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Rivière et cours d'eau à Reims haut de la page
Une Rivière : la Vesle, elle est alimentée hors agglomération rémoise par
- La Noblette
- Le Cheneu
- La Prosne
Dans l'agglomération rémoise
- Le Rouillat,
- La Muire..
Jadis deux autres cours d'eau alimentaient la Vesle dans Reims :
- La Folle Peine
- Le Ruisselet
Origine de l'eau à Reims haut de la page
Un peu d'Histoire
Trois hommes vont être à l'origine des fontaines à Reims
- Le Chanoine Jean Godinot
Jean Godinot, est né le 21 juillet 1661 à Reims, docteur en théologie, fut chanoine du Chapître métropolitain de Reims (1692), et syndic de la faculté de théologie (1706). S'étant enrichi en cultivant ses vignes de Verzenay et de Bouzy et en vendant des vins très recherchés, il consacra sa fortune à des oeuvres de bienfaisance et dépensa plus de 500 000 livres à construire des fontaines publiques, à fonder des hôpitaux, à établir des écoles chrétiennes et gratuites, et à orner le coeur de la cathédrale de Reims.
Ainsi devenu un bienfaiteur de la ville de Reims, il meurt le 15 avril 1749, à l'âge de 88 ans.
Jean Godinot, fondera le premier hôpital au monde pour les cancéreux, l'hôpital était situé dans le faubourg Saint Denis (actuelle rue Chanzy) il y restera 38 ans, en 1778 sera transféré après plaintes des riverains à la Buerie près des bords de Vesle (proche du quartier actuel de St Anne) jusqu'en 1841, date à laquelle il retournera faubourg Saint Denis, le caractère contagieux du cancer ayant disparu, il ne résistera pas aux obus de la première guerre mondiale.
Le centre anti cancéreux étant devenu l'institut Jean Godinot, renaît en 1925, L'Institut Jean Godinot se trouve près de l'hôpital Robert Debré à Reims, il est encore de nos jours à l'avant garde des techniques nouvelles...
- Lévesque de Pouilly (Jean Louis)
Jean-Louis Levesque de Pouilly, est né à Reims, en août 1691 il y est décédé , le 4 mars 1750. Il a étudié a Reims, puis se rend à Paris, s'intéresse aux mathématiques : il est un des premiers en France à commenter les Principes de la philosophie naturelle d'Isaac Newton. Professeur de philosophie, il se tourne vers les lettres devient écrivain, est publié en 1736 ";Théorie des sentiments agréables", où l'on établit les principes de la morale. Il devient premier magistrat de la ville de Reims.
En 1748, sous l'impulsion de Louis-Jean Levesque de Pouilly, la Ville de Reims crée une école pour "; éclairer l'industrie " . Lévesque de Pouilly rencontre régulièrement Jean Godinot, lui fait part du problème de l'eau et de sa qualité.
Jean Godinot mettra 230 000 livres dans le projet, demandera au père Féry de construire une machine, mais le projet comporte aussi les acqueducs, les canalisations, les fontaines, en 1747, l'eau jaillit des fontaines, la première fontaine inaugurée fut Saint Thimotée
- Le Père André Féry
Le Père Féry est un habile mécanicien et mathématicien, moine au couvent des Minimes. Lui qui écrivait en 1747....
C'est peu que nos collines fournissent un vin délicieux. . Un bien beaucoup plus nécessaire nous manque : l'Eau dont nous faisons usage, au lieu d'être un breuvage bienfaisant, est une liqueur empoisonnée..
Il faut dire que l'eau des puits était loin d'offrir une qualité irréprochable.
On lui imputait quelques maladies dont les goîtres et les cancers...
Quelques dates
1747
Le 5 août 1747, inauguration de la première fontaine rémoise place Saint Thimothée, en présence du chanoine Jean Godinot, grand bienfaiteur de la ville de Reims...
1874 :
Découverte d'une nappe d'eau par un terrassier (M. Huette). Jusqu'ici, l'eau distribuée en ville provenait du canal dit "; La Rivière-Neuve ", dérivation de la Vesle, puis du Canal de la Marne à l'Aisne. Les travaux d'extension du service de distribution et d'exploitation de la nappe souterraine sont exécutés de 1874 à 1885.
1875 :
Construction du puits central de Fléchambault, et mise en place d'un siphon en fonte de diamètre 500 traversant le lit de la Vesle et passant sous le plafond du canal, pour amener l'eau jusqu'au puisard de l'Usine. Les besoins augmentent et sont passés à 1528 branchements, 121 bornes fontaines pour 70 434 habitants.
1882 :
Construction du réservoir du "; Moulin de la Housse".
1907 :
Le réseau a atteint une longueur totale de 107km. Il y a 7 383 branchements qui alimentent des abonnés, les fontaines monumentales, les bornes fontaines, les bouches d'eau et les urinoirs, affectés au service public. La population desservie s'élève à 110 000 habitants. Le volume moyen d'eau produit par jour est de 10 157 m3.
1966 :
Construction du réservoir de la Faculté.
1970 :
Construction du réservoir de Croix Rouge.
1973 :
Construction du réservoir des Epinettes.
Reims ne dispose que d'une seule rivière, et d'une nappe d'eau : les différents captages
- Captage Fléchambault (débit maximal autorisé de 25 000 m3;/jour, avec 5 puits et 3 pompes)
- Couraux (débit maximal autorisé de 30 000 m3;/jour, avec 10 pompes (5 pour alimenter l'usine).
- Auménancourt. (débit maximal autorisé de 25 000 m3;/jour, avec 2 pompes, 3 forages)
Les réservoirs
- Le réservoir du Moulin de la Housse : 2 x 10 000 m3;
- Le réservoir de la Faculté : 3 000 m3;
- Le réservoir surélevé de la Croix-Rouge : 5 000 m3;
- Le réservoir des Epinettes. 2 x 6 250 m3; ouvrage semi-enterré
Il existe environ 580 kilomètres de canalisation...

(source http://www.agglo-reims.fr) En savoir plus
Le château d'eau ou l'Usine haut de la page

La machine hydraulique conçue par le Père Féry habile mécanicien et mathématicien, , de l'ordre des Minimes va permettre d'alimenter 17 fontaines puis 18, puis 19... On construira autour de cette machine un bâtiment afin de la protéger "le château d'eau", pour l'alimenter on détourna un bras de la Vesle : la rivière" Neuve".
Le château d'eau est visible de la voie du Roulliat (avenue de Champagne)
La machine est une roue à aubes de 24 mètres de diamètre, qui actionne trois pompes aspirant et refoulant l'eau de la Vesle, dans une cuvette en plomb située à soixante six pieds du sol.
L'installation en place fournit alors 36 pouces (soit 751 m3) en 24 heures.
Les Fontaines haut de la page
Avant que les fontaines n'existent à Reims, les habitants tiraient l'eau dans des puits.
L'initiative d'avoir un réseau d'adduction d'eau et de fontaines est l'oeuvre du Chanoine Jean Godinot.
L'inauguration des premières fontaines a lieu le 5 août 1747, place Saint Thimothée
Les principales fontaines
- Saint Thimothée (disparue)
- Fontaine au Minimes (actuelle rue Féry)
- Place Saint Maurice (disparue)
- Rue des Carmes (visible de nos jours)
- Rue des Orphelins (disparue)
- Rue des Augustins (disparue)
- Place saint Pierre des Dames (disparue)
- Place de la Couture (actuelle place d'Erlon, on peut y voir la fontaine de la Solidarité et la fontaine Subé)
- Bas de la rue de Vesle (disparue)
- Place de l'Hôtel de Ville (disparue)
- Rue des Marmouzets (disparue)
- Près de l'Hôtel Dieu (disparue)
- Place des Boucheries (visible de nos jours, Cours Langlet)
- Rue du Temple (disparue)
- Prison Bonne-Semaine (disparue)
- Parvis de la Cathédrale (disparue)
- Place du marché au draps (place du Forum depuis sa rénovation il ya une nouvelle fontaine)
- Rue de Contrai (disparue)
Ces fontaines seront les seules à fournir de l'eau jusqu'en 1844, date à laquelle les concessions d'eau potable, deviendront un droit naturel et seront accordées aux particuliers..
Quelques fontaines et jets d'eau d'hier et d'aujourd'hui (V = Toujours visible)
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Fontaine Bartholdi |
Fontaine Bartholdi |
Fontaine Subé (V) |
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Fontaine Subé |
Fontaine de la Solidarité (V) |
Jet d'eau des Congrès (V) |
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Fontaine place du Forum (V) |
Jet d'eau haute Promenade (V) |
Jet d'eau haute Promenade (V) |
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Fontaine Godinot (1843) |
Fontaine Godinot (V) |
Fontaine Godinot (V) |
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Fontaine des Jésuites |
Fontaine square Jantzy (V) |
Fontaine des Loges Coquault |
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Fontaine Puysieux (Eglise St Maurice) |
Fontaine (place Museux)après 14-18 |
Fontaine des Carmes (V) |
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Fontaine place saint Nicaise |
Fontaine place Saint Nicaise |
Cloître St Remi (musée) (V) |
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Fontaine des Boucheries |
Fontaine des Boucheries |
Fontaine des Boucheries (V) |
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Fontaine du Parvis |
Fontaine Hôtel-Dieu (cathédrale) |
Fontaine de la place du Marché au Blé |
L'histoire de certaines fontaines rémoises haut de la page
Les fontaines "Godinot"

En 1843 une fontaine sera édifiée en hommage au chanoine Jean Godinot, sur la place Saint Pierre les Dames rebaptisée place Jean Godinot.
Sur le haut de la fontaine une femme assise couronnée de pampres représente la ville de Reims , à ses côtés un génie ailé lui présente un médaillon où était cisélé le profil de Jean Godinot..
Don Camillo et Pépone... enfin presque...
Monsieur le Maire de Saint Marceaux voulait une inauguration, populaire, municipale, tandis que l'archevêque Gousset lui voulait la bénir, devant le risque de dérapage "religieux" les fêtes furent supprimées et on inaugura l'édifice très simplement....
En 1900, on y retrouve un receveur de tramway, noyé dans l'eau verdâtre et croupie
1904 la fontaine au style très lourd, n'était alimentée en eau que rarement, elle sera démontée et remplacée par une fontaine au style rococco, les vasques emplies de terre accueilleront des parterres de fleurs...
Mais de nos jours elle contient à nouveau de l'eau....
En septembre 2006 suite à quelques cas de légioneliose, toutes les fontaines rémoises encore "en activité" seront arrêtées, afin d'en analyser l'eau et de rechercher si la bactérie est présente dans les dites fontaines, rassurez-vous, elles ne furent arrêtées que le temps des analyses....
Vous pouvez toujours voir cette fontaine au carrefour St Symphorien, Saint Pierre les Dames et Marie Stuart.
La fontaine Subé

Financé par Monsieur Auguste Subé (marchand d'étoffes), la fontaine est l'oeuvre de l'architecte André Narjoux et des sculpteurs Paul Gasq, Paul Auban, L Baralis et Joseph Warya son sommet un ange ailé en bronze, autour du socle quatre vasques surmontées des inscriptions , la Suippe, la Marne, la Vesle, l'Aisne (à noter que Suippe est écrit "Suippes) ces quatres rivières traversant la Marne (le département)
Elle a été inaugurée le 15 juilet 1906 , sa première pierre posée le 23 mai 1905, Monsieur Subé ne verra pas l'inauguration il est décédé en 1899. C'est le ministre des affaires étrangères Léon Bourgeois, qui l'inaugurera, devant une foule considérable, lors de sa mise en eau ce jour là, seul un mince filet d'eau coula, qui fit pousser un ha!! de déception à la foule.. Elle résistera fièrement au bombardement de 1914-1918, en 1940 les allemands lui enlevront son ange ailé en bronze pour en faire des canons. En mauvais état, sans eau, sans sa "victoire ailée" elle fait peine a voir, on pense en 1954 détruire la fontaine, les discussions vont bon train, les rémois s'emparent du sujet, les uns sont pour les autres contre , le ton monte chacun défendant ses positions, enfin le 26 février 1954 le conseil municipal tranche, il abandonne le projet de démolition de la fontaine, ce n'est que dans les années 1970 et 1980 que l'on entreprendra une première restauration, lui rendant sa blancheur originelle et en décembre 1989 une copie de la Victoire ailée coiffe à nouveau son sommet (mécénat de la Caisse du Crédit Agricole) . Seul l'eau n'est pas de retour, mais qui sait un jour... En 2005, 2006 la ville de Reims entreprend le réaménagement des deux rues qui partent du pied de la fontaine, la rue de l'Etape et la rue Buirette, cette dernière devant recevoir six tables d'eau avec des jets bouillonnants. La fontaine Subé retrouvera - t - elle son eau ?
La fontaine des Boucheries

Dans le quartier des deux Anges, (qui deviendra le cours Langlet), une fontaine qui existe toujours. Elle est l'oeuvre du sculpteur Adam l'aîné en 1763, Elle ornait la cour du marché des Boucheries, en 1880 le marché fut supprimé, et une école ménagère prit sa place, Miraculeusement restée debout après la guerre. Son portique est surmonté en degrés qui vont en se rétrécissant et servcent de piédestal à june vasque ; La partie inférieure supporte deux têtes de lions lançant de l'eau dans un bassin de pierre.
En 1926, on édifia un monument en mémoire des soldats du 132 ème et 332 ème régiments d'infanterie et du 46 ème régiment d'infanterie territoriale, mais en 1933 on décida d'enlever ce monument, prétextant que la juxtaposition des deux "édifices" nuisait à l'harmonie du Cours Langlet.
On déplaça la fontaine pour la mettre à l'emplacement du monument aux Morts. Une première solution était de la demontée pierre par pierre et de la remontée dix mètres plus loin, une autre solution était de dégager les fondations , de la soulever, et de la poser sur des chariots afin de la déplacer. La seconde solution sera retenue, les travaux débutèrent le 3 mai 1935, et furent terminés le 31 mai 1935, de nombreux curieux vinrent voir le déplacement de la fontaine qui se fit très lentement. Depuis la fontaine se situe exactement dans l'axe du cours Langlet.
Le 15 avril 2009, la fontaine des boucheries est déplacée en raison des travaux du tramway, la fontaine pèse environ 87 tonnes, une grue est utilisée pour son départ à quelques centaine de mètres de là , Place Jules Lobet.
La fontaine Saint Nicaise

En 1880 la fontaine se trouvait toujours au milieu de la place Saint Nicaise, édifiée en 1750 d'après les dessins de Couston. La fontaine est en marbre, finement ornée de dauphins d'où sort l'eau. A l'origine cette fontaine était la fontaine Machault.
Elle sera transportée dans l'ancien Hôtel-Dieu.
Elle se trouve aujourd'hui dans le cloître de St Remi.
Remise en eau, vous pouvez la voir lors de la visite du Musée Saint Remi..
Un mot sur la fontaine Bartholdi

Frédéric Auguste Bartholdi est né à Colmar le 2 août 1834 et décédé à Paris le 4 octobre 1904 . Célèbre sculpteur alsacien, il est l'auteur de 35 monuments, notamment la célèbre statue de la Liberté éclairant le monde, (1886), située à l'entrée du port de New York, et aussi du Lion de Belfort, (1880), construit pour célébrer la résistance héroïque de la ville lors du siège de 1870-71. C'est aussi lui qui est le père de cette fontaine rémoise. Fontaine qui se trouvait jadis au "Rond-point de la porte Mars", actuelle place de la République face au monument aux Morts. La fontaine a été détruite lors de la première guerre mondiale, elle fut remplacée par un bassin circulaire, avec un jet d'eau qui s'élevait à une dizaine de mètres de haut , jet d'eau qui fut à son tour remplacé par le Luchrone (plus connu sous le nom d'Oeuf lumineux") La fontaine est en bronze et la réalisation a été faite par les fonderies DURENNE – GHM – FONTES D'ART DE DOMMART en 1885.
"Fontaine des Boucheries, son déménagement en 2010 elle était située au bout du cours Langlet, elle se trouve quelques centaines de mètres plus loin, Place Jules Lobet
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Fontaine (place St Maurice) après 14-18 |
Fontaine square Charles Sarrazin |
La fontaine que vous pouvez voir ci dessus (sur la première photo) était à l'origine située dans l'ancien collège des Jésuites et que l'on voit ici place Museux, ex place Saint Maurice, la place Saint Maurice s'appelait avant la place Puysieult ; Sur la seconde photo il s'agit de la même fontaine qui a été déplacée et placée dans le square des Sarrazin proche de l'Hôtel le Vergeur, (Centre ville). L'Ancien Collège des Jésuites abrite entre autre aujourd'hui, le Planétarium, le FRAC....
Fontaine dite " Mousse de Champagne"
Au milieu de la cour de l'Hôtel de Ville se trouve une fontaine de René de saint Marceaux au nom plus qu'évocateur "Mousse de Champagne", à son origine ce monument représentait une jeune fille souriante et nue portée par la mousse d'une bouteille de champagne. La Ville de Reims acquit cette oeuvre en 1888 et fit supprimer la bouteille de champagne (Très étonnant!!!) avant de l'intaller dans le hall de la Mairie, puis dans la cour centrale, et de la remonter à l'envers après la guerre de 1914-1918.
Fontaine de la Solidarité

La fontaine de la Solidariré doit son nom, en 1983, au syndicat Force ouvrière qui baptise la fontaine : "Solidarnösc" d'où le nom de fontaine de la Solidarité
Traitement de l'eau à Reims haut de la page
Le problème de l'alimentation en eau de la ville des sacres, le traitement de l'eau, a toujours été une des premières préocupations de la ville. On puisait l'eau dans la Vesle, puis après la découverte d'une nappe d'eau par un terrassier (M. Huette) en 1875 dans la nappe phréatique. Aujourd'hui il existe trois zones de captage Fléchambault, Couraux et Auménancourt.
1880
Les eaux usées de la ville sont canalisées (en partie) et dirigées vers des champs d'épandages : Les Eaux Vannes , vastes terrains à l'extérieur de la ville, servant de flitres naturels, à ces eaux "urbaines"
1963
Construction de la première station d'épuration rémoise, implantée sur le site même des Eaux Vannes.
1999
La station d'épuration est tout simplement remplacée par une station répondant à des normes très strictes, la Ville de Reims ira au-delà de ces normes ....la Direction de l'Eau & de l'Assainissement est certifiée ISO 9001 pour les services liés à l'activité "eau potable" depuis le 07 Mars 2000. La
STEP est actuellement en cours de démarche de certification ISO 14001

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