ateliers cuturels.

« Un bonheur partagé qui laissera des traces » : les ateliers de création artistique organisés par la Ville de Reims en 2007 ont donné naissance à un ouvrage, qui a été remis aux différents acteurs du projet le mardi 4 février par l'adjoint Mario Rossi.
Il a salué tous ceux qui ont fait vivre cette aventure culturelle à des publics très divers.
Le livre, intitulé « Les ateliers de la culture 2007 » vient enrichir la collection éditée par la Ville et commencée en 2004 avec « Les ateliers du grand jeu » et « Le Grand jeu des lycéens», suivi en 2006 par «Les ateliers art déco ».

A la médiathèque Croix-Rouge

Ce quatrième volet - illustré, étape par étape, par des photographies de Guillaume Gellert - s'ouvre sur les ateliers gravure conduits par Marie-Christine Bourven, d'octobre 2006 à mars 2007 avec, en point d'orgue, une exposition présentée à la médiathèque Croix-Rouge en avril et mai 2007.
On pouvait alors voir deux surprenants cabinets de lecture aux parois gravées.
Pas moins de 107 participants y avaient collaboré (La maison de quartier Croix-Rouge, la 3e1 du collège George-Braque, les CM2 de Galilée et Provencaux, L'Institut Fandre, le Secours catholique et la Solidarité départementale, l'association Recto-Verso).

Au Conservatoire

La seconde partie de l'ouvrage est consacrée à l'atelier « Chanson française » qui a mobilisé 13 personnes de la maison de quartier Orgeval.
Cette partie s'ouvre sur une préface de Bernard Weber, qui a guidé le groupe vers « les mots....
(L'Union du 6 mars 2008) Lire la suite

Reims

MUNICIPALES 2008 / Tramway : les « assurances » ministérielles de Dutreil
« J'ai l'assurance du ministre des Transports que, si je gagne l'élection, l'arrêté de la déclaration d?utilité publique ne sera pas publié tant que je n'aurai pas renégocié avec le groupement Mars », indique Renaud Dutreil.
Déclaration d'utilité publique signée ou pas, le candidat Renaud Dutreil assure que l'arrêté concernant le tramway ne sera pas publié tout de suite s'il est élu.
Au moment où l'on s'interroge de la signature ou pas de la déclaration d'utilité publique du projet tramway par le préfet, Renaud Dutreil persiste et signe : pour lui, rien est inéluctable, il sera possible de renégocier. Et le candidat UMP avance une nouvelle carte : le ministre des Transports.
« J'ai l'assurance de Dominique Bussereau que, si je gagne l'élection, l'arrêté de la déclaration d?utilité publique ne sera pas publié tant que je n'aurai pas renégocié avec le groupement Mars », précise Renaud Dutreil.
« Si je perds, l'arrêté sera publié dans la foulée de l'élection ». Est-ce dire que la DUP est déjà signée ? « Ce n'est pas la question », rétorque le candidat UMP. « L'important, c'est la publication de l'arrêté. C'est lui qui lancera tout. »
Sur la renégociation éventuelle du contrat, Renaud Dutreil explique avoir « le poids politique suffisant pour engager la renégociation ».
« Je réunirais autour de la table tous ceux qui comptent dans ce dossier. Je les connais tous, il n'y aura pas de problème. Je leur expliquerai qu'il faut tenir compte de l'élection et du message envoyé par les Rémois. Il est tout à fait possible de revoir un contrat sous la forme d'avenants. Bien évidement, le maire ne peut rien imposer. Il faut que les deux parties soient d'accord. » Et quand bien même obtiendrait-il un nouveau contrat, comment compte-t-il le faire passer au sein de la communauté d'agglo où la quasi totalité des maires a donné son feu vert au tramway version.....
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(L'Union du 4 mars 2008)

Reims

MUNICIPALES 2008 / LO défend « une politique municipale au service des travailleurs »
La liste Lutte ouvrière conduite par Thomas Rose et Véronique Bizlall a présenté hier après-midi ses principaux axes de campagne pour les élections municipales de Reims
« À Reims, Adeline Hazan a refusé notre proposition avant toute réelle discussion », regrettent les deux candidats. « Nous nous présentons comme en 1995 et 2001 sous nos propres couleurs pour défendre le camp des travailleurs et des classes populaires. Ce sera aussi l'occasion d'exprimer, sur le plan local, notre opposition à la politique du gouvernement et à la dictature du patronat. »
Emploi et économie.- Si les leaders de LO sont conscients qu'un maire ne peut pas tout, « une municipalité au service des travailleurs pourrait tout de même agir en ce domaine de l'emploi ». « Cela peut se faire en recourant le moins possible à la sous-traitance pour embaucher directement des employés municipaux (travaux publics, transport), en développant l'emploi public comme l'accueil de la petite enfance ou l'aide aux personnes âgées laissée trop souvent à des organismes où la plus grande précarité est la règle. »
Lutte ouvrière demande par ailleurs l'arrêt de toute subvention directe aux entreprises. « L'exemple de Ventana, repreneur un temps de Reims aviation qui a fait disparaître les subventions via le Luxembourg, ou celui du centre d'appel Atos dont les 500 emplois n'ont jamais vu le jour, montrent que l'argent doit servir au service public ».
Fiscalité et endettement.- La liste Lutte ouvrière plaide pour une....
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(L'Union du 4 mars 2008)

Reims

MUNICIPALES 2008 / Le président de Région soutient Adeline Hazan
Jean-Paul Bachy : « La région pourra mieux travailler en synergie avec Reims si Adeline Hazan est maire ».
Hier à midi, la candidate PS-Verts-PCF a reçu un soutien important en la personne de Jean-Paul Bachy, président du conseil régional de Champagne-Ardenne.
« Même si officiellement je ne suis pas socialiste, il est naturel que je soutienne Adeline Hazan qui fait partie de ma famille naturelle, celle des femmes et des hommes de progrès » a expliqué le patron de la Région. « On a déjà travaillé ensemble dans l'opposition de 1998 à 2001 à la Région. Aujourd'hui, Adeline Hazan a un rayonnement européen, elle fait vraiment partie du paysage politique depuis onze ans à Reims. Elle a su fédérer les forces de progrès de cette ville, ce qui n'était pas si facile, et nous avons la même vision sur le rôle que Reims doit jouer dans la région. »
Pour Jean-Paul Bachy, « Reims a besoin d'une nouvelle dynamique et doit être la ville phare de la région. Avec Adeline Hazan, Reims travaillera en bonne intelligence avec la Région, pas comme le maire sortant. Elle ne laissera pas passer les coopérations et les subventions possibles de la région. Adeline Hazan peut donner une dimension européenne à Reims en se tournant vers les universités de Liège, Louvain, Charleroi. Avec l'arrivée du TGV, il faut se tourner vers le Bénélux pour faire en quelque sorte contrepoids, pour que Reims ne soit pas la banlieue de l'Ile-de-France. Enfin, en matière économique, nous avons la même vision de ce que doit être l'agglomération tournée vers les autres intercommunalités, vers le pôle de compétitivité de.....
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(L'Union du 4 mars 2008)

Bétheny

Implantation d'un pôle logistique à Bétheny : 740 emplois à la clef
Jean-Louis Cavenne, maire de Bétheny, Jean-Louis Schneiter, président de Reims Métropole, Marc Frappa président de Faubourg Promotion et Patrice Lafargue président de l'Idec ont signé, hier à la salle polyvalente « la Comète » de Bétheny, l'accord pour l'implantation d'un pôle logistique dans le parc d'activités « Sous les vignes ».
Hervé OUDIN
La commune de Bétheny, Reims Métropole, le groupe Idec et Faubourg Promotion viennent de signer un accord pour l'implantation d'un pôle logistique dans le parc d'activités « Sous les vignes ». A l'horizon, la possible création de 740 emplois.
180.000 m2 d'entrepôts logistiques, de locaux et de bureaux sur 44 hectares de terrain : en signant l'implantation officielle d'un pôle logistique sur le parc d'activités « Sous les vignes », hier à la salle polyvalente « la Comète », la commune de Bétheny, Reims Métropole, le groupe Idec et Faubourg Promotion ont scellé les bases d'une future zone économique florissante. Une zone sur laquelle, les signataires prédisent la création de plus de 700 emplois.
Faire de ce site le premier parc logistique périurbain de l'agglomération est l'objectif avoué de Reims Métropole. L'idée, sous jacente depuis plusieurs années, a pris de l'ampleur l'année dernière. Reims Métropole, propriétaire des terrains, lance un appel à projets auprès d'une quinzaine de promoteurs spécialisés pour l'implantation d'activités logistiques sur le site. Trois candidatures sont déposées. Les dossiers sont étudiés en juin.
Faubourg Promotion, du groupe Idec ? sensibilisé par Reims Champagne Développement ?, remporte la mise. Six mois de négociations plus tard, la signature entre les différents acteurs ? Jean-Louis Cavenne, maire de Bétheny, Jean-Louis Schneiter, président de Reims Métropole, Marc Frappa, président de Faubourg Promotion, et Patrice Lafargue, président d'Idec ? a permis, hier, de franchir une nouvelle étape. « La dernière délibération date du 28 février », indique Jean-Louis Schneiter. « Le peu de temps entre « vouloir » et « agir » montre combien nous tenons à ce projet. »

Deuxième semestre 2009....
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(L'Union du 4 mars 2008)

dimanche 6 avril 2008

Informations - brèves sur Reims février 2008

Reims champagne actu

Informations, brèves sur Reims



Janvier 2008    Février 2008    Mars 2008    Avril 2008    Mai 2008    Juin 2008
Juillet 2008    Août 2008    Septembre 2008    Octobre 2008    Novembre 2008    Décembre 2008

Février 2008

Reims 27 février 2008

Reims
TERROIR / Charles de Fougeroux défend le (vrai) déjeuner de Reims

Charles de Fougeroux veut défendre le vrai déjeuner de Reims.
Rectangulaire et marron, ce biscuit est la « madeleine » de milliers de consommateurs régionaux. Charles de Fougeroux s'accroche à sa production pour défendre le patrimoine gastronomique régional. Son « Véritable déjeuner de Reims ».
IMAGINEZ-VOUS
? C'est l'hiver, le café au lait ou le chocolat est fumant, vous trempez délicatement un biscuit marron rectangulaire un peu épais. Attention, il faut avoir le coup de main. Le laisser à peine quelques secondes dans le liquide. Et là, par magie, il se délite très légèrement, devient fondant, presque mou, vous atteignez alors l?un des summums de la gastronomie du petit-déjeuner.
L'histoire du « Rem » démarre en 1933. « Il s'appelait déjà un déjeuner. À l'époque, les mères de famille l'émiettaient pour en épaissir les biberons », explique Charles de Fougeroux, PDG des biscuits Fossier. En 1951, ce biscuit fait partie des rations individuelles de l?armée. « C'était le produit phare de Rem. À l'époque, la tradition biscuitière de Reims était connue par-delà les frontières. La Biscuiterie Rémoise était installée sur trois sites : avenue de Laon, rue Perrin et rue du Mont-d?Arène. Près de 350 salariés y travaillaient. » Après la guerre, la Biscuiterie Rémoise développe son « Rem » avec des opérations de communication en vogue. « Dans les paquets, il y avait une photo d?un joueur de football de l'équipe de Reims. »
Elle continue à le fabriquer jusqu?en 1985, date à laquelle l'usine est rachetée par LU. Le « Rem » déménage pour être fabriqué dans le Pas-de-Calais. Charles de Fougeroux rachète la Biscuiterie Rémoise en 1994.

« Recette d'origine »

Mais le fameux emballage jaune reste entre les mains de LU et désormais du groupe américain Kraft. « J?ai dû changer le packaging et je l'ai appelé le Véritable...
(L'Union du 27/02/2008)
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Reims
Conseil municipal / Solidaires Marne gâche la dernière soirée du maire
Au terme de 31 années et 165 minutes passées au service de Reims et des Rémois, le maire Jean-Louis Schneiter a tiré sa révérence, hier soir. Dommage que le début de soirée ait été gâché par l'intrusion de syndicalistes réclamant un local.
PAS de musique ni de flonflons hier pour saluer la dernière séance de conseil municipal de Jean-Louis Schneiter après 31 ans de mandat. Juste un haut-parleur crachouillant par lequel Patrice Perret, entouré de manifestants portant drapeaux et affiches sur lesquelles on pouvait lire « Pour nous le syndicat, un toit, c'est un droit », a perturbé le début de séance. Parce que Solidaires Marne ne peut pas obtenir de local au sein de la Maison des syndicats, boulevard de la Paix.
Arrivé cinq minutes en retard à la réunion, une première depuis 31 ans, le maire a aussitôt levé la séance. Et, sous l'il un peu gêné de l'opposition restée dans l'hémicycle, devant un public, une fois n'est pas coutume, important, Patrice Perret a poursuivi son propos. « Au nom de l'égalité de traitement », il a demandé le retrait de la délibération allouant l'espace de la Maison aux seuls syndicats : l'Unsa, la CFTC, la CFDT et CGT-FO. « Nous voulons un espace ou une subvention pour louer un local. »
« On désapprouve la méthode », a dit la socialiste Adeline Hazan à la reprise de la séance. Et, après deux heures de débat, après que le PS, le PCF et les Verts eurent voté deux fois comme un seul homme contre des garanties d'emprunts à des organismes logeurs et contre le Plan local d'urbanisme, la question du local est revenue sur la table.
C'est Jacques Meyer (PS) qui a défendu Solidaires Marne. « La liste des syndicats est figée depuis 1966 et, entre-temps, de nouvelles centrales syndicales sont....
(L'Union du 27/02/2008)
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Reims
Le foot : au masculin comme au féminin !
Reims-Ste-Anne recevait l'équipe nationale du Luxembourg.
« Nous avions reçu il y a six mois l'équipe de Sainte-Anne et avons décidé d'un match retour. » Romain Jean, entraîneur de l'équipe féminine luxembourgeoise est venu ce dimanche avec 51 filles pour disputer les trois matches sur le terrain du stade Marcel-Thil. Grande première pour la sélection des 14 ans : « C'est leur premier match international ! Une bonne expérience pour elles. » Pour les seniors, la rencontre sera surtout un match de préparation.
L'équipe va en effet disputer en mai des rencontres de qualification comptant pour la F.I.F.A. « Nous allons jouer contre les Iles Féroé, le Kazakhstan et la Lettonie. Nous avons rassemblé les meilleures filles des quatre districts Ardennes, Aube, Marne et Haute-Marne » explique David Frérot, responsable régional adjoint de foot féminin.
Pour la catégorie des 16 ans, l'objectif est de préparer la coupe nationale de Vichy (du 13 au 19 avril). « Nous sommes les seuls en Champagne-Ardenne à avoir les trois tranches d'âge avec des équipes compétitives » se félicite René Molle, président de Sainte-Anne.

Faire la promotion du foot féminin

« Les Luxembourgeoises sont supérieures en vivacité et au niveau technique. Nous devons mettre en place une stratégie, arriver à les neutraliser en milieu de terrain pour jouer la contre-attaque » confie Sabrina Bourscheidt. La capitaine de l'équipe senior Sainte-Anne compte sur ses deux meilleures attaquantes pour faire la différence. « Ce qui nous motive dans le foot ? Le plaisir de jouer en... (L'Union du 27/02/2008)
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Reims
Le projet de brasserie du parvis commence à sortir des cartons
DE nombreux habitués du parvis de la cathédrale s'interrogent : quand pourront-ils s'asseoir à la terrasse de la future brasserie ? La réponse est : fin 2009. Les investisseurs, Philippe et François Clément ont déposé un, puis deux projets en mairie, pour obtenir leur permis de construire. Car en plus de la brasserie, ils ont un projet immobilier d'une huitaine de logements.

Voilà déjà plusieurs années que les Clément ont racheté l'ancien garage pour le transformer en brasserie. À l'époque, en 2003, leur idée était de conduire les travaux en même temps que ceux du parvis, pour une ouverture simultanée.
Un permis de démolir l'ancien garage a donc été déposé, puis obtenu. Et un premier projet de bâtiment « R + 4 » a fait l'objet d'une demande de permis de construire.
Mais dans le même temps, les jeunes investisseurs ont pu racheter le jardin et la maison situés à l'angle des rues des Fuseliers et des Tournelles. Ils ont donc imaginé que leur projet pourrait s'étendre sur toute l'emprise, en enjambant la petite voie privée qui la coupe en deux.
Le projet complet consisterait donc en la création d'un parking privé souterrain d'une dizaine de places, desservies par un ascenseur à voitures ; d'une brasserie donnant sur le parvis ; d'une salle de travail au premier étage et de cinq logements aux 2e, 3e et 4 étages. Dans le prolongement vers la rue des Tournelles, quatre autres logements seraient adjoints, de même que des cellules commerciales. La maison existante....
L'Union du 19/02/2008
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Reims
Tramway : le maire interpelle le préfet
Les opposants au tramway diront que l'on a mis la charrue avant les b?ufs et qu'il aurait fallu attendre avant de se lancer dans les travaux préparatoires? Le statu quo en attendant une déclaration d'utilité publique, ou pas, du tramway commence en tout cas à inquiéter de plus en plus les pro-tramway et les entreprises concernées.
Dans un courrier du 15 février classé « Urgent et confidentiel », rendu public hier, le maire de Reims interpelle le préfet sur les « inconvénients majeurs dûs au retard pris par la déclaration d'utilité publique ».

425 emplois menacés ?

Selon les calculs de Jean-Louis Schneiter, ce sont au total 425 empois qui sont menacés par ce retard. Et le maire de détailler dans son courrier : 80 personnes qui se retrouvent au chômage technique chez Mars, 80 autres touchées chez les sous-traitants et fournisseurs de la société.
« La collectivité devait recruter 15 ambassadeurs du tramway à partir du 1er mars qui de facto resteront au chômage » précise Jean-Louis Schneiter. Par ailleurs « les concessionnaires EDF, GDF et France Telecom ainsi que la communauté d'agglomération de Reims ont passé leurs marchés d'études et de travaux pour la déviation de leurs réseaux pour des opérations qui devaient débuter le 1er février. L'opération n'ayant toujours pas été déclarée d'utilité publique, 250 emplois sont directement affectés chez les sous-traitants des gestionnaires des réseaux ». Un peu trop alarmiste le maire de Reims ? Il enfonce en tout cas le clou en...
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Reims
Les pêcheurs de Reims ont de quoi être contrariés
Les membres du syndicat des pêcheurs de Reims et de sa région ont de quoi être contrariés. Car dans de nombreux domaines, les clignotants s'allument à l'orange. C'est le cas sur le plan financier, comme sur le plan de la pollution ou du réempoissonnement, ou encore de l'espace disponible.
Ainsi par exemple, l'exercice 2007 s'achève avec un résultat négatif de 10.577 ?. Une année d'autant plus défavorable que le ciel n'a pas été du côté des pêcheurs, lesquels ont eu à digérer les réformes de la pêche associative décidées par l'Union nationale pour la pêche en France.
De même, les épouses de pêcheurs devant s'acquitter de 30 ? pour obtenir une carte de pêche, le syndicat a décidé de prendre à sa charge 18 de ces 30 ?. Autrement dit, « un effort important », dont le président Jacques Roulance espère qu'il sera reconnu à sa juste valeur.

Investissement

Autre effort financier, mais d'investissement cette fois, la création d'un étang de pêche à Guemauchamp dans l'Aisne. Le syndicat a pu réduire la facture grâce à l'implication de bénévoles dans l'entretien de ce nouvel espace.
Parmi les sujets de préoccupations, les pêcheurs de Reims visent la « Coulée verte ». Autrement dit, l'aménagement des berges du canal, lieu de prédilection des pêcheurs, mais que ceux-ci doivent partager avec d'autres usagers (coureurs à pied, marcheurs, cyclistes, chiens, etc.). Faute d'en être les utilisateurs exclusifs, les pêcheurs se plaignent de commencer à manquer de place pour...
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18/02/2008

Reims
SÉRIE / Le quartier de l'université va changer de look
En orange les démolitions, en violet les constructions, en noir les réhabilitations et en rouge le périmètre d'intervention.
Quelques démolitions prochaines, d'autres à suivre sur Eisenhower et des parkings supprimés pour y construire des logements. La phase 1 de rénovation va commencer
ÇA ne va pas tarder à bouger sur le quartier Université/Einsenhower. Maintenant que l'État a débloqué les fonds tant attendus par la Ville, la rénovation du secteur va entrer dans une nouvelle phase qui commencera cette année et devra être achevée en 2011.
Démolitions et reconstructions sont au programme. Après la tour Taittinger descendue en novembre 2006, les prochains blocs à disparaître, a priori en 2008, concernent les 25, 27, 29 et 31 Eisenhower.
Il s'agit de 46 logements pour lesquels les habitants ont normalement reçu, s'ils le souhaitaient une proposition de relogement dans le quartier et au même loyer. Ce nouveau vide va permettre d'aérer le quartier.

Des logements à la place des parkings

Les 49 et 51 Eisenhower devraient aussi tomber. Pour l'instant les habitants, plus ou moins au courant, n'ont pas de plan de relogement. Dans l'ensemble ils sont plutôt contents à la perspective de déménager (lire par ailleurs).
Plusieurs parkings vont également disparaître. Ceux situés de part et d'autre de l'école Droit, une partie du G3 (Eisenhower), et le parking situé au rond point des facultés seront supprimés. À la place seront construits de nouveaux bâtiments. On devrait y trouver un mélange d'habitations et de locaux d'activités. Des commerces sont prévus le long de l'avenue Eisenhower non loin des facultés.
Des nouveaux immeubles doivent pousser sur le parking Jean et Gilberte-Droit ainsi que sur le parking à l'angle de la rue Legros/Droit. Sur le parking/espace vert entre l'ex-Rafale et la passerelle Saint-John-Perse apparaîtront trois immeubles. On construira également sur l'espace en friche entre le centre de tri postal et l'école Billard.
Tous les immeubles du périmètre qui ne seront pas démolis dans le quartier de l'université seront réhabilités (il s'agit de 275 logements).
Ce n'est qu'une première phase. Il est vraisemblable que d'autres barres du quartier Eisenhower seront supprimées dans un second temps. Soit après 2011....
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Reims
Coup d'accélérateur pour la « cité de l'automobile
A côté de la future cité de l'habitat, sur la zone d'activités Croix-Blandin, une « cité de l'automobile » devrait voir le jour courant 2009.

QUATORZE concessionnaires ont signé, hier à l'hôtel de ville, leur engagement pour s'installer sur le futur pôle dédié à l'automobile. Sur la zone d'activités Croix-Blandin, les 18 hectares de la future « cité de l'automobile » sont, dit-on, le projet le plus ambitieux de zone dédiée à l'automobile en France.
« L'idée a germé pendant deux ans », indiquait hier soir, au cours de la conférence de presse, le maire Jean-Louis Schneiter. « Deux ans de réflexions, de discussions. Et au final un consensus autour d'un constat partagé par tous : « Plus le choix est grand pour le client, plus une vente peut réussir ».
Dans la salle, les concessionnaires présents ont apprécié. D'autant qu'avec la signature de compromis de vente des terrains sur la future zone, le projet prend désormais une nouvelle dimension.
À l'origine, une demande faite à quelques semaines d'intervalle par deux concessionnaires de la ville qui cherchaient à se relocaliser. La ville de Reims et Reims Developpement, ? aujourd'hui Agencia ? flairent l'enjeu. Et l'idée de faciliter la vie des consommateurs en leur proposant sur un même site différents constructeurs fait alors son chemin.
Encore faut-il trouver l'endroit idéal. La zone Croix-Blandin est attrayante. L'accessibilité depuis l'A34 et la proximité des A26 et A4 séduisent.
La direction du développement économique de la ville et Agencia contactent un à un les concessionnaires. Ceux qui sont dans des locaux particulièrement vieillissants ou étroits sont très vite attirés.

Livraison des terrains printemps 2009

Le projet prend forme. Pour être viable économiquement et commercialement, la zone doit comprendre deux grands constructeurs français et 50 % des parts de marché. Les négociations avec les concessionnaires avancent. Au final, quatorze concessions répondent favorablement. Une quinzième, Citroën réfléchit encore. Avec cette probable adhésion la totalisation des parts du marché du site se situerait entre 55 et 65 %. Le pari est pratiquement gagné.
Désormais, les compromis de ventes en poche, le projet va....
L'Union du 6 février 2008
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Reims
Rond-point de la Chaufferie : bientôt une piste cyclable
« Aujourd'hui, il existe déjà une piste pour les cycles mais elle est particulièrement dangereuse », explique Florence Mobuchon, adjointe au maire, chargée de la voirie.
Rémi Wafflart

Depuis un mois, le giratoire place des combattants d'Afrique du nord est en cours de modification. Les automobilistes s'interrogent. Il s'agit d'un test en vue de la création d'une piste cyclable sécurisée.

DEPUIS un mois, des plots empêchent l'utilisation de la voie de circulation la plus à gauche du giratoire, place des combattants d'Afrique du nord, plus communément appelé le rond-point de la Chaufferie.
Sur cet axe routier très fréquenté, qui relie les avenues de Champagne, du Maréchal Juin, Georges-Pompidou et la RN 51 en direction d'Epernay, les automobilistes s'interrogent.
Seuls des panneaux annoncent « modification du rond-point ».
Il s'agit en fait d'un test en vue d'un nouvel aménagement pour les cyclistes.
« On ne sait pas ce qui va être fait », se demande Ghislaine. « Vu la façon dont les plots sont disposés, ils vont probablement refaire le terre-plein. Mais rien n'est indiqué ». La conductrice ajoute : « Je passe par ici quatre fois par jour, le matin, sur le coup de 10 heures, ça va à peu près. Mais le soir, à 18 heures, quelle galère. »
« A 17 h 30 », confirme André, « il faut une demi-heure pour passer. C'est plutôt long. Moi, je suis retraité, j'ai le temps, mais de nombreux automobilistes manquent de patience ».
Un riverain le confirme : « C'est parfois la foire d'empoigne entre les voitures ». Lui a trouvé la parade, « je passe ailleurs ».

En fait, il ne s'agit pas d'un nouveau terre-plein.

Et en ce qui concerne les ralentissements, les automobilistes devront être patients.
Car, cette modification concerne la prochaine création d'un anneau cyclable.

Une piste cyclable sécurisée

« Aujourd'hui, il existe déjà une piste pour les cycles mais elle est.....
L'Union du 6 février 2008
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Taissy
Les propriétaires en colère font monter la pression
Les propriétaires des maisons concernées par le classement réservé affichent désormais leurs inquiétudes à tous les passants. Ils peuvent être expropriés, ou leur maison être préemptée en cas de vente. Le maire répète qu?il a agi pour protéger le centre-ville.
Les propriétaires des maisons concernées par le classement réservé affichent désormais leurs inquiétudes à tous les passants.

« Maison sacrifiée », « démolition prévue », « démolir le centre ! Pour en faire quoi ? », « zone réservée, quartier menacé »? Les habitants de Taissy ont découvert des affiches plein le centre-ville, hier matin. Elles sont accrochées sur les maisons que la municipalité a classées en zone réservée.
Autant de propriétaires qui ont appris qu'en raison de ce classement, ils peuvent être expropriés, faire l'objet d'une préemption en cas de vente et ne peuvent plus obtenir de permis de construire.
Le maire a beau répéter qu'il n'a aucune intention d'exproprier, qu'il a agi dans l'intérêt général pour qu'un promoteur ne puisse s'emparer du centre-ville, les propriétaires concernés ne veulent pas l'entendre : « Il nous prend pour des enfants. Il nous dit qu'il ne fera rien pour nous porter préjudice, on se demande alors pourquoi il a pris cette décision de classer nos maisons. Nous voulons absolument qu'il modifie le plan d'urbanisme », martèle Maryan Dubois, porte-parole des intéressés. Qui se félicitent de la solidarité ambiante : « Les gens viennent nous voir et tous nous confient leur étonnement. Beaucoup pensaient que le classement concernait des masures, pas des maisons en bon état ».
Résultat : l'affaire fait de plus en plus de bruit à Taissy et le contexte des municipales n'est pas propice à apaiser les esprits. Le maire ne voit pas quoi dire de plus : « Je ne peux pas revoir le plan d'urbanisme en période électorale mais je leur ai dit que je m'y attellerai immédiatement.....
L'Union du 5 février 2008
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Reims
Les ambitions rémoises du Crédit agricole
Le nouveau bâtiment du siège social de la banque qui sera sur la Zac Bezannes.

Libergier, Clairmarais, Bezannes? le Crédit agricole vient d'entériner hier un vaste projet de développement sur l'agglomération.

« En aucun cas nous ne quitterons totalement notre immeuble de la rue Libergier ». Le directeur général du Crédit agricole du Nord Est se veut formel. En présentant hier après-midi les grandes ambitions de sa banque à Reims, Bernard Mary a réaffirmé l'intention de ne pas abandonner complètement l'immense immeuble de 14.000 m2 situé en plein c?ur de la ville.
Un lieu historique pour la première banque de la région où elle ne devrait tout de même pas garder, à terme, grand-chose (on parle surtout d'une agence). Pour le reste de l'immeuble, le DG du Crédit agricole Nord Est assure qu'il se tournera vers la mairie pour trouver ensemble, si possible, une affectation aux locaux.
Au-delà du site de Libergier, les responsables de la banque ont annoncé hier le déplacement à l'horizon 2011 de leur siège social sur la toute nouvelle Zac de Bezannes. Ils ont signé avec Reims métropole un compromis d'achat portant sur 53.000 m2 situés à proximité immédiate de la gare TGV Champagne-Ardenne et de la future station du tramway. Sur ce terrain, la banque souhaite donc implanter une partie de ses bureaux (7.200 m2 pour son siège social, un parking souterrain de 1.100 places) mais aussi réaliser un ensemble collectif (auditorium de 600 places, restaurant d'entreprise, crèche?) au service de toutes les entreprises qui seront présentes sur la zone de Bezannes.
Parallèlement, un programme immobilier d'environ 15.000 m2 sera construit sur ce site pour proposer des bureaux à l'horizon de l'automne....
L'Union du 5 février 2008
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samedi 5 avril 2008

Informations - brèves sur Reims janvier 2008

Reims champagne actu

Informations, brèves sur Reims



Janvier 2008    Février 2008    Mars 2008    Avril 2008    Mai 2008    Juin 2008
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Janvier 2008

Reims
Reims / Bactérie CHU : dépistage recommandé pour 350 personnes
À Robert-Debré, des mises en garde du public ne sont faites que dans le service de néphrologie, le seul où la présence de la bactérie a été avérée.
Rémi Wafflart

«MADAME Monsieur, en raison de la découverte chez des personnes hospitalisées en néphrologie de patients porteurs d'une bactérie résistante aux antibiotiques appelée ERV (enterococcus faecium résistant à la vancomycine) un dépistage systématique est réalisé chez tous les patients ayant été hospitalisés dans le service en même temps que les patients porteurs de cette souche? S'il s'avérait que vous êtes vous-même porteur de cette bactérie, cela n'aurait aucune conséquence sur votre état de santé, mais vous pourriez, si vous deviez être à nouveau hospitalisé, la transmettre à d'autres patients? Afin d'éliminer cette éventualité, Il paraît important de s'assurer que vous n'êtes pas porteur? »
Ce courrier du CHU Robert-Debré de Reims, ils sont environ 350 à l'avoir reçu : des habitants de Reims et ses grands environs, Marnais, Axonais, Ardennais.
Cette mise en garde intervient à la suite de la détection, en décembre dernier, d'une malade infectée par ladite bactérie (notre édition du 18 janvier). Comme celle-ci a la faculté de se propager facilement, l'hôpital s'est engagé dans une vaste opération pour la contenir. Cela passe notamment par l'identification des porteurs. À ce jour on en est à 17. « Mais il y a aussi des personnes que nous appelons des contacts, c'est-à-dire qui ont pu être en contact avec les porteurs, et qui sont donc susceptibles de porter à leur tour la bactérie », indique le professeur de Champs, chef du service bactériologie/hygiène à l'hôpital. Ils sont donc...
L'Union du 26/01/08
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Reims
Des jardiniers réactifs et responsables
Une assistance attentive et réactive.

La salle du centre des congrès où se tenait l'assemblée générale des jardins associatifs de la communauté d'agglomération de Reims n'était pas assez vaste, dimanche, pour accueillir des adhérents réactifs.
Cette association de jardiniers est la plus importante en nombre, avec 250 adhérents, dont les parcelles sont situées sur 15 secteurs disposant chacun d'un responsable.
Elle s'est dotée de nouveaux statuts le 12 juillet dernier et dispose désormais d'un local à la maison de la vie associative.
Le droit d'entrée est de 8 ? auxquels s'ajoutent 12 centimes par m2 de terrain à disposition.
Le président Didier Klodawski ? également président de la fédération des jardins familiaux de l'agglomération de Reims....
L'Union du 26/01/08
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Tinqueux
Le gymnase Croix-Cordier bientôt rénové

Le budget primitif 2008 a retenu toute l'attention du conseil municipal, lors de la réunion qui s'est tenue mardi soir à l'hôtel de ville. Voté par 28 voix pour et 3 contre, ce budget n'a soulevé aucune remarque particulière de l'assemblée. Ce budget, d'un montant de 7.636.000 ? pour la section de fonctionnement, et de 1.745.000 ? pour les investissements, est équilibré sans recours à l'emprunt et en maintenant les taux d'impôts de 2007.
Parmi les investissements proposés par Jean-Pierre Fortuné, les projets les plus importants concernent la réfection de la rue Croix-Cordier, de l'avenue Paul-Vaillant-Couturier, ainsi que diverses voiries dans le quartier du Champ Paveau. Des crédits sont également inscrits pour la rénovation du gymnase Croix-Cordier que la commune vient d'acheter à Reims Métropole.
Parmi les autres délibérations : l'acceptation de la redevance d'occupation du domaine public par les ouvrages des réseaux publics de transport et de gaz au taux de 100 % ; une demande de subventions au titre de la dotation globale d'équipement pour 2008, pour la réfection de la rue Croix-Cordier, la modernisation de....
L'Union du 26/01/08
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Reims
Révolution annoncée sur le réseau de bus
Des lignes transversales, des rocades, des passages plus fréquents et de nouveaux quartiers desservis, le réseau de bus sera réorganisé dès la mise en route du tram.

Des lignes transversales, des rocades, des passages plus fréquents et de nouveaux quartiers desservis, le réseau de bus sera réorganisé dès la mise en route du tram.

Les bus préparent leur révolution après-tram. Ils seront de toutes les couleurs et porteront des numéros à la place des lettres.
Il devrait y avoir davantage de dessertes et de passages : « Actuellement, les bus parcourent 7,7 millions de kilomètres par an. Le tramway va en parcourir 1 million, nous allons ajouter 430.000 km de bus, ce qui nous fera un total de 8,2 millions de kilomètres par an », annonce Christian Messelyn, président de Mars, successeur des TUR.
Le plan des futures lignes n'est pas finalisé car « nous souhaitons prendre le temps de faire des enquêtes de fréquentation et nous concerter avec les nouvelles équipes municipales de l'agglomération ». Un premier schéma sera proposé à Reims Métropole « courant 2009 » pour une mise en service au moment de la mise en route du tram en 2010.

Changement de tracé

Ceux qui n'habitent pas sur la ligne du tram ne devraient pas y perdre. « Il n'est pas question d'obliger les habitants de La Neuvillette ou de Bezannes à rejoindre une station tram pour se rendre au centre-ville. »
Ils auront toujours leur bus mais sur un tracé parfois moins direct. Ceux qui prennent aujourd'hui le « A » à la Neuvillette auront une option. Ils pourront soit changer et monter dans le tram place des Belges soit rester dans leur bus jusqu'au centre-ville. Sauf qu'ils n'emprunteront plus l'avenue de Laon. Ils...
L'Union du 25/01/08
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Reims
Pourquoi le préfet tarde à lancer le tramway ?

Tant que le préfet n'aura pas mis sa signature au bas de la déclaration d'utilité publique, les travaux du tramway ne pourront pas commencer. S'il ne l'a pas encore fait, c'est que la procédure impose encore une démarche.
À la suite des conclusions de la commission d'enquête, la société Mars chargée de concevoir la ligne, a dû opérer quelques modifications pour mériter son avis favorable.
Cette version corrigée a été entérinée par le conseil communautaire mais comme elle apporte des modifications sur les plans d'urbanisme de Reims, Bétheny et Bezannes, les conseils municipaux de ces trois communes doivent être à nouveau consultés.

S'ils étaient en désaccord, le préfet pourrait alors, au nom de l'utilité publique, entériner lui-même le changement.
Cette « formalité » est prévue dans le code de l'urbanisme mais comme elle est particulièrement formelle (les élus se sont déjà prononcés en faveur du tram au sein de l'agglomération)
24/01/2008
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Reims
Les propriétaires en colère rencontrent le maire

Les propriétaires concernés par la zone réservée du plan d'urbanisme (notre édition de lundi) ont rencontré le maire pour exprimer leur mécontentement.
La réunion qui s'est tenue en mairie lundi soir a été « très mouvementée ».
Les 13 riverains de l'hôtel de ville sont venus avec pour objectif de faire annuler ce classement qui les empêche d'obtenir tout permis de construire, qui les voue à une préemption en cas de vente, voire même à une expropriation pour cause d'utilité publique.
Comme il l'avait déclaré dans nos colonnes, Jean-Pierre Lenglet leur a assuré qu'il ne comptait pas exproprier et que tout s'était fait dans la légalité.
Des arguments trop légers pour des personnes qui veulent récupérer tous leurs droits sur leur bien.
« Le maire s'est tout de même engagé, s'il était élu, à revoir le plan d'urbanisme mais sans donner de détail ». Plusieurs personnes âgées présentes dans la salle ont demandé un engagement écrit qui leur a été refusé : « Je n'ai qu'une parole », a lancé le maire.
« Je n'annulerai pas tout »

L'évocation du cas du médecin épargné, voire favorisé, par le classement n'a pas contribué à calmer l'ambiance : « Le maire avait vraiment l'air mal à l'aise ».
N'importe quel maire en pleine campagne électorale le serait à moins.
S'il est réélu, il entend bien calmer le jeu, mais ne fait pas de promesse : « J'ai l'intention discuter à nouveau avec les propriétaires après l'élection mais je ne peux pas m'engager à faire voter une modification du plan
24/01/2008
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Reims
MUNICIPALES 2008 / Écologie et culture au centre des propositions de Tristan Muzard
Tristan Muzard a tenu sa première conférence de presse, hier, devant la médiathèque Falala, au pied de la cathédrale.

Comme il n'y a rien de mieux que l'air frais ? ce n'est pas peu dire -, c'est sur le parvis de la cathédrale que le tout jeune président du Parti Ecolosocial, Tristan Muzard, a tenu sa conférence de presse. Un véritable baptême pour cet électricien âgé de 19 ans qui confirmait sa volonté de se présenter aux municipales, dans nos colonnes le 12 janvier dernier. Sans notes, ni discours, c'est de manière un peu confuse que le junior de l'étape a tenu sa première conférence. Le jeune homme a indiqué que son parti ? créé en octobre 2007 ? avait déjà élaboré un budget prévisionnel pour la ville (bientôt disponible sur leur site) ainsi que 500 propositions. Mais hier, seulement une dizaine a été énoncée. Quelques idées « plutôt gauche social » qui n'ont pas fait l'objet de plus de développement.
« Des événements de rue tous les mois » Parmi elles : la réalisation de « HLM propres », le développement d'antennes mobiles de mairie, la mise en place de Vélib'et l'abandon du tramway. Ce dernier « ne sert à rien s'il n'y a pas de parking à l'extérieur de la ville, justifie Tristan Muzard. A la place, il faut faire un métro extérieur ». Tout cela avec l'objectif « d'éradiquer absolument les voitures du centre ville ».
Mais surtout, le nouveau venu dans l'arène politique préconise « beaucoup plus de culture, avec des événements de rue tous les mois ». « Il s'agira d'un gros budget de la mairie », précise-t-il.
Même s'il assure être prêt à entrer dans la course pour la mairie, Tristan.....
24/01/2008
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Reims
Les bons plans pour se garer gratis
Ça ne s'invente pas : l'une des rares rues gratuites en plein centre, la rue Vautier Le Noir, abrite les locaux des services de la voirie?

Pour ne pas avoir à glisser sa petite pièce dans l'horodateur, mieux vaut se lever tôt. Dans l'hypercentre, délimité par la « rocade intérieure » (1), les places gratuites savent se faire discrètes. A la police du stationnement, les agents affirment même sans rire qu'ils ignorent où elles se cachent?

Parking gratuit rue Clovis

Nichés rue Vautier Le Noir (rue en plein centre mystérieusement gratuite), les services de la voirie recensent pourtant 2.239 places gratuites. Après un quadrillage méthodique du centre, voici les plus recherchées et les plus secrètes.
Si votre porte-monnaie crie famine, pas la peine de vous aventurer dans toute la zone qui s'étend de l'Hôtel de ville à la cathédrale d'une part, de la gare à la rue Hincmar d'autre part. Vous aurez plus de chances en explorant les sens uniques qui relient cette dernière à la rue de Venise (à quelques exceptions près), avec notamment deux astuces : la petite rue Jean-d'Orbais, qui serpente de la rue Clovis à la rue Boulard, et surtout le parking gratuit à l'angle des rues Clovis et Hincmar.
Les riverains eux-mêmes se disent surpris de la gratuité de ce parking (une centaine de places, prises d'assaut avant 9 heures?). « Il a rouvert il y a moins d'un an après des travaux de revêtement. On pensait qu'ils allaient le rendre payant, mais non. Cela dit, à part le week-end, il faut vraiment être verni pour trouver une place ! »

Boulevard Lundy et Boulingrin

En remontant vers la place Aristide-Briand, deux axes ont conservé leur gratuité : la majeure partie de la rue Ponsardin (ainsi que les rues des Murs, Saint-Pierre-les-Dames et Louis-Berton) et la rue Voltaire à partir de la rue Saint-Symphorien (ainsi que les rues Diderot et des trois Raisinets).
Loin des rares places des ruelles Saint-Yon ou Montoison, le gros du stationnement gratuit se situe sur le boulevard de la Paix et le boulevard Lundy, sans oublier sa parallèle, la rue Andrieux (et les quelques rues qui la croisent).
Miracle enfin en arrivant au Boulingrin et ses centaines d'emplacements (2). « Miracle surtout si vous en trouvez une ! », plaisante un Rémois qui travaille à deux pas. « C'est plein dès 8 heures - 8 h 30 et il ne se libère que quelques places le midi. En revanche c'est vide le soir ! »
Finissons ce tour d'horizon avec les 15 parcs de surface gérés par la ville (les parcs fermés (3)), qui proposent 1.148 places gratuites? la première demi-heure. Si vous aussi peu de temps que d'argent, c'est parfait.

Guillaume Lévy

(1) Zone délimitée par les rues de Venise, du lieutenant Herduin et Gerbert, les boulevards de la Paix, Lundy, Joffre, Roederer, Noirot et Paul-Doumer.
(2) Stationnement interdit le jour du marché, le samedi de 5 à 15 heures.
(3) Ils se répartissent dans tout l'hypercentre, à raison de deux, place du Forum, place Jamot et boulevard Roederer ; d'un seul rue de Vesle et rue du lieutenant Herduin, boulevard du général Leclerc et boulevard Foch, place Royale et place Saint-Maurice, à l'angle des rues Chanzy et Liebergier, pont De Gaulle et entre les rues Chabaud et Clovis.
l'Union du 22/01/2008
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Reims
MUNICIPALES 2008 / Des travaux et un projet électoral d'hôtel 4 étoiles Place Royale
Alors que de nouveaux travaux sont entrepris pour mettre des plots plus solides Place royale, Renaud Dutreil, candidat UMP à l?élection municipale, verrait bien un hôtel 4 étoiles à la place de la sous-préfecture.
Une fois encore, encore une fois, une partie de la Place Royale est en travaux. Et ce n'est peut-être pas terminé. Un candidat aux municipales y verrait bien un hôtel 4 étoiles à la place de la sous-préfecture.

CRÉÉE en 1748, officiellement achevée en 1952 avec la construction du dernier bâtiment qui la fermait, la Place Royale fait toujours l'objet d'interventions nombreuses depuis la réfection de son sol et de ses abords en 2001. Imposé, tout comme le revêtement de sol, par l'architecte des Bâtiments de France, le mobilier urbain (bornes, plots, chaînes) y est régulièrement renversé, cassé. « J'ai demandé aux services de la voirie, cela coûte à la ville donc aux contribuables, une somme de 10.000 à 20.000 euros par an », confirme Florence Mobuchon, adjointe. Faites le calcul depuis 2001? Et encore on ne vous parle pas de la sécurité avec des passages pour piétons presque invisibles pour qu'ils ne jurent pas sur cette place classée en 1952. Bref, du beau gâchis dont l'élue n'a pas à assumer la responsabilité puisque « le projet a été réalisé par son prédécesseur Frédéric Payen. » Reste qu'il faut bien tenter d'entretenir et d'améliorer le site pour le plaisir des touristes et la sécurité de tous. Une mission difficile à mener compte tenu du comportement souvent imprudent des automobilistes.
De nouveaux plots

C'est décidé. Les travaux ont commencé du côté des commerces sous la forme de profondes tranchées. La ville va procéder au remplacement des plots. Une information a été faite auprès des Bâtiments de France et de nouveaux plots en inox, comme il y a ailleurs en ville, vont être posés avec des fondations plus importantes. « Ils seront ancrés plus profondément pour qu'ils ne basculent pas. » Tant pis pour les chauffards.
Quant aux chaînes qui régulièrement sont cassées et traînent par terre, pas de solution en vue. Les Bâtiments de France n'ont pas souhaité du temps de Pierre Antoine Gatier qu'elles soient plus épaisses et plus lourdes comme à Nancy. Il faut donc faire avec. Qui a dit que le bon sens était la chose au monde la mieux partagée ...
l'Union du 22/01/2008
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Taissy : Le plan d'urbanisme provoque un scandale
« Les propriétés le long de la mairie et le long de la rue Saint-Léonard sont désormais à la merci de la municipalité », explique l'un des propriétaires.
propriétaires autour de la mairie viennent d'apprendre que leurs maisons ont été classées « zone réservée » par la commune. Ils ont peur d'être expropriés.

TOUT un quartier en émoi autour de la mairie. Les riverains de l'hôtel de ville, ceux qui habitent autour du giratoire et le long de la rue Saint-Léonard jusqu'à l'église sont sur le sentier de la guerre. Ils viennent d'apprendre qu'il y a deux ans leurs propriétés ont été classées «zone réservée» dans le plan local d'urbanisme de la commune. Ce qui veut dire qu'ils n'ont plus le droit de construire dessus, qu'ils ont toutes les chances d'être préemptés en cas de vente et qu'ils peuvent même être expropriés par la commune. Soit mis à la rue de force. « Ça fait 50 ans que je vis à cette adresse. J'ai élevé mes enfants dans cette maison, mon mari est décédé ici, il n'est pas question que je bouge de là », lâche Micheline, bien remontée.
Ce qui est en train de devenir une affaire d'État à Taissy a commencé quand la grand-mère Eveloy est allée voir son notaire. Propriétaire de la parcelle à la droite de la mairie, la généreuse mamie voulait donner un morceau de terrain à son petit-fils.

« Le maire aurait pu nous prévenir »
C'est alors que le notaire lui apprend que ce terrain est sous le coup d'un classement réservé et que son petit-fils ne pourra pas y faire grand-chose. Sinon planter un marabout aux beaux jours.
La nouvelle s'est répandue. Treize propriétaires au total ont réalisé qu'ils étaient concernés. « Je ne m'y attendais pas du tout. J'aurais imaginé que le maire aurait eu au moins l'amabilité de nous prévenir avant de faire une chose pareille », s'indigne Laurence, propriétaire à la gauche de la mairie. Cette dernière dispose d'un champ avec des chevaux, elle ne pourra jamais y construire une maison.
Quand Maryam Dubois a su qu'il était dans le lot, il a fait des recherches : « Je me suis renseigné et j'ai alerté tout le monde. Le maire a eu beau me dire de ne pas m'inquiéter, de construire chez moi ce que je voulais, il reste qu'une menace d'expropriation pèse désormais sur nos maisons ».
Thierry qui habite le village depuis tout petit n'en revient pas : « On pense que le maire a dans l'idée de refaire le centre comme à Tinqueux. Espérons seulement qu'il ne va pas tout démolir ».
Yann a acheté en 2005 : « À l'époque, la mairie avait déjà tenté d'exproprier et j'ai bien failli ne pas avoir la maison mais leur expropriation a été refusée car ils n'avaient pas de projet. Juste après cela, ils ont classé tous les terrains en zone réservée ». Inquiets, tous se demandent ce qui se trame dans les bureaux de la mairie. Vont-ils être mis dehors pour laisser la place à de gros promoteurs qui vont construire de grosses résidences ?......
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L'UNION REIMS du 21/01/2008

Payez vos PV, c'est pour la bonne cause !
Plus de 110.000 procès verbaux sont établis chaque année à Reims et rapportent plus d’un million d’euros. Quant aux horodateurs, ils collectent près de 3millions. Qui touche cet argent ? A quoi sert-il ?
Les pièces des horodateurs vont directement dans le budget de la ville. L’argent des PV file dans les caisses de l’Etat, qui le réattribue aux villes pour les travaux de voirie.

Issu de la rue, il retournera à la rue. L'argent issu des PV établis chaque année à Reims est affecté, après un passage par l'Etat, aux travaux de voirie. A l'exception des quelques millions collectés par les horodateurs.

AGIT-ON pour la bonne cause lorsqu'on (se) paie une prune ? Même si la découverte d'un « papillon » bleu sur son pare-brise ne fait jamais plaisir, on peut le penser. Cela peut même rassurer de savoir qu'un PV de 11 euros rapporte… 15 euros à la ville.
Une manne d'1,7 million

Chaque année plus de 110.000 PV sont signés à Reims, ce qui en fait de loin la cham pionne marnaise (près de deux tiers des amendes du département). En 2007, ce chiffre a même grimpé à 112.870.
L'immense majorité concerne des amendes à 11 euros (défauts de paiement ou durée de stationnement dépassée), avec 103.633 PV établis. Les amendes de 35 euros (pour stationnement illicite) et de 135 (pour s'être garé sur un passage piéton ou une place réservée aux handicapés) complètent la « donne » : 8.929 pour les premiers, 308 pour les seconds.
« Les PV sont enregistrés chez nous, note Hervé Littierre, chef de la police du stationnement (une vingtaine d'agents contractuels dans la ville). Mais les timbres amendes, adressés à l'ordre du Trésor public, sont encaissés par l'Etat. »
« Chaque année, poursuit Florence Mobuchon, en charge de la voirie pour la ville, l'Etat fixe un forfait par amende, et non par type d'amende. Ce montant change tous les ans et dépend de critères comme la taille de la ville, du département et du nombre de PV établis. ».....
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L'UNION REIMS du 21/01/2008

Reims
Reims bat Aulnoye 26-25 (17-13). Arbitres : Mme Diallo et M.Duval. 200 spectateurs. Expulsions : RCH 4 x 2’, Aulnoye 4 x 2’.
RCH : Thiney, Gerum ; Marin 9, Bouzancourt 4, De Baene 4, Gonzague 2, Colas 1, Ly 6, Gabella, Picars, Delaunay.
AULNOYE-AYMERIES : Deletang ; Bracq 8, Coubrant 3, Danguin, Dubreuil, Federer 1, Fleury, Hocquet, Leroy 9, Quinzin 1, Rohrmann 3.
Après quatre minutes d’observation, les Rémoises prenaient le match en mains. Elles attaquaient avec détermination, virevoltaient de droite à gauche, étouffaient leurs rivales....

Merci Marie...
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L'UNION REIMS du 21/01/2008

Reims
Reims - Sernam : un méga projet place de la République.
Réseau Ferré de France et la SNCF ont revendu le terrain de 68 000 m² du Sernam à la financière Norev, qui a des projets pour métamorphoser les abords de la place de la République. Voici ce que le promoteur envisage de mettre sur ces 7 hectares : 40 000 m² de bureaux, autant de logements, 12 000 m² de commerces soit 92 000 m² de construction. Le boulevard Jules -César devrait être supprimé. Un parking d'une capacité de 1 700 places est prévu conformément aux ratios d'usage. Lire l'article...
L'UNION REIMS du 17/01/2008 (en page 2)

Reims - Le parcours du combattant d'une famille pour se loger : les explications de l'Effort Rémois.
L'Effort Rémois gère 21 150 logements dans toute la Marne. Le Foyer rémois gère près de 15 350 logements, 1 600 sont libérés chaque année, pour 5 000 demandes. Reims Habitat gère 10 000 logements à Reims, 1 110 foyers logés en 2007 pour 4 370 demandes. Lire l'article...
L'UNION REIMS du 17/01/2008 (en page 3)

Châlons - Castel : 7 employés refusent leur transfert à Reims.
Cinq aides cuisinières, une secrétaire et une femme de ménage employées au Castel ont reçu en novembre 2007 une lettre de leur directeur, Christophe Bombaron, leur notifiant une mofification de leur lieu de travail, à savoir un transfert de Châlons à La Neuvillette à partir du 3 janvier 2008. Devant les contraintes découlant de ce transfert en matière de temps et d'argent, aucune compensation financière n'étant proposée à part 100 ? par mois les trois premiers mois d'activité à La Neuvillette, elles ont refusé en bloc. Christophe Bombaron est à la tête de six établissements à Reims pour quelque 80 000 couverts et une centaine de personnes. Il a également investi dans une cuisine centrale, toujours sur Reims, pour rationnaliser ses approvisionnements et sa production. Sa volonté de transfert de salariés entre sans doute dans cette logique. Il n'a pas souhaité s'exprimer sur la question.
L'UNION CHALONS-EN-CHAMPAGNE du 17/01/2008 (en page 2)

Carte judiciaire : les chefs de cour contredisent Rachida Dati. Ni le premier président, ni le procureur général de la cour de Reims n'ont proposé la fermeture du tribunal d'instance d'Epernay pas plus que le transfert à Reims des trois cabinets d'instruction du tribunal de grande instance (TGI) de Charleville-Mézières. Le ministre de la Justice Rachida Dati a pourtant toujours affirmé que les suppressions de juridictions trouvaient leur origine dans les propositions faites par les chefs de cour. Lire l'article...
L'UNION MARNE du 16/01/2008 (en page B)

Reims : les villages loin de Reims attirent de plus en plus.
A quelques exceptions, les résultats du recensement 2007 dans l'arrondissement de Reims confirment la tendance enregistrée l'an passé. Les petits villages attirent de plus en plus les urbains. La commune de Bétheny a ainsi gagné 6,48 % habitants depuis 1999. Celles de Cernay-lès-Reims +9,35 %, d'Hermonville +4,74% et de Verzy +1,04%. Lire l'article...
L'UNION REIMS du 16/01/2008 (en page 3)

Cap pour un nouvel horizon bleu.
Présidée désormais par Didier Janot, Horizon Bleu à Reims (CA 2007 autour de 4,3 M? réalisé à 80 % à Paris et en région parisienne), l'une des rares agences indépendantes de ce gabarit (une trentaine de salariés) en Champagne-Ardenne, s'est lancée depuis plusieurs mois dans un élargissement de son offre sans précédent. Une diversification qui lui permet d'être présente sur tous les secteurs d'activité et d'envisager une extension géographique. Pour l'instant, elle prépare sa nouvelle identité visuelle et son déménagement en juin 2008 pour plus de 1 000 m² dans la zone Farman à Reims.
PETITES AFFICHES MATOT BRAINE n° 7220 du 14/01/2008 (en page 6)

Les parents sont de plus en plus seuls.
Le cliché de la famille nombreuse, famille heureuse, commence sérieusement à jaunir. Les derniers résultats de l'enquête annuelle de recensement de l'Insee confirment la diminution de la taille des ménages et la poussée des familles monoparentales. Pour la Champagne-Ardenne, moins de population, plus de ménages. Entre 1999 et 2006, le nombre de ménages a en effet augmenté de 29000 alors que la population baissait de 0,7% soit 11000 personnes. Lire l'article...
L'UNION du 16/01/2008 (en page 7)

Reims-Habitat : 200 nouveaux logements en 2008.
Reims-Habitat assure le renouvellement en produisant 200 logements par an. Sur le patrimoine existant, un programme ambitieux : "Nos planches à dessin regorgent de projets !". Autre point essentiel, la démarche "Qualibail". Cette certification inclut les entreprises signant la charte. La politique foncière de Reims-Habitat veut être marquée de l'empreinte du respect de l'environnement. Un exemple : la construction à Tours-sur-Marne de logements "Eco Quartier Environnement". Lire l'article...
L'UNION REIMS du 16/01/2008 (en page B)

Reims : du lobbying anti-tramway.
Tandis que du côté de Reims métropole et de Jean-Louis Schneiter, on attend et on s'active pour que le préfet Philippe Deslandes signe la déclaration d'utilité publique (DUP) pour le tram, coup d'envoi officiel des travaux, les anti-tramway ne restent pas inactifs. Lire l'article...
L'UNION REIMS du 16/01/2008 (en page 2)

Zac de Bezannes : ça se précise.
Lors de la cérémonie des v?ux, le maire de Bezannes, Jean-Pierre Belfie, a annoncé qu?un compromis de vente avait été signé avec la compagnie financière Frey qui va installer le siège social de sa holding sur la Zac de Bezannes. Lire l'article...
L'UNION REIMS du 18/01/2008 (en page B)

Livres Numériques

Bibliothèques Municipales de Reims

livre numerique à Reims

Livres numériques : 350 titres disponibles à la bibliothèque municipale



Depuis son ordinateur personnel ou encore depuis les postes informatiques de la bibliothèque municipale – Médiathèque Jean Falala, Médiathèque Croix-Rouge, Médiathèque Laon-Zola, Bibliothèques Chemin Vert, Saint-Remi et bibliothèque patrimoniale Carnegie – le lecteur a accès à une sélection de 350 titres numériques. Ainsi, depuis octobre 2007, il peut télécharger des romans contemporains ou classiques et des documentaires. A son domicile, l’usager peut disposer de cette consultation pendant une durée de trois semaines maximum. Cette collection est régulièrement enrichie.

La bibliothèque municipale rémoise en phase avec les innovations technologiques


Le livre numérique est un axe important de l’évolution des bibliothèques françaises parallèlement à l’essor des documents numériques dans la vie quotidienne de chacun. La place désormais omniprésente de l’ordinateur dans nos foyers rend quasiment systématique l’utilisation de fichiers audio MP3, vidéo AVI ou bien textuels PDF.

Le succès du Kindle d’Amazon, cet écran numérique permettant la lecture de romans, outre Atlantique participe également à l’essor de ces nouveaux supports de lecture qui commence leur apparition en France.

Un livre numérique offre de nouvelles fonctionnalités

par rapport à un livre papier comme le travail bureautique depuis le document (prise de notes, recherche de mots sur internet) et une nouvelle vision de la lecture. La bibliothèque municipale s’est lancée dans l’aventure en comptant présenter une offre à distance de qualité, en prenant comme modèle des précurseurs en la matière : les villes de Boulogne-Billancourt et Lisieux.

Une technologie particulièrement adaptée au public à handicap visuel

Le format WMA est tout à fait adapté à leurs besoins puisqu’il complète la collection de livres audio CD de la bibliothèque municipale et est transportable sur des baladeurs numériques par exemple. Le format PDF (texte), quand à lui, peut être modifié pour rendre la lecture plus facile ou bien vocalisé par un logiciel spécifique traduisant l’écrit en parole.

Une collection complétant l’espace dédié aux aveugles et malvoyants de la Médiathèque Jean Falala


Pour les personnes à handicap visuel, l’offre à distance de livres numériques vient s’ajouter à l’espace du 1er étage de la médiathèque Jean Falala dans l’espace Sciences et Techniques. Cet espace leur permet d’utiliser un poste informatique adapté, un télé-agrandisseur et des logiciels de vocalisation de textes, de traduction en braille mais aussi de reconnaissance vocale.

mercredi 2 avril 2008

Palmarès ritv Reims 2008

Palmarès 2008



Rencontres internationales de télévision à Reims (RITV 2008)

21e Rencontres Internationales de Télévision de Reims (RITV)


( 26 – 30 mars 2008 )

Sept prix attribués par le jury professionnel présidé par Nina Companeez

Prix Claude Santelli du meilleur téléfilm
The Mark of Cain
de Marc Munden (Channel 4 – Grande-Bretagne)

Prix de la meilleure série ou du meilleur feuilleton
Pushing daisies
de Barry Sonnenfeld (ABC – Etats-Unis)

Prix de la meilleure comédienne
Yuan Zhibo

dans “Wait for the birth of the husband” (CCTV6 – Chine)

Prix du meilleur comédien
Gerard Kearns et Matthew McNulty
dans “The Mark of Cain” (Channel 4 – Grande-Bretagne)

Prix spécial « Groupe 25 images » de la mise en scène
Marc Munden
pour “The Mark of Cain” (Channel 4 – Grande-Bretagne)

Prix SACD du meilleur scénario
Alexander Masters
pour “Stuart : a life backwards” (BBC2 – Grande-Bretagne)

Prix du meilleur compositeur de musique
Magnus Fiennes
pour “Five Days” (BBC – Grande Bretagne)

Deux prix attribués par le jury public

Prix TeleObs.com du meilleur téléfilm
Stuart : a life backwards
de David Attwood (BBC2 – Grande-Bretagne)

Prix TeleObs.com de la meilleure série ou feuilleton
Pushing daisies
de Barry Sonnenfeld (ABC – Etats-Unis)

Prix attribué par CINECINEMA CULTE
ex aequo
When we were black
de Khalo Matabane (SABC – Afrique du Sud)
et
Stuart : a life backwards
de David Attwood (BBC2 – Grande-Bretagne)

CINECINEMA CULTE attribue un prix à l’un des téléfilms en compétition.
La fiction primée sera acquise par la chaîne puis diffusée en version originale sous-titrée.

mardi 1 avril 2008

Expositions : Corvaisier-Depallens

Exposition du 1er au 26 avril 2008, espace Benjamins
Reims Médiathèque Jean Falala


Exposition Corvaisier/Depallens

« Les Contes du désert » par Laurent Corvaisier & Philippe Depallens




 « Les contes du désert » mêlent l’homme aux animaux dans différents paysages désertiques. Racontés par un Touargui du Niger, Sidi Mohamed Iliès, ils sont illustrés par Laurent Corvaisier. Sous la gouache et les papiers découpés, par sérigraphie, à l’encre de Chine et à l’acrylique, les images sont déstructurées, et les personnages, hauts en couleurs, désarticulés. L’exposition de ces illustrations originales, présentée du 1er au 26 avril 2008 à la Médiathèque Jean Falala, est complétée par 14 photographies sur le désert de Philippes Depallens.

Né au Havre en 1964, Laurent Corvaisier est diplômé de l'E.N.S.A.D. Il mène une triple activité de peintre, d'illustrateur et, depuis 1995, d'enseignant d’illustration à l'École nationale supérieure des Arts décoratifs et de sérigraphie à Corvisart. Il a publié de nombreux albums pour la jeunesse et collabore à la presse enfantine.

Dans ses illustrations originales, il utilise des couleurs très franches, peu travaillées, disposées en de larges aplats, et joue surtout avec les contrastes : clin d’œil aux « expressionnistes » allemands dont Emile Nold, Max Beckmann, Schmidt-Rottluff ou Otto Dix.
Philippe Depallens, photographe, raconte quant à lui en images le parcours de jeunes délinquants qui ont partagé 6 semaines la vie nomade des Touareg. A leur suite, on découvre le mode de vie et les traditions de ces peuples du désert.

Médiathèque Jean Falala
2, rue des Fuseliers
51095 Reims Cedex
Tél. : 03-26-35-68-00

« Les Contes du désert »
Illustrations originales de Laurent Corvaisier à partir du recueil du même nom aux Editions Seuil.
 Textes de Sidi Mohamed Iliès, conteur Touragui du Niger. Textes recueillis par Jean Clottes.